Ikea, qui revoit ses prix à la baisse tous les ans, continue de renouveler son offre, ayant créé en 2012 plus de 2000 produits.
Le numéro un mondial de l'ameublement a vu ses ventes bondir de 9,5 % en 2012, atteignant 27 milliards d'euros.
«Nous ne sommes qu'au début, Ikea
est encore petit dans la plupart des pays», a souligné mercredi Mikael
Ohlsson, PDG d'Ikea, en présentant des résultats annuels (exercice clos
le 31 août) records. Le numéro un mondial du meuble a révélé un chiffre
d'affaires de 27 milliards d'euros, en hausse de 9,5 %. À nombre de
magasins constants, la progression est toutefois deux fois moindre, à
4,6 %. Plus de 690 millions de personnes, soit 35 millions de plus en un
an, ont fréquenté les magasins de l'enseigne.
Le dirigeant a confirmé l'objectif présenté fin octobre de porter le nombre de magasins à environ 500 en 2020 afin de doubler les ventes, atteignant entre 45 et 50 milliards d'euros à cet horizon. Pourtant, en 2012, le groupe n'a ouvert que 11 magasins et en prévoit même pour l'instant deux fois moins pour 2013. Ikea réalisant encore 70 % de ses ventes en Europe, il compte essentiellement sur l'expansion dans de nouveaux territoires pour continuer à grossir. Il vient de trouver un accord avec le gouvernement indien pour s'implanter dans cet immense pays. Le géant suédois a aussi l'intention de poser prochainement son drapeau bleu et jaune en Serbie, Croatie et Corée du Sud. En 2012, Ikea a enregistré ses plus forts taux de croissance en Chine, Russie et Pologne. «Pour Ikea, c'est une nécessité absolue de trouver de nouveaux marchés pour que son modèle économique puisse fonctionner. Il faut que ses volumes augmentent pour que les prix puissent continuerà baisser», remarque un observateur.
Ikea promet en effet de revoir ses prix tous les ans, malgré les hausses de matières premières. La baisse a été de 2,6 % en 2011, puis de 0,8 % en 2012. Elle est de 20 % au total sur la dernière décennie, d'après le groupe, qui a rappelé sa mission: «offrir un assortiment large de produits d'ameublement bien pensé et fonctionnel à des prix si bas que le plus de personnes possible puissent se les procurer».
Le dirigeant a confirmé l'objectif présenté fin octobre de porter le nombre de magasins à environ 500 en 2020 afin de doubler les ventes, atteignant entre 45 et 50 milliards d'euros à cet horizon. Pourtant, en 2012, le groupe n'a ouvert que 11 magasins et en prévoit même pour l'instant deux fois moins pour 2013. Ikea réalisant encore 70 % de ses ventes en Europe, il compte essentiellement sur l'expansion dans de nouveaux territoires pour continuer à grossir. Il vient de trouver un accord avec le gouvernement indien pour s'implanter dans cet immense pays. Le géant suédois a aussi l'intention de poser prochainement son drapeau bleu et jaune en Serbie, Croatie et Corée du Sud. En 2012, Ikea a enregistré ses plus forts taux de croissance en Chine, Russie et Pologne. «Pour Ikea, c'est une nécessité absolue de trouver de nouveaux marchés pour que son modèle économique puisse fonctionner. Il faut que ses volumes augmentent pour que les prix puissent continuerà baisser», remarque un observateur.
Ikea promet en effet de revoir ses prix tous les ans, malgré les hausses de matières premières. La baisse a été de 2,6 % en 2011, puis de 0,8 % en 2012. Elle est de 20 % au total sur la dernière décennie, d'après le groupe, qui a rappelé sa mission: «offrir un assortiment large de produits d'ameublement bien pensé et fonctionnel à des prix si bas que le plus de personnes possible puissent se les procurer».
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Premier recul en France:
Ikea
continue de renouveler son offre, ayant créé en 2012 plus de 2 000
produits. C'est l'un des domaines auquel l'enseigne consacrera cette
année une partie de son bénéfice annuel de 3,2 milliards d'euros, en
hausse de 8 %. Une autre partie sera investie dans le développement des
ventes - encore négligeables - sur Internet pour éviter que son rythme
de croissance en Europe, resté «assez constant ces dernières années», ne
ralentisse trop. En France, troisième pays du groupe, l'enseigne pense
atteindre une part de marché de 20 %, contre 17,8 % à fin 2011, d'après
son directeur général Stefan Vanoverbeke en octobre dernier. Selon nos
informations, le groupe a pourtant eu plus de mal en fin d'année et
aurait fini 2012 sur un premier recul depuis son arrivée dans
l'Hexagone.
Alors que les premières mises en examen sont
intervenues mardi concernant les soupçons de surveillance illégale de
salariés et de clients, le PDG d'Ikea a reconnu que l'enseigne fait
«parfois des erreurs. Nous les admettons ouvertement, les corrigeons et
poursuivons, en tirant les leçons du passé».
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