Un an après la fermeture de Megaupload, de nouveaux champions du téléchargement ont fini par émerger au cours de l'été.
La fermeture de Megaupload a pris de court les habitués du piratage. Le site de Kim Dotcom
hébergeait des centaines de milliers de films, de séries, de musiques,
de livres et de logiciels, mis en ligne sans l'accord des ayants droit
et téléchargeables gratuitement. Lorsque le FBI a déconnecté les
serveurs, tout un pan de la piraterie a d'un coup disparu des réseaux.
Les pirates ont dû trouver d'autres plates-formes pour stocker leurs fichiers. Par peur de subir le même sort que Megaupload, ses concurrents ont supprimé en masse des contenus soumis aux droits d'auteur. Cette confusion a profité un temps à l'offre légale. «On a noté une progression de la vidéo à la demande payante durant quatre à cinq semaines, de l'ordre de 25 %, mais cela n'a pas duré», reconnaît Jean-Yves Mirski, délégué général du Syndicat de l'édition vidéo numérique (Sevn).
Les pirates ont dû trouver d'autres plates-formes pour stocker leurs fichiers. Par peur de subir le même sort que Megaupload, ses concurrents ont supprimé en masse des contenus soumis aux droits d'auteur. Cette confusion a profité un temps à l'offre légale. «On a noté une progression de la vidéo à la demande payante durant quatre à cinq semaines, de l'ordre de 25 %, mais cela n'a pas duré», reconnaît Jean-Yves Mirski, délégué général du Syndicat de l'édition vidéo numérique (Sevn).
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