Bruxelles, le 8 juillet mardi 8 juillet 2014 16:20 CEST
Bruxelles, le 8 juillet (Reuters) - Le ministre des finances de la Belgique a demandé que la tête des Français de la Banque BNP Paribas mardi pour une réunion discuter des répercussions d'un record $ 9 milliards fine pour avoir violé les sanctions américaines contre le Soudan, Cuba et l'Iran.
Belgique participe à 10,3 pour cent à BNP Paribas, qui a plaidé la semaine dernière coupable à deux accusations criminelles et a accepté de payer l'amende pour régler des accusations, il a violé les sanctions américaines.
Le châtiment visait à envoyer un message clair aux autres institutions financières dans le monde entier.
Le ministre des Finances belge Koen Geens a déclaré qu'il avait demandé au directeur général de BNP Paribas, Jean-Laurent Bonnafe, de le rencontrer bientôt à Bruxelles.
« Il veut apprendre clairement les leçons que gestion et tous les organes compétents tirent de ce qui s'est passé, y compris pour la transparence de l'actionnaire, » dit une déclaration sur le site web du ministre.
Geens avait envoyé Bonnafe une lettre indiquant clairement l'inquiétude causée « par la nature et la gravité des faits", la déclaration dit.
Geens a également appelé à discrétion dans des déclarations publiques sur l'avenir de la participation de la Belgique à BNP Paribas.
"Comme déjà souligné plusieurs fois, l'Etat n'entend pas demeurer un actionnaire dans les banques. Toutefois, une décision sur la vente de ce genre de jeu devrait être prise dans une atmosphère calme par un gouvernement à part entière,"indique le communiqué.
Belgique tente de former un gouvernement de coalition après les élections de mai. (Déclaration de Martin Santa ; modification par Jane Baird)