Si Angela Merkel veut mettre l'Europe à la rigueur budgétaire, Nicolas Sarkozy entend faire accepter à la chancelière plus de gouvernance économique.
Nicolas Sarkozy et Angela Merkel sont arrivés dans la matinée jeudi à Bruxelles, au terme d'une négociation marathon commencée à Berlin jeudi en fin d'après-midi et qui devait se terminer dans la capitale belge dans la soirée. Mercredi soir, entre Angela Merkel et Nicolas Sarkozy, un accord avait été défini dont la présidence européenne de Herman Von Rumpoy a ensuite laissé fuiter les grandes lignes dans la matinée, entraînant une réaction positive des marchés.
«Les Bourses ont été rassurées par l'existence d'un accord entre Berlin, Paris et la BCE», assure un proche de Nicolas Sarkozy. La réunion de travail entre Sarkozy et Merkel - «sept heures sans aucune interruption», selon l'entourage du chef de l'État - n'a pas été suffisante pour emporter l'adhésion inconditionnelle des quinze autres membres de la zone euro. «Beaucoup sont arrivés sans avoir en tête les aspects très techniques de ce dossier. Il a fallu beaucoup expliquer. Chacun a voulu être sûr de bien comprendre les mécanismes en jeu», explique un proche du chef de l'État. Malgré une négociation beaucoup plus longue que prévu, les conseillers diplomatiques du chef de l'État avaient le sentiment de tenir le bon bout, jeudi soir. «Cet accord est un message politique fort, pour deux raisons : il réaffirme la détermination de la zone euro à ne pas laisser tomber la Grèce, et il réforme en profondeur le Fond de stabilisation européen, en lui donnant un périmètre d'intervention supplémentaire», résumait-on dans l'entourage du chef de l'État, en marge de la réunion.
Nicolas Sarkozy et Angela Merkel sont arrivés dans la matinée jeudi à Bruxelles, au terme d'une négociation marathon commencée à Berlin jeudi en fin d'après-midi et qui devait se terminer dans la capitale belge dans la soirée. Mercredi soir, entre Angela Merkel et Nicolas Sarkozy, un accord avait été défini dont la présidence européenne de Herman Von Rumpoy a ensuite laissé fuiter les grandes lignes dans la matinée, entraînant une réaction positive des marchés.
«Les Bourses ont été rassurées par l'existence d'un accord entre Berlin, Paris et la BCE», assure un proche de Nicolas Sarkozy. La réunion de travail entre Sarkozy et Merkel - «sept heures sans aucune interruption», selon l'entourage du chef de l'État - n'a pas été suffisante pour emporter l'adhésion inconditionnelle des quinze autres membres de la zone euro. «Beaucoup sont arrivés sans avoir en tête les aspects très techniques de ce dossier. Il a fallu beaucoup expliquer. Chacun a voulu être sûr de bien comprendre les mécanismes en jeu», explique un proche du chef de l'État. Malgré une négociation beaucoup plus longue que prévu, les conseillers diplomatiques du chef de l'État avaient le sentiment de tenir le bon bout, jeudi soir. «Cet accord est un message politique fort, pour deux raisons : il réaffirme la détermination de la zone euro à ne pas laisser tomber la Grèce, et il réforme en profondeur le Fond de stabilisation européen, en lui donnant un périmètre d'intervention supplémentaire», résumait-on dans l'entourage du chef de l'État, en marge de la réunion.
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