Infolinks

Google Recherche

vendredi 4 mai 2012

L'immeuble de Virgin bientôt vendu sur les Champs-Elysées.

Cet immeuble était jusqu'ici dans le giron de Groupama, groupe en pleine restructuration.
Cet immeuble était jusqu'ici dans le giron de Groupama, groupe en pleine restructuration.


 Groupama est en train de céder le bel immeuble du 52 des Champs-Élysées qui abrite Virgin et Monoprix. Une transaction de 500 millions d'euros.




L'immeuble abrite deux enseignes grand public qui drainent un nombre important de clients: Monoprix et Virgin.
L'immeuble abrite deux enseignes grand public qui drainent un nombre important de clients: Monoprix et Virgin. 
 
C'est un immeuble emblématique de l'avenue des Champs-Élysées, bien connu de tous ceux qui empruntent «la plus belle avenue du monde». Il abrite en effet deux enseignes grand public qui drainent un nombre important de clients: Monoprix et Virgin.
Cet immeuble était jusqu'ici dans le giron de Groupama, groupe en pleine restructuration. Selon une dépêche de l'agence Bloomberg, l'immeuble serait en vente, avec une date limite de dépôt des offres aujourd'hui et un prix de l'ordre de 500 millions d'euros.
Une opération d'une taille considérable sur le marché. «Récemment, aucune opération de cette envergure n'a été enregistrée sur un actif unique», explique l'IEIF, l'Institut de l'épargne immobilière et foncière. «En 2011, une seule transaction de plus de 100 millions d'euros a été enregistrée. Au premier trimestre de cette année, cinq transactions ont été signées, démontrant la hausse des volumes unitaires des opérations, la profondeur du marché parisien et la capacité des acteurs à financer des opérations de grande taille», observe Jones Lang Lassalle dans un rapport récent sur le marché de l'immobilier de bureaux.
Le conseil immobilier ne commente pas l'opération sur l'immeuble de Virgin, mais constate que «l'internationalisation du marché se confirme, le caractère défensif du marché parisien attirant de nouveaux entrants et confirmant l'intérêt d'acteurs historiques». Il note aussi «une plus grande activité des vendeurs, notamment français et allemands, qui préparent des arbitrages».
En filigrane, reste la question de savoir si la vente de ce vaisseau amiral de la grande consommation signera la disparition de l'enseigne Virgin des Champs-Élysées.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire