L'an dernier les ventes de vin ont progressé de 1,2 % contre une baisse de 1,1% l'année précédente.
Elles augmentent de 1,2% dans les grandes surfaces qui totalisent plus des trois quarts du marché.
La crise n'a pas entamé le goût des français pour le vin. Au contraire, elle pourrait-être à l'origine d'une recrudescence des achats de ce breuvage national qui fait notre réputation hors de nos frontières avec la baguette, le camembert et le béret. L'an dernier les ventes de vin ont progressé de 1,2 % contre une baisse de 1,1% l'année précédente, selon les dernières statistiques publiées jeudi par FranceAgrimer. Au total ce sont 9,512 millions d'hectolitres qui ont été vendus via la grande distribution qui totalise plus des trois quarts du marché en France. Cela représente une valeur de 3,428 milliards d'euros, soit un prix moyen de la bouteille de 3,60 euros. Par type de produit, comme l'an dernier, le rosé, plus féminin et très apprécié l'été autour d'un barbecue, marque une forte poussée. Ses ventes progressent de près de 10 % à 715 millions d'euros pour une quantité de 2,349 millions d'hectolitres, soit un quart du marché hexagonal. Le blanc reste stable avec près de 17% des volumes et plus de 20% en valeur (699 millions d'euros). Le vin rouge garde quant à lui toujours sa suprématie avec 59 % du marché mais ne progresse que de 1,2% en volume et baisse même de 0,9% en valeur à 2,014 milliards d'euros. Enfin par segment, les vins les plus achetés par les ménages français se situent dans la tranche de 3-5 euros», précise Caroline Blot en charge de la filière chez FranceAgrimer.
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