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lundi 14 janvier 2013

Livret A : la Banque de France recommande un taux à 1,75%.

La Banque de France a recommandé d'abaisser le taux du livret A à 1,75% à partir du 1er février, contre 2,25% actuellement.

La décision était attendue. Ce lundi soir, la Banque de France a recommandé d'abaisser le taux du livret A à 1,75% à partir du 1er février, contre 2,25% actuellement. Les livrets au plafond (22.950 euros depuis le 1er janvier) rapporteront désormais 401,62 euros par an.
La rémunération de ce placement aurait dû reculer à 1,50% si la formule prévue par la loi avait été appliquée à la lettre, mais le gouverneur de la Banque de France, Christian Noyer, a choisi d'y déroger pour «éviter qu'un mouvement de trop grande ampleur ne soit mal compris» par les épargnants.
Christian Noyer et le ministre de l'Économie, Pierre Moscovici, se sont ainsi mis d'accord pour donner un petit coup de pouce au taux du livret A, afin de ne pas décevoir les Français, très attachés à ce produit d'épargne. La décision fait office de compromis entre l'Élysée, qui aurait préféré que le taux passe à 2%, et la Banque de France, qui plaide pour un taux bas.

dimanche 13 janvier 2013

Le taux du Livret A ramené à 1,75 %.

Le chiffre retenu fait office de compromis entre l'Elysée et la Banque de France.

La décision a fait l'objet d'intenses tractations. Selon plusieurs sources, le taux du Livret A passera finalement de 2,25 % à 1,75 % le 1er février, pour tenir compte d'une faible inflation. Les livrets au plafond (22 950 euros depuis le 1er janvier) rapporteront désormais 401,62 euros par an. Si la règle de calcul de ce taux prévue par la loi avait été appliquée, celui-ci serait tombé à 1,5 % (344,25 euros de rémunération annuelle).
La décision appartient au gouverneur de la Banque de France, qui peut toutefois recommander au gouvernement d'y déroger au nom de «circonstances exceptionnelles» ou de la sauvegarde du «pouvoir d'achat des épargnants».
Christian Noyer, et le ministre de l'Économie, Pierre Moscovici, se sont ainsi mis d'accord pour lui donner un petit coup de pouce, afin de ne pas décevoir les Français, très attachés à ce produit d'épargne. «C'est un seuil politique et psychologique», notamment dans un contexte économique difficile, souligne un proche de dossier. La décision fait office de compromis entre l'Élysée -qui aurait préféré que le taux passe à 2 %- et la Banque de France qui plaide pour un taux bas, racontent plusieurs sources.
Pierre Moscovici avait prévenu que le nouveau rendement devrait «à la fois prendre en compte l'évolution des prix en France, la protection du pouvoir d'achat des Français, notamment de l'épargne populaire, et l'encouragement à l'investissement dans le logement».

Vers une actualisation du taux tous les trimestres?