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mercredi 21 juillet 2010

BP vend 7 milliards de dollars d'actifs à Apache.

Avec cette opération le pétrolier britannique réalise d'un coup la plus grande partie de son programme de cessions. Les actifs cédés représentent des réserves de 385 millions de barils équivalent pétrole aux Etats-Unis, au Canada et en Egypte.
AprèsMagellan qui a racheté des actifs de BP le 13 juillet, c'est au tour d'Apache. Mais cette fois, la facture est plus consistante. Le géant pétrolier britannique a en effet conclu mardi après Bourse un accord avec le pétrolier texan Apache pour lui vendre pour 7 milliards de dollars d'actifs. Une opération qui permet au groupe britannique de réaliser d'un coup la plus grande partie des cessions annoncées pour compenser le coût de la marée noire.
Les actifs cédés représentent des réserves de 385 millions de barils équivalent pétrole aux Etats-Unis, au Canada et en Egypte. Ils regroupent «toutes les activités de production de pétrole et de gaz, les terrains et infrastructures de BP» dans l'ouest du Texas et le Nouveau Mexique, ainsi que dans le désert de l'Ouest de l'Egypte, a détaillé Apache dans un communiqué. Au Canada, BP cède ses activités d'exploration-production de gaz naturel dans l'ouest de l'Alberta et la Colombie britannique. Ces actifs ont représenté au premier semestre une production totale quotidienne de 28.000 barils par jour (bpj) d'hydrocarbures liquides et plus de 9 millions de mètres cubes de gaz.
L'opération permet à BP de réaliser une grande partie du programme de cession de 10 milliards de dollars auquel il s'était engagé pour financer le fonds d'indemnisation des victimes de la marée noire. D'autant que le groupe britannique avait indiqué plus tôt mardi qu'il allait se séparer de certaines activités marginales situées au Pakistan et au Vietnam, sans en préciser la valeur.


Augmentation de capital en vue pour Apache:

lundi 19 juillet 2010

La confiance revient sur les marchés agricoles.

Mots clés : Cacao, pétrole, blé, ETATS-UNIS, LONDRES, LME, Liffe.
Au cours de la semaine du 12 juillet, blé, maïs et soja ont poursuivi leur hausse, soutenus par une production plus faible que prévu. En revanche, l'incertitude sur la reprise fait souffrir le pétrole et les métaux de base.

Le pétrole en plein doute:
Le pétrole a encore connu une semaine chaotique. Dopé par un dollar en baisse, le baril a terminé à 77,15 dollars, en progression de 2,20 dollars, mardi à New York tandis qu'à Londres, le Brent gagnait 2,28 dollars à 76,65 dollars. Mais l'enthousiasme a été refroidi par la Fed qui, sur la base d'indicateurs décevants, revoit à la baisse ses perspectives de croissance économique aux Etats-Unis et envisage même de prendre des nouvelles mesures de soutien. A New York jeudi, le baril est retombé à 76,62 dollars. «Le principal élément directeur a été, malgré le repli du dollar, les données économiques. En terme d'indicateurs avancés, les chiffres de l'activité manufacturière dans les régions de New York et Philadelphie ont été assez mous», a expliqué Jason Schenker, de Prestige Economics.
Vendredi, le coup de grâce a été donné par la dégradation du moral des ménages américains, au plus bas depuis 11 mois, et des résultats de sociétés jugés décevants. Le brut léger américain a fini sur un recul de 0,8%, à 76,01 dollars le baril. Au même moment, le Brent cédait 1,06% à 75,28 dollars.
«Le marché est très nerveux, il scrute les indicateurs avancés sur la reprise. Il pourrait ressentir encore plus de pression de la part de la situation économique dans les jours à venir», prévient l'analyste. 

L'or, éternelle valeur refuge, s'envole.

La crise de la dette, la défiance vis-à-vis de l'euro et du dollar poussent les investisseurs financiers à se replier sur le métal jaune, qui a battu des records en juin dernier.

L'or, placement de l'année? Son cours a bondi de plus de 20% en euros depuis le 1er janvier. Aucun actif financier n'affiche une telle hausse. Même en dollars, la devise dans laquelle il est coté sur les marchés financiers, il a progressé de 9% en un peu plus de six mois. Depuis début mai, il a volé de record en record. Fin juin, à Londres, l'once a même dépassé 1265 dollars. Du jamais vu. Depuis, elle a reperdu un peu de terrain, pour retomber autour de 1200 dollars. Analystes et investisseurs se posent désormais tous la même question: l'or peut-il continuer à monter?
«L'or bat des records parce que la peur des investisseurs s'est encore exacerbée ces derniers mois, avec la crise de la dette en Europe et la menace de voir les États occidentaux retomber en récession», observe David Wilson, directeur de la recherche sur les métaux précieux à la Société générale. Le métal jaune apparaît de plus en plus comme le seul actif sécurisant, à mesure que la confiance dans le billet vert, autre traditionnelle valeur refuge, s'effrite.
«En réalité, l'or a été propulsé à ces niveaux par la défiance de plus en plus grande des investisseurs envers les monnaies, le dollar depuis fin 2009, l'euro cette année. Une défiance qui s'explique notamment par les politiques des banques centrales», explique Christophe Donay, responsable de la recherche économique chez le banquier suisse ­Pictet.

jeudi 15 juillet 2010

Tests à haut risque sur l'entonnoir de BP.

Mots clés : pétrole, marée noire, entonnoir, ETATS-UNIS, Fuite, Test, BP.
Les robots qui opèrent à 1.600 mètres de profondeurs sont pilotés 
par des opérateurs en surface.
Les robots qui opèrent à 1.600 mètres de profondeurs sont pilotés par des opérateurs en surface.

A peine lancés, les premiers essais du «super-entonnoir» de BP ont été momentanément stoppés à cause d'une fuite vite réparée dans un conduit. Ces tests, qui pourraient reprendre dans la journée, risquent d'endommager la structure du puits et rendre impossible son futur colmatage.

Ca passe ou ça casse. Littéralement. Dans la nuit de mercredi à jeudi, les ingénieurs de BP ont lancé les tests du super-entonnoir de 75 tonnes mis en place depuis lundi dans le golfe du Mexique. Arrêtés jeudi matin en raison d'une fuite imprévue dans un des conduits, ces essais, cruciaux, devaient reprendre le jour même. Ils pourraient entraîner d'irréparables dégâts dans le coffrage du puits, profond de 4 kilomètres. Initialement prévue mardi, la fermeture temporaire des valves de sécurité avait d'ailleurs été repoussée par le gouvernement en raison des risques qu'elle représentait pour la structure du puits. «Ce que nous ne voulions pas faire, c'est commettre une irréparable erreur en tentant de résoudre le problème», expliquait l'ancien chef des garde-côtes américains Thad Allen, chargé par Barack Obama de superviser les opérations de lutte contre la marée noire.
C'est le secrétaire à l'énergie Steven Chu, prix Nobel de physique 1997, qui avait attiré l'attention de l'ancien amiral sur les dangers potentiels de l'opération. Si la pression devient trop forte après la fermeture des trois valves de sécurité, le coffrage pourrait se fissurer et conduire à de nouvelles fuites plus difficiles, voire impossibles, à colmater. Paradoxalement, c'est en observant une pression qui augmente trop peu dans l'entonnoir que l'on détecterait ces fissures. Si la pression est faible dans l'entonnoir, cela peut vouloir dire que le pétrole s'écoule ailleurs, et donc qu'il y a des fuites. Il se pourrait d'ailleurs que les brèches éventuelles se soient ouvertes au moment de l'explosion du 22 avril, bien que les analyses sismiques n'aient rien révélé jusqu'à présent. 

mercredi 14 juillet 2010

Marée noire: feu vert pour le test .

BP a reçu le feu vert pour le test crucial du nouvel entonnoir destiné à mettre fin à la fuite de pétrole qui se répand dans le golfe du Mexique et les opérations commenceront "bientôt", ont annoncé les autorités américaines.
La pose réussie lundi d'un nouvel entonnoir de 6 mètres de haut pesant 75.000 kilos sur la tête du puits endommagé devrait peut-être permettre de récupérer la totalité des dizaines de millions de litres (estimation haute) qui s'échappent chaque jour de l'ancien forage en eau profonde du pétrolier britannique .
Si la pose de l'appareil s'est déroulée avec succès comme l'attestent les images en direct diffusées par la compagnie, les valves de sécurité permettant de limiter la pression dans le «Top hat 10» étaient encore ouvertes. Le test va consister à les ouvrir progressivement.

Le pétrole finit quasi stable .

Les prix du pétrole ont fini sans grand changement mercredi à New York, malgré une nouvelle chute des stocks de brut aux Etats-Unis, compensée par une augmentation de ceux de produits raffinés.
Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" pour livraison en août a terminé à 77,04 dollars, en recul de 11 cents par rapport à la veille.
Il avait pris plus de deux dollars mardi, accompagnant une forte baisse de la monnaie américaine.

jeudi 8 juillet 2010

Oil price rises as stockpiles tumble .

OIL rose today, supported by a drop in US oil stockpiles even as a surprise jump in petrol inventories raised concerns about demand.
Light, sweet crude for August delivery settled $US1.37, or 1.9 per cent, higher at $US75.44 a barrel on the New York Mercantile Exchange after rising to $US75.90, the highest intra-day price for a front-month contract since June. Brent crude on the ICE futures exchange settled up $US1.20, or 1.6 per cent, at $US74.71 a barrel.
Oil futures traded higher throughout the session, receiving an early boost from the American Petroleum Institute's report yesterday of a massive decline in oil inventories.
The US Energy Information Administration followed by saying today that oil inventories plunged 5 million barrels in the week ended July 2, more than the 1.8-million-barrel drop forecasted by analysts in a Dow Jones survey.
Analysts said the drop in crude inventories kept investors optimistic that overall supplies are tightening, even as the EIA reported a 1.3-million-barrel increase in petrol stockpiles.
Oil inventories shot up during the economic downturn last year, and remain well above average as demand has struggled to recover even as the economy has grown at a healthy pace in 2010.
"The 5 million barrel draw ... was an attention grabber," said Rick Mueller of Energy Security Analysis Inc. "Any time you get a move as large as that, you get the market's attention."
A drop in jobless claims also boosted oil prices by allaying fears that the US economic recovery is slowing.

Gold gains on value bets.

GOLD rose today as the optimistic economic sentiment that boosted commodities and equities spread to precious metals.

The most actively traded gold contract, for August delivery, settled $US3.80, or 0.3 per cent higher, at $US1198.90 an ounce on the Comex division of the New York Mercantile Exchange. Futures continued higher in electronic activity after the settlement, breaking above $US1200.
Investors who cashed out of the market following gold's record highs in June started to trickle back today, buying at perceived bargain prices and boosting futures, said Michael Gross, broker and futures analyst with OptionSellers.com.
Unlike US equities, which are down more than 5 per cent year-to-date, gold futures have outperformed almost all assets, setting records in May and again in June.
The metal is thought by some to hold its value better than other assets amid uncertain economic prospects, and the same growth worries that pressured equities this year sent gold higher.
But the pullback in equities markets at the end of last week didn't spare precious metals futures, which were dumped along with other assets as fears of a double-dip recession rippled across markets. Gold is down about 5 per cent from its all-time highs set three weeks ago.
Mr Gross said no new news had emerged this week to change the economic picture, but traders thought precious metals futures were undervalued following the rush to offload assets last week.

Britain prepares for the collapse of BP .

THE British government is drawing up contingency plans for a possible collapse of BP.

This is amid mounting fears that the oil giant could be broken up or taken over in the wake of the Gulf of Mexico oil disaster.
The talks, which are being led by officials at the Department for Business and the Treasury, reflect growing concern within Whitehall about the implications that a corporate failure of BP, formerly Britain's biggest company, would have on British interests domestically and around the world.
BP, whose value has more than halved since the April 20 accident, has liabilities of up to $US70 billion ($84bn), according to estimates by Goldman Sachs.
The company employs 10,105 British staff directly and generated tax receipts of pound stg. 5.8bn ($10bn) in 2009.
It also owns much of Britain's most critical energy infrastructure, including the Forties Pipeline System that connects more than 50 oil and gas producing fields in the North Sea.
In addition, BP controls vital strategic assets overseas, including the Baku-Tbilisi-Ceyhan pipeline that bypasses Russia and Iran to connect Europe with the rich oil and gas resources of Azerbaijan and the Caspian region. As well as the political ramifications stemming from a collapse of BP, the government is also concerned about the impact on millions of British pensioners for whom the company's dividends have served as an important plank of their retirement income.
Prime Minister David Cameron and Energy Secretary Chris Huhne are set to discuss BP's future with US officials during a trip to Washington on July 20.
Speaking in Toronto at the G20 on June 25, Mr Cameron warned that BP faced potential destruction unless US authorities stepped in to prevent its compensation costs escalating out of control.

mercredi 7 juillet 2010

Baltic index under iron ore pressure.

THE Baltic Dry Index has fallen for the 28th consecutive day on reduced demand for iron ore.

Freight rates for the largest classes of ships continue to drop.
The BDI, a barometer of shipping costs for commodities such as iron ore, coal and grain, was assessed 4 per cent lower on Tuesday from Monday at 2127, according to The Baltic Exchange.
This is down 49 per cent from 4209 on May 26, and near levels not seen since last September.
Depressed iron ore demand from Chinese steel mills has been pressuring shipping rates over the last month, with iron ore a key ingredient in steel production and the main product in dry bulk shipping.
Also, Chinese spot iron ore prices are near $US125 per tonne, a steep discount to the all-in cost of having it shipped from Australia, which is at $US155 per tonne.
"Given the price disparity, steel mills are likely to pull back on imports and focus on domestic iron ore, potentially extending the pressure seen in dry bulk (freight) rates through the remainder of the summer," said Dahlman Rose analysts in a note to investors.
The rate for Capesize ships fell below $US22,000 ($25,900) per day, while the Panamax rate was below $US18,000 per day.

Oil price dips on economic worries .

OIL fell for the sixth straight session today, as the market failed to sustain a rally in light of worries about slowing economic growth.

Light, sweet crude for August delivery settled down US16 cents, or 0.2 per cent, at $US71.98 a barrel on the New York Mercantile Exchange. Brent crude on the ICE futures exchange settled down US2c at $US71.45 a barrel.
The drop continued the longest stretch of declines since mid-May as traders dismissed an optimistic economic forecast made by Australia's central bank after the Institute for Supply Management reported that the US nonmanufacturing sector grew more slowly in June than expected.
Commodity and equity prices had factored in a more robust recovery, but less-than-stellar economic data have resulted in steep declines since late June in many markets.
Oil prices have fallen 8.7 per cent since June 25, while the Dow Jones Industrial Average is down more than 4 per cent over the same period.
"We're just heavy. We failed to sustain the upside. We did not achieve an escape velocity," said Tim Evans, an energy analyst with Citi Futures Perspective.
Concerns have surfaced about a period of slow growth or potentially a double-dip recession now that the economic boost of government stimulus spending is waning amid fears of further adding to deficits. Meantime, disappointing US employment data and other indicators cast doubt on whether the private sector will spend enough to sustain a recovery.

BP Open to Abu Dhabi Stake .

[hayward0707]
BP Chief Executive Tony Hayward.

 BP PLC's Chief Executive Tony Hayward met this week with Abu Dhabi's powerful Crown Prince Mohammed bin Zayed Al Nahyan and would be open to seeing the oil-rich sheikdom buy a stake of up to 10% in the U.K. oil giant, a person with knowledge of the meeting told Zawya Dow Jones.
Mr. Hayward flew into Abu Dhabi on Tuesday for meetings with officials including the crown prince and also spoke to the company's employees in the emirate in a town-hall gathering, according to a person familiar with his itinerary. "He'd be happy for Abu Dhabi to take a 10% equity stake," said the person, who asked not to be identified.
Abu Dhabi would be an influential friend for embattled BP as the company prepares to fend off any possible hostile takeover from a larger international rival after its market value was pummeled by the rising cost of the oil leak in the Gulf of Mexico. The sheikdom controls 90% of the oil in the United Arab Emirates and is a key U.S. ally in the Middle East.
"This will certainly improve the liquidity position and also give a little more stability to BP," said Frick Andre, a commodity analyst who covers BP at Credit Suisse in Zurich.

Gulf oil spill reaches Texas as tar balls wash ashore.

Tar balls found on Galveston, Texas, beach identified as being 
from the Deepwater Horizon oil spill in the Gulf of Mexico - 5 July 
2010 It is not clear if the tar balls drifted from the spill or were carried on a ship.

Tar balls have landed on a Texas beach, meaning oil from the Gulf of Mexico spill has hit all five US Gulf states.

Tests identified the small amount of tar found on the Bolivar Peninsula, north-east of Galveston, as coming from BP's blown-out well off Louisiana.
But officials said it was unclear if it had drifted hundreds of kilometres from the leak site or had fallen from ships taking part in the clean-up operation.
Up to 60,000 barrels of oil a day have leaked into the Gulf since 22 April.
BP has said its oil-capture systems collected or burnt off 24,980 barrels of oil on Monday, according to the Reuters news agency.
Over the past week, efforts to clean up the spill have been hampered by the first hurricane of the Atlantic season, Hurricane Alex.
Separately, BP said it could cover the costs of the clean-up and compensation claims without selling new shares, amid rumours that a Middle Eastern sovereign wealth fund was about to buy a stake.

Relief wells:

'Too early' to determine Gulf spill fallout.

North sea gas rig The sector produced 900 million barrels of oil in 2009.

 The UK oil and gas industry has said it does not expect a backlash against deep water drilling in the wake of the Gulf of Mexico disaster.
 
US President Barack Obama has threatened tight new regulations on allowing companies to carry out difficult and risky deep sea drilling.
A Oil and Gas UK spokesman acknowledged it was "too early" to say what the impact of the BP spill would be.
Oil has been leaking from a blown-out well in the Gulf since 22 April.
Malcolm Webb, chief executive of Oil and Gas UK, said: "There's a tendency to rush to judgement on what happened there and what the implications will be, but it's too early to speculate."
He suggested that American regulators would be more likely to move to a system similar to Britain's, which was changed in the wake of the Piper Alpha explosion which killed 167 people in 1988.
He said: "We're in a very different regulatory position.

Which way forwards for BP?

Workers remove oil booms from the beach in Louisiana BP want some way to draw a line under the Gulf of Mexico disaster and move on.

In June, financial markets were briefly pricing a bankruptcy of BP in the next five years as an odds-on probability as a result of the ongoing oil spill in the Gulf of Mexico.

Things are not so bad now.
BP's share price - which had more than halved since the Deepwater Horizon oil rig explosion in April first triggered the company's woes - has staged an impressive recovery in recent weeks.
Yet talk continues to circulate of a possible strategic investor in BP - either as a welcome provider of fresh capital to the company, or an unwelcome opportunist sniffing a bargain.
So what are the options now for BP?

Bankruptcy:On 16 June, the cost of buying financial protection for one year against a possible debt default by BP reached a staggering 10%.

lundi 5 juillet 2010

Oil continues to decline because of concerns about the economic performance.


Oil prices continued to drop during afternoon trading today, as record crude type of West Texas light, for delivery in August 71.38 dollars, down 76 cents from the closing price last Friday.
Register and North Sea Brent crude for delivery in August this year amounting to 71.06 dollars, down 59 cents from the price last Friday. Traders attributed the drop in oil prices to fears of a decline in performance of the economy in the United States and China , as well as forecasts of lower demand of India for purchase of crude oil during the remainder of the year. In Vienna , the Secretariat General of the Organization of Petroleum Exporting Countries (OPEC ) announced today that the average price of a barrel of crude produced by Member States Register last Friday, 69.63 dollars , compared with 70.48 dollars on Thursday.

Oil broker banned for drunk trading binge.

Ex-broker manipulated oil prices by buying over 7 million barrels.

Britain's financial regulator has fined and banned a former broker for manipulating oil prices by buying more than 7 million barrels while on a drinking binge.
The Financial Services Authority (FSA) said it fined Steven Perkins, a former employee of PVM Oil Futures Ltd, 72,000 pounds ($108,000) and banned him from working in financial services for at least five years for carrying out trades without the authority of clients or his employer.
The FSA said Perkins bought huge volumes of Brent crude oil in the early hours of the morning on June 30, 2009 after drinking heavily for several days and then lied repeatedly to his employer to cover up his actions.
"Perkins' drunkenness does not excuse his market abuse," said Alexander Justham, director of markets at the FSA.
"Perkins has been banned because he is not a fit and proper person to be involved in regulated activities, and his behavior posed a risk to the proper functioning of the market."
The trades landed PVM with a loss of $10 million last summer. The company is the world's largest independent oil broker, executing trades on behalf of clients but not carrying out trading for its own account.

mercredi 30 juin 2010

Les coûts des déversements d'hydrocarbures BP atteindre 2,65 milliards $.

Boats cleaning up the oil spill Les coûts de dépollution sont de montage pour BP.


BP a indiqué que le coût du nettoyage de la fuite d'huile dans le golfe du Mexique a atteint 2,65 milliards $ (£ 1.76bn ) .

Le géant pétrolier a déclaré ce inclus le coût de la lutte contre les déversements , de confinement , l'allégement de forage de puits , des subventions aux pays du Golfe et les indemnités payées .
Le total a augmenté à une moyenne de 100 mA $ par jour au cours des trois derniers jours - la plus forte moyenne par jour jusqu'à présent.
Plus tard, BP a déclaré la tempête tropicale Alex retarderait envisage d'augmenter sa capacité de pétrole siphonner jusqu'à la semaine prochaine .
Plus de 39.000 personnes sont maintenant impliqués dans l'intervention, a indiqué la compagnie , comme le pétrole du déversement lavés sur les plages de la station balnéaire du Mississippi Biloxi pour la première fois .
Plus de 80.000 demandes ont jusqu'ici été soumis et la société a fait 41.000 paiements totalisant plus de $ 128m .
BP a ajouté qu'il était trop tôt pour quantifier les autres coûts potentiels et les passifs découlant de l'incident .

visite en Russie:

mercredi 23 juin 2010

Uranium One Says propriétaires russes non Cowboys.

Uranium One Inc, Qui a chuté 7,3 pour cent dans le commerce de Toronto depuis de consentir à une prise en charge par Basée à Moscou uranium Holding ARMZ , a déclaré actionnaires avoir rien à craindre de contrôle de l'Etat russe.
" Il y avait quelques préoccupations d'avoir un contrôle actionnaire russe , " Jean Nortier, chef de la direction de Uranium One Canada , a déclaré dans une interview à Bloomberg Television à Londres . «Les actionnaires commencent à comprendre qu'il n'est pas un bande de cow-boy Russes, mais c'est une entité très responsable . "
ARMZ , comme l'unité de l'Etat terme Rosatom Corp est connue , a déclaré Juin 8, il envisage de porter sa participation dans Uranium One au moins 51 pour cent de 23 pour cent pour les 610 millions de dollars en espèces et de participations dans deux mines kazakhes . La Russie , l'uranium cherchent plus à l'offre prévue réacteurs à l'étranger, a déclaré Juin 19, il serait le personnel des ambassades autour de le monde avec les responsables nucléaires de gagner plus de commandes pour Rosatom .
Uranium One et ARMZ cherchent à bénéficier d' une approche globale renaissance de l'énergie nucléaire comme nations luttent pour répondre à l'énergie la demande tout en freinant la production de carbone . Techsnabexport , une autre unité de Rosatom , a vendu 8,8 milliards de dollars de l'uranium aux États-Unis de 1993 à 2009 dans le cadre de la soi-disant accord HEU . Les expéditions en vertu l'opération sera suffisante pour alimenter près de la moitié des Etats-Unis centrales nucléaires pendant 20 années, selon les entreprise.

Retards Petrobras 25 milliards de dollars émission d'actions jusqu'à Septembre.

The Petrobras Building
La construction de Petrobras , siège de Petroleo Brasileiro SA , est à Rio de Janeiro . 

 Petroleo Brasileiro SA, Le latin plus grande société américaine par la capitalisation boursière , a retardé la vente de autant que 25 milliards de dollars d'actions jusqu'à Septembre , car un prix n'a pas été mis dans une affaire liée à acheter des réserves de pétrole de la gouvernement.
L'offre aux actionnaires minoritaires , initialement prévu pour Juillet, est lié à un contrat d'achat de droits d' autant que 5 milliards de barils de pétrole par le gouvernement avec le bouillon. Petrobras , basé à Rio de Janeiro , a déclaré dans un communiqué la fin de réglementation de l'industrie hier évaluera la valeur de ces réserves à la fin du mois d'août .
Petrobras a besoin du produit de la vente pour compléter le 2010 partie de son plan de 224 milliards de dollars d'investissement , a déclaré Anisa Redman, Analyste pétrole à HSBC Holdings Plc à Londres , et Ricardo Cavanagh de Raymond James , à Buenos Aires . Le retard augmente le risque que la vente sera en outre retardé en raison de l'élection présidentielle en Octobre , Redman a dit .