La participation, échangée ou achetée, ne devrait pas excéder 10%, selon le Financial Times, qui voit dans cette possible opération un renforcement du partenariat entre les deux constructeurs automobiles.
Dans le cadre de leurs négociations sur une coopération à long terme, les constructeurs automobiles français Renault et allemand Daimler discuteraient également d'une prise de participation croisée.
C'est en tout cas ce que croit savoir le site Internet du Financial Times. Hier, le cabinet Bernstein Research spéculait sur le fait qu'une telle opération était possible. Selon le Financial Times, qui cite une personne au courant des discussions, les participations devraient être inférieures à 10%. Mais selon une étude de Sanford Bernstein, Daimler pourrait prendre 30% de Renault.
Un porte-parole de Renault n'a pas voulu «faire de commentaire sur une rumeur». Daimler s'est également refusé à commenter. En décembre, les deux groupes avaient annoncé être en pourparlers.
Le Financial Times affirme que les discussions entre Renault et Daimler, fabricant de la Smart, portent sur le développement d'une plate-forme commune pour une petite voiture, qui serait conçue à partir de la Renault Twingo.
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