Agathon Rwasa a conduit les FNL à mettre bas les ans sur les armes dernière.chef de file du Burundi principal parti d'opposition et ancien chef rebelle Agathon Rwasa , a confirmé qu'il a passés dans la clandestinité .
Dans un message enregistré adressé à une station de radio locale , M. Rwasa a dit qu'il avait fui parce qu'il craignait pour sa sécurité .
Il a disparu il ya une semaine , avant les élections présidentielles qui ont eu lieu le lundi avec les opérateurs historiques , Pierre Nkurunziza comme le seul candidat .
L'élection a été le deuxième vote majeur depuis la fin de la brutale guerre pays civile de 12 ans sur une base ethnique .
Les diplomates ont averti que le pays est toujours en danger de retomber dans le conflit.
Correspondants dire le taux de participation était faible dans les sondages de lundi par rapport aux élections locales le mois dernier .
Cinq partis d'opposition revendiqué ces sondages ont été truquées et sortit du scrutin présidentiel.
M. Rwasa , qui a signé un accord de paix l'an dernier à déposer les armes , ne dit pas où il était, mais il est signalé que dans les pays voisins en République démocratique du Congo.
Lors de sa première disparition, son parti a déclaré qu'il était " en vacances " .
« Ils cherchent ce que j'ai dit la vérité , parce que j'ai dit publiquement que je n'accepte pas les résultats des élections locales », agence de nouvelles AFP cite M. Rwasa dit dans l'émission de radio .
" [Dernière ] mercredi qu'ils voulaient me faire arrêter de nouveau. J'ai eu vent de cela et je disparu de la circulation , at-il dit .
Tant le Président Nkurunziza et M. Rwasa a conduit principalement des groupes de rebelles hutus combats contre l'armée qui a été dominée par la minorité tutsie au cours de la guerre civile.
M. Rwasa a refusé de mettre fin aux combats alors que d'autres factions en guerre mis en place un gouvernement de partage du pouvoir suivies par des élections en 2005 .
Il ne conduit ses Forces nationales de libération ( FNL ) dans le désarmement en avril 2009 et a été largement considéré comme le challenger clés au Président Nkurunziza .
Environ 300.000 personnes seraient mortes durant la guerre civile .
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