La maison mère allemande du constructeur britannique souhaite une diminution de la pause thé en contrepartie d'une augmentation de salaire.
Quatrième producteur automobile européen, derrière l'Allemagne, la
France, et l'Italie, l'industrie britannique est agitée par une vraie
question existentielle: peut-on réduire le tea time a seulement 43
minutes par jour?
Selon nos confrères du Sun, le groupe bavarois BMW conditionne une partie d'une substantielle augmentation de salaire de 6% pour les employés du constructeur britannique Mini au «grignotage» de 11 minutes de ces pauses réservées outre-Manche, depuis le XVIIe siècle, à la délectation de quelques herbes plongées dans de l'eau bouillante.
Ces derniers, qui ont réussi en quelques années la renaissance de la Mini, la petite citadine de British Leyland, veulent prolonger ce succès planétaire. Du coup, pour accroître la production annuelle de ces voitures à succès, BMW aimerait bien que les 2000 salariés des deux sites britanniques de Cowley et d'Oxford accélèrent le rythme.
Les syndicats grincent des dents, les employés menacent de faire grève. En fait, les Britanniques, dont la pause déjeuner n'est pas payée, se sont rendus compte qu'ils n'auraient plus droit qu'à 43 minutes par tranche de 9 heure 15 minutes, alors que leurs confrères allemands de BMW ont droit, eux à 50 minutes toutes les 8 heures. Le monde à l'envers.
Selon nos confrères du Sun, le groupe bavarois BMW conditionne une partie d'une substantielle augmentation de salaire de 6% pour les employés du constructeur britannique Mini au «grignotage» de 11 minutes de ces pauses réservées outre-Manche, depuis le XVIIe siècle, à la délectation de quelques herbes plongées dans de l'eau bouillante.
Les employés menacent de faire grève:
Cette affaire, qui prête à sourire dans le monde de l'automobile où les efforts de productivité constituent l'alpha et l'omega d'une stratégie bien conduite, n'amuse pas du tout les Allemands, et notamment les dirigeants de BMW.Ces derniers, qui ont réussi en quelques années la renaissance de la Mini, la petite citadine de British Leyland, veulent prolonger ce succès planétaire. Du coup, pour accroître la production annuelle de ces voitures à succès, BMW aimerait bien que les 2000 salariés des deux sites britanniques de Cowley et d'Oxford accélèrent le rythme.
Les syndicats grincent des dents, les employés menacent de faire grève. En fait, les Britanniques, dont la pause déjeuner n'est pas payée, se sont rendus compte qu'ils n'auraient plus droit qu'à 43 minutes par tranche de 9 heure 15 minutes, alors que leurs confrères allemands de BMW ont droit, eux à 50 minutes toutes les 8 heures. Le monde à l'envers.

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