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jeudi 13 octobre 2011
Occuper mur manifestations de rue révèlent les tensions libérales.
L' Occuper mur manifestations de rue répandre à travers le pays se mobilisent les militants libéraux qui ont été largement mis à l'écart dans le débat national depuis aidant à élire le président Obama il ya trois ans.
Cela devrait être un soulagement à la Maison Blanche, qui est avide d'exciter une base démocratique qui a grandi déçu par le président et moins excité à son sujet réélection.
Mais il n'est pas clair si ce sursaut d'énergie sur la gauche américaine va aider Obama et d'autres démocrates. Les protestations gagnent vapeur autour d'un ensemble de revendications économiques et une méfiance de la dépendance des deux parties sur les fonds de campagne des entreprises - et les responsables démocrates se demandent comment, ou si, ils peuvent puiser dans un mouvement qui semble marre avec toutes les marques de la politique partisane .
Cette tension a été évident dans ces derniers jours dans les débats font rage en ligne et en personne à des sites de démonstration à travers le pays.
Un stratège de Barack Obama de la Floride, Steve Schale, posté sur sa page Facebook que "réclament le changement est creux à moins que vous voter". Il liée à une image de la libérale Pensez blogue Progrès appelant les militants à «Occuper les sondages."
Un ancien volontaire Obama de la Floride centrale, Madison Paige, a rétorqué à la page Schale, que le vote seul ne pouvait pas réparer le système, en disant: «Nous devons être prêts à faire le travail le plus dur - et cela signifie jeter un oeil dans le miroir si nécessaire ».
Au Occuper DC, le campement McPherson Square inspiré par Occuper Wall Street, une engueulade a éclaté cette semaine quand une femme se décrivant comme un travailleur de longue date campagne démocrate a encouragé les jeunes manifestants d'exprimer leurs préoccupations par le vote, pour se faire dire que le vote n 'est pas t assez.
Ces moments litigieux aider à illustrer la difficulté face les responsables démocrates qui tentent de capitaliser sur l'émergence soudaine d'énergie libérale qui est en pleine croissance - mais en élargissant largement à l'écart des institutions des partis traditionnels.
Certains alliés des parties tentent d'aider. Les syndicats sont de fournir des conseils juridiques, de la nourriture et le service Internet à certains endroits, avec des leaders du travail intervenant jeudi soir sur le nom de manifestants dans un conflit avec le maire de New York Michael R. Bloomberg (I) sur l'utilisation d'un parc de Wall Street.
Parti et des fonctionnaires de la Maison Blanche sont la plupart du temps à regarder dans les coulisses.
"Nous ne savons pas? Est-ce un mouvement maintien ou est-ce un éclair de colère", a déclaré un assistant du leadership démocrate de la Chambre, qui a parlé sous couvert d'anonymat pour discuter de la pensée intérieure.
John Podesta, qui en tant que président du Centre for American Progress libérale est un allié proche Maison Blanche, a déclaré l'establishment du parti attend de voir ce qui arrive ensuite. "Ils ont ouvert un espace important pour une conversation nationale, mais où il va partir d'ici dépend de la puissance restante de l'effort d'organisation", at-il dit.
Le dilemme du choix que les miroirs confrontés les responsables du Parti républicain en 2009 comme le mouvement Tea Party a trouvé son pied et a commencé chiffres établissement difficile dans la hiérarchie du GOP. Au fil du temps, une série de groupes tels que l'établissement a commencé à coordonner FreedomWorks avec les militants, et l'insurrection tea-party a commencé à ressembler davantage à la base sous tension du GOP.
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