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lundi 4 février 2013

Wall Street souffle sur fond de craintes en zone euro.


La question du précipice budgétaire va revenir sur le devant de la scène.

La Bourse de New York a fait une pause ce lundi après s’être hissée à son plus haut niveau en cinq ans vendredi, les courtiers profitant d’un regain d’inquiétude en zone euro pour engranger quelques bénéfices.

Wall Street a fini en nette baisse ce lundi. Les investisseurs américains, comme leurs homologues européens, font une pause après la belle hausse des derniers mois. Dans les derniers échanges, le Dow Jones recule de 0,92% et le Nasdaq de 1,51%.
Selon les résultats définitifs à la clôture, le Dow Jones Industrial Average s’est replié de 129,71 points à 13.880,08 points, et le Nasdaq, à dominante technologique, de 47,93 points à 3.131,17 points. L’indice élargi Standard and Poor’s 500 a abandonné 1,15% (-17,46 points) à 1.495,71 points.
Vendredi à Wall Street, l’indice Dow Jones a dépassé 14.000 points pour la première fois depuis 2007, soutenu par des résultats d’entreprises jugés de bonne facture et par une lecture optimiste du rapport mensuel sur l’emploi américain.
La place financière a connu une séance particulièrement «faible, dans tous les secteurs», a relevé Dan Greenhaus, de BTIG, qui a précisé qu’il s’agissait de «la plus mauvaise performance pour le Dow Jones depuis décembre». Pour Michael James, de Wedbush Securities, ce mouvement de repli était inéluctable: «Wall Street a connu un mois de janvier monstre, avec une hausse de 6% du marché en à peine un mois. Une pause était plus que nécessaire».
Le parcours impressionnant des marchés depuis l’automne pourrait ralentir dans les prochaines semaines alors que la question du précipice budgétaire va revenir sur le devant de la scène à Washington, avec l’échéance du 1er mars prochain où doivent intervenir d’importantes réduction des dépenses fédérales, militaires en particulier.

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Retour des tensions en zone euro:

jeudi 31 janvier 2013

Wall Street finit en légère baisse.


Les marchés devraient rester sous le coup du recul surprise de l’activité économique américaine.

La Bourse de New York clôture en petite baisse après une nouvelle salve d’indicateurs mitigés en provenance de l’économie américaine.

Les marchés d’actions américains finissent en légère baisse ce jeudi. Les investisseurs jouent la carte de la prudence après la publication d’indicateurs livrant une image contrastée de l’économie américaine. Le Dow Jones perd à la clôture 0,36% à 13.860,58 points, le Nasdaq abandonne 0,01% à 3142,13 points et le S&P 500 recule de 0,26% à 1498,11 points.
D’un côté, le département du Commerce a annoncé une forte hausse des revenus des ménages, de l’autre, le département du Travail a indiqué que les inscriptions hebdomadaires au chômage avaient progressé plus qu’attendu la semaine dernière.
Les marchés restent par ailleurs sous le coup de la déception créée hier par l’annonce d’une baisse surprise de l’activité économique américaine au dernier trimestre 2012. Le produit intérieur brut des États-Unis a reculé de 0,1 % au quatrième trimestre.
Les discours tenus par la Banque centrale américaine à l’issue de sa réunion mensuelle apporte toutefois un peu de baume au cœur des investisseurs. La réserve fédérale a maintenu comme prévu son taux directeur quasi nul et ses rachats d’actifs financiers à hauteur de 85 milliards de dollars chaque mois, pour soutenir l’économie américaine, mais elle a aussi noté sans s’en inquiéter, la faiblesse persistante de la croissance économique.

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Facebook sanctionné:

mercredi 30 janvier 2013

Wall Street clôture en territoire négatif.


La journée était très chargée en indicateurs économiques.

Les investisseurs ont réservé un accueil neutre à l’annonce du maintien de la politique monétaire accommodante de la Réserve fédérale américaine. Ils retiennent surtout les mauvais chiffres de la croissance.

Les marchés d’actions américains finissent dans le rouge ce mercredi, après l’annonce d’une contraction de la croissance américaine au quatrième trimestre et après la confirmation par la banque centrale des Etats-Unis (Fed) de l’ensemble de ses mesures de politique monétaire. Au gong final, le Dow Jones perd 0,32% à 13.910,42 points, le Nasdaq recule de 0,36% à 3142,31 points et le S&P 500 lâche 0,39% à 1501,96 points.
La banque centrale américaine a noté mercredi, sans s’en inquiéter, la stagnation de la croissance économique aux Etats-Unis. Compte tenu de cette absence d’amélioration, le Comité a confirmé les mesures d’exception qu’il avait prises lors de sa réunion précédente, en décembre. «Le communiqué de la Fed reste largement en ligne avec ses précédents commentaires et n’apporte pas de grandes surprises aux acteurs du marché», a remarqué Omer Esiner, analyste à Commonwealth Foreign Exchange.
Le produit intérieur brut des États-Unis a reculé de 0,1 % au quatrième trimestre, selon la première estimation officielle du gouvernement américain. Sur l’ensemble de l’année 2012, la croissance économique du pays s’est accélérée pour atteindre 2,2 %, contre 1,8 % en 2011, ajoute le ministère, insistant sur le fait que ces estimations «avancées» se fondent sur des données encore incomplètes ou sujettes à révision.
Les investisseurs réagissent peu aux chiffres ADP de l’emploi dans le secteur privé pour le mois de janvier. Les embauches du secteur privé ont légèrement augmenté aux États-Unis en janvier, selon ADP. Les entreprises privées ont créé ce mois-là 192.000 emplois de plus qu’elles n’en détruisaient dans le pays.

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Les valeurs à suivre:

Wall Street hésite après l’emploi et la croissance.


La journée qui s’ouvre s’annonce très chargée en indicateurs économiques.

La Bourse de New York a ouvert proche de l’équilibre ce mercredi, prudente avant la fin de la réunion de la Fed ce soir. Les indicateurs du jour soufflent le chaud et le froid.

Les marchés d’actions américains ont débuté la séance en ordre dispersé. Dans les premiers échanges, le Dow Jones perdait 0,07 % et le Nasdaq s’adjugeait 0,13 %. Wall Street se montre prudente après l’annonce d’une contraction de la croissance américaine au quatrième trimestre et avant l’issue de la réunion de la Fed. Mardi, la Bourse de Wall Street est resté confiante. Le Dow Jones a gagné 0,52 %, atteignant un nouveau plus haut depuis octobre 2007, alors que le Nasdaq a terminé quasi stable (-0,02 %).
Hausse des embauches dans le secteur privé, fléchissement de la croissance
Les investisseurs réagissent essentiellement aux chiffres ADP de l’emploi dans le secteur privé pour le mois de janvier et à celui de la croissance de l’économie américaine. Les embauches du secteur privé ont légèrement augmenté aux États-Unis en janvier, selon ADP. Les entreprises privées ont créé ce mois-là 192.000 emplois de plus qu’elles n’en détruisaient dans le pays.
De son coté le produit intérieur brut des États-Unis a reculé de 0,1 % au quatrième trimestre, selon la première estimation officielle du gouvernement américain. Sur l’ensemble de l’année 2012, la croissance économique du pays s’est accélérée pour atteindre 2,2 %, contre 1,8 % en 2011, ajoute le ministère, insistant sur le fait que ces estimations «avancées» se fondent sur des données encore incomplètes ou sujettes à révision.
Mais le marché se prépare surtout à la publication du communiqué de la Réserve fédérale américaine en fin de journée, à l’issue de sa réunion de deux jours. Pour les analystes, la banque centrale américaine devrait confirmer sa politique de soutien massif à la reprise économique du pays, et notamment son programme de rachat d’actifs, étant donné que la situation économique a peu changé depuis sa précédente réunion.

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Les valeurs à suivre:

mardi 29 janvier 2013

Wall Street finit dans le vert avant la Fed.


Lundi, la Bourse de New York a terminé en ordre dispersé.

En attendant l’issue d’une réunion du comité de politique monétaire de la Fed, le Dow Jones a touché un nouveau plus haut depuis cinq ans. De bons indicateurs dans l’immobilier ont aussi soutenu la cote.

Les marchés d’actions américains finissent dans le vert ce mardi. Le Dow Jones a gagné 0,52% à 13.954,42 points, atteignant un nouveau plus haut depuis octobre 2007, et le S&P 500 a grimpé de 0,51% à 1507,84 points. Le Nasdaq est resté stable, en recul de 0,02% à 3153,66 points.
Les indices ont été portés par un regain d’optimisme des courtiers alors que la Réserve fédérale américaine (Fed) entamait une importante réunion de deux jours à Washington. La Banque centrale des États-Unis devrait confirmer le cap de politique monétaire qu’elle a fixé en décembre. En un mois et demi, la situation économique du pays n’a en effet que peu évolué. Le taux de chômage officiel est resté ancré en décembre à son niveau de novembre (7,8 %) et le dernier rapport de conjoncture de l’institut monétaire, le 16 janvier, estimait que la progression de l’activité restait poussive.

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Nouvelle hausse des prix de l’immobilier:

lundi 28 janvier 2013

Wall Street clôture sans direction.


L’indice Standard & Poor’s 500 a terminé vendredi au-dessus des 1 500 points pour la première fois depuis 2007.

La Bourse de New York a été très hésitante ce lundi. Le marché, qui a grimpé la semaine dernière à des sommets inconnus depuis début 2007, a repris son souffle. Des indicateurs mitigés ont aussi semé le doute.

Après une ouverture dans le vert, les marchés d’actions américains finissent en ordre dispersé ce lundi. Au gong final, le Dow Jones recule de 0,10% à 13.881,93 points, le Nasdaq grimpe de 0,15% à 3154,30 points tandis que le S&P 500 lâche 0,19% à 1500,18 points.
Les indicateurs du jour ont été mitigés. Les commandes de biens durables, baromètre des projets d’investissement des entreprises aux États-Unis, se sont affichées en hausse en décembre, suggérant que les craintes générées par le risque d’un «mur budgétaire» ne semblent pas avoir autant pesé sur l’investissement qu’on pouvait le craindre fin 2012. Toutefois, l’annonce surprise d’une baisse prononcée, de 4,3%, des promesses de ventes de logements en décembre après trois mois de hausse a fait douter le marché.
Barack Obama a promis samedi de surveiller l’industrie de la finance américaine pour empêcher tout «comportement irresponsable». Le président américain a nommé jeudi Mary Jo White, une procureure fédérale, à la tête du gendarme boursier américain, la Commission des opérations de Bourse (SEC), chargée notamment de mener à bien la réforme de Wall Street.
Du coté des entreprises, Caterpillar (+1,96% à 97,45 dollars) le premier constructeur mondial d’engins de chantier a enregistré en 2012 un bénéfice de 5,68 milliards de dollars, en hausse de 15% sur un an. Le constructeur, baromètre de la santé du secteur, a dû passer comme il avait prévenu mi-janvier une charge exceptionnelle de 580 millions de dollars dollars liée à cause de fraudes chez sa nouvelle filiale en Chine Siwei.Le chiffre d’affaires a grimpé de 10% à 65,87 milliards de dollars en 2012.

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Les valeurs à suivre:

Wall Street débute en hausse.



L’indice Standard & Poor’s 500 a terminé vendredi au-dessus des 1 500 points pour la première fois depuis 2007.

La Bourse de New York aborde la séance sur une note très légèrement positive ce lundi. Le marché qui a grimpé en fin de semaine dernière à des sommets inconnus depuis début 2007 devrait reprendre son souffle.

Les marchés d’actions américains ont ouvert en petite hausse, soutenus par un bon indicateur américain et les résultats du numéro un mondial des engins de chantier, Caterpillar. Dans les premiers échanges, le Dow Jones avançait de 0,11% et le Nasdaq de 0,27%.
Vendredi, la Bourse de New York a fini dans le vert. L’indice Standard & Poor’s 500 a terminé au-dessus des 1500 points pour la première fois depuis 2007. Le marché américain est porté par des résultats de sociétés jugés dans l’ensemble de bonne facture.
Barack Obama a promis samedi de surveiller l’industrie de la finance américaine pour empêcher tout «comportement irresponsable». Le président américain a nommé jeudi Mary Jo White, une procureure fédérale, à la tête du gendarme boursier américain, la Commission des opérations de Bourse (SEC), chargée notamment de mener à bien la réforme de Wall Street.
Par ailleurs, les commandes de biens durables, baromètre des projets d’investissement des entreprises aux États-Unis, se sont affichées en hausse en décembre, suggérant que les craintes générées par le risque d’un «mur budgétaire» ne semblent pas avoir autant pesé sur l’investissement qu’on pouvait le craindre fin 2012.
Du coté des entreprises, Caterpillar (+2,27% à 97,75 dollars) le premier constructeur mondial d’engins de chantier a enregistré en 2012 un bénéfice de 5,68 milliards de dollars, en hausse de 15% sur un an. Le constructeur, baromètre de la santé du secteur, a dû passer comme il avait prévenu mi-janvier une charge exceptionnelle de 580 millions de dollars dollars liée à cause de fraudes chez sa nouvelle filiale en Chine Siwei.Le chiffre d’affaires a grimpé de 10% à 65,87 milliards de dollars en 2012. 

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Les valeurs à suivre:

vendredi 25 janvier 2013

Wall Street résiste à la chute d’Apple.



Traders work on the floor of the New York Stock Exchange
Le groupe à la pomme a publié mercredi soir des prévisions jugées décevantes.

 La Bourse de New York a clôturé en ordre dispersé ce jeudi. Le Dow Jones a gagné 0,33% mais le Nasdaq, pénalisé par les perspectives jugées peu encourageantes d’Apple, a reculé de 0,74%.


Les marchés d’actions américains ont clôturé en ordre dispersé aujourd’hui. Le Dow Jones a grignoté 0,33% à 13.825,33 points et le S&P 500 a fini sur une note stable à 1494,82 points. En revanche, le Nasdaq a cédé 0,74% à 3130,38 points, tiré vers le bas par Apple, dont le titre a chuté de 12,36% à la clôture à 450,47 dollars.
Apple a publié mercredi soir des prévisions décevantes, anticipant un chiffre d’affaires de seulement 41 à 43 milliards de dollars pour le trimestre entamé début janvier alors que les analystes attendaient un chiffre supérieur à 45 milliards. Cette déception a éclipsé l’annonce de ventes record d’iPhone et d’iPad pendant les Fêtes.
Côté statistiques, l’indice PMI a atteint aux Etats-Unis 56,1 dans sa version préliminaire, au plus haut depuis mars 2011, contre 54,0 le mois dernier, un chiffre bien supérieur au consensus des économistes qui était de 53,0.

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Netflix s’envole de plus de 40 %:

jeudi 24 janvier 2013

Wall Street garde son calme malgré la chute d’Apple.



Traders work on the floor of the New York Stock Exchange
Le groupe à la pomme a publié mercredi soir des prévisions jugées décevantes.

La Bourse de New York aborde la séance en ordre dispersé ce jeudi. Apple première pondération de l’indice de la Bourse électronique Nasdaq plonge de près de 11 % à l’ouverture. Netflix s’envole de plus de 40 %.


Les marchés d’actions américains ont ouvert en ordre dispersé aujourd’hui. Le Dow Jones grignote 0,18 % dans les premiers échanges mais le Nasdaq perd 0,72 %, tiré vers le bas par Apple, dont le titre chute de plus de près de 11 % à l’ouverture. Mercredi, dopé par les résultats d’IBM et de Google, Wall Street a atteint de nouveaux pics inconnus depuis plus de cinq ans.
Apple a publié mercredi soir des prévisions décevantes, anticipant un chiffre d’affaires de seulement 41 à 43 milliards de dollars pour le trimestre entamé début janvier alors que les analystes attendaient un chiffre supérieur à 45 milliards. Cette déception a éclipsé l’annonce de ventes record d’iPhone et d’iPad pendant les Fêtes. Le bénéfice est quasiment stable à 13,1 milliards de dollars. Mais la marge brute du groupe a chuté de 6 points pour passer de 44,7 % à 38,6 %. Dans les échanges électroniques sur les marchés américains le titre a cédé plus de 10 % après l’annonce de ces chiffres et, ce matin, à la Bourse de Francfort il perd plus de 8 %.

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Bonne surprise en Chine:

mercredi 23 janvier 2013

Wall Street atteint de nouveaux sommets.




Traders work on the floor of the New York Stock Exchange
Les investisseurs attendent une nouvelle salve de résultats avec notamment les chiffres d’Apple. 

La Bourse de New York a clôturé à de nouveaux pics en plus de cinq ans, portée par le report de quelques mois de l’échéance sur le plafond de la dette américaine.


Les marchés d’actions américains poursuivent sur leur lancée. Dopés par les résultats publiés la veille par IBM et Google, la Bourse de New York a fini sur une hausse modérée. Le Dow Jones a gagné 0,49% à 13.779,17 points, le Nasdaq Composite a grimpé de 0,33% à 3153,67 points et le S&P 500 a progressé de 0,15% à 1494,78 points.
IBM (+4,41% à 204,72 dollars) a en effet annoncé un bénéfice record pour 2012, dépassant légèrement les attentes du marché, et assuré que cette tendance positive allait se poursuivre cette année. De son côté, Google (+5,50% à 741,50 dollars) a brillé encore plus que prévu l’an dernier, en augmentant son bénéfice net de 10 % et en dépassant pour la première fois la barre des 50 milliards de chiffre d’affaires. En revanche, Texas Instrument a annoncé un recul de 11 % de ses profits, toujours pénalisé par un marché du mobile difficile avec des constructeurs de smartphones, comme Samsung ou Apple, qui fabriquent eux même leur puces.
Le fait que le Congrès s’est prononcé en faveur d’un relèvement du plafond de la dette pour une période de près de quatre mois, texte que la Maison blanche s’est déjà dit prête à ratifier, a également été un facteur de soutien.

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Les valeurs à suivre:

jeudi 17 janvier 2013

Wall Street navigue au plus haut depuis 5 ans.

Traders work on the floor of the New York Stock Exchange
L’ouverture dans les prochains jours des négociations sur le relèvement du plafond de la dette des États-Unis alimente également l’attentisme.

La Bourse de New York aborde la séance en hausse après les bons chiffres en provenance du marché de l’emploi et de l’immobilier.

Wall Street profite ce jeudi à l’ouverture de chiffres positif sur l’emploi et l’immobilier aux États-Unis, qui font passer au second plan les résultats mitigés des géants bancaires Bank of America et Citigroup. Dans les premiers échanges, le Dow Jones gagne 0,25% et le Nasdaq 0,43 %.
Hier, la Bourse de New York a terminé sur une note mitigée: le Dow Jones reculait de 0,18 % tandis que le Nasdaq avançait de 0,23 % à la clôture.
L’ouverture dans les prochains jours des négociations sur le relèvement du plafond de la dette des États-Unis alimente toutefois un certain attentisme.
Par ailleurs, dans son rapport de conjoncture sur l’économie américaine, le Beige Book, la Réserve fédérale américaine (Fed) a estimé que la croissance économique restait poussive aux États-Unis, sans amélioration franche depuis le dernier rapport de fin novembre. A noter également, selon Richard Fisher, l’un des dirigeants de la Banque centrale américaine (Fed), les grandes banques doivent être démantelées «avant qu’il ne soit trop tard» faute de quoi la prochaine crise financière risque d’être encore plus terrible que l’actuelle. Il appelle à diviser les grandes institutions «en une multitude d’entités opérationnelles».
Sur le front macroéconomique, les nouvelles inscriptions au chômage ont fortement baissé aux États-Unis après quatre semaines de hausse. Le ministère a recensé le dépôt de 335.000 demandes d’allocations de chômage dans le pays du 5 au 12 janvier, soit 9,9 % de moins que la semaine précédente.

mercredi 16 janvier 2013

Wall Street reste sur la défensive.

Traders work on the floor of the New York Stock Exchange
Les investisseurs attendent les résultats de grands noms de la cote aux États-Unis.

La Bourse de New York clôture encore en ordre dispersé, en dépit de résultats bancaires globalement de bonne facture. Les inquiétude sur la croissance planétaire en 2013 et sur la dette américaine pèsent sur le marché.
 
Les marchés d’actions américains restent sur la défensive en dépit de résultats meilleurs que prévu des grandes banques américaines Goldman Sachs et JPMorgan Chase. Les investisseurs s’inquiètent pour la solidité de la croissance mondiale et pour l’épineuse question du plafond de la dette aux États-Unis. À la fermeture,le Dow Jones recule de 0,18 % à 13,511 points tandis que le Nasdaq a grimpe de 0,23% à 3,118 points.

JP Morgan et Goldman Sachs en ordre dispersé:

JPMorgan Chase (+0,99 % à 46,81 dollars) a annoncé un bénéfice net 2012 en hausse de 12 % à 21,3 milliards de dollars. Au quatrième trimestre 2012, le bénéfice de la banque a grimpé de 53 % à 5,7 milliards d’euros. La banque a toutefois fait moins bien que prévu au niveau du chiffre d’affaires. Il ressort sur l’année en très légèrement baisse, à 97 milliards de dollars contre 97,2 milliards en 2011, malgré une hausse de 10 % à 23,7 milliards de dollars au quatrième trimestre.
De son coté, Goldman Sachs (+4,06 % à 141,09 dollars) a annoncé un bénéfice plus que doublé en 2012 et triplé pour le quatrième trimestre, des résultats meilleurs que prévu grâce à un chiffre d’affaires en forte hausse, dopé par des activités en propre. Le bénéfice net est ressorti à 7,3 milliards de dollars sur l’ensemble de 2012. Pour le quatrième trimestre, ce chiffre a triplé à 2,8 milliards de dollars.

La Banque mondiale pessimiste:

mardi 15 janvier 2013

Wall Street ne trouve pas sa direction, Dell grimpe encore.

Traders work on the floor of the New York Stock Exchange
La prudence est renforcée par l’attente dans les prochains jours d’une nouvelle salve de résultats. 

La Bourse de New York a encore terminé en ordre dispersé ce mardi soir après un discours teinté de prudence du président de la Banque centrale, Ben Bernanke.

Les marchés d’actions américains ont une nouvelle fois clôturé sans direction claire ce mardi, les investisseurs s’inquiétant d’un regain de tensions politiques au Congrès américain autour du plafond de la dette. Au gong final, le Dow Jones a grappillé 0,20 % à 13.535 points et le Nasdaq a reculé légèrement, de  0,21 % à 3111 points.
L’agence de notation Fitch Ratings a menacé ce mardi de revoir à la baisse la note des États-Unis, auxquels elle attribue actuellement sa note maximale «AAA», si aucun accord n’était trouvé au Congrès sur un relèvement du plafond de la dette du pays. Timothy Geithner a adressé une lettre au Congrès, pour demander le relèvement dudit plafond. Le Secrétaire au Trésor estime que l’État fédéral pourrait avoir atteint dès fin février cette limite, aujourd’hui fixée à 16.400 milliards de dollars.
De son côté, le président de la Réserve fédérale, Ben Bernanke a également estimé que ne pas changer ce plafond pourrait «coûter très cher» à l’économie américaine. Le président de la Fed s’est par ailleurs montré prudemment optimiste pour l’économie américaine, et réaffirmé qu’une hausse prématurée des taux d’intérêt serait la pire décision à prendre.
La prudence est également renforcée par l’attente dans les prochains jours des résultats et des prévisions de plusieurs grandes banques américaines et de quelques géants industriels. Goldman Sachs et JPMorgan Chase qui doivent en effet dévoiler leurs comptes annuels mercredi, suivis notamment par Bank of America et Citigroup jeudi. Le même jour, les investisseurs seront particulièrement attentifs aux résultats d’Intel puis le lendemain à ceux de General Electric.

Les valeurs à suivre:

vendredi 11 janvier 2013

Wall Street termine stable, les bancaires ont pesé.

Traders work on the floor of the New York Stock Exchange
Le Standard & Poor’s 500 a ainsi clôturé au plus haut depuis cinq ans.

 La Bourse de New York vendredia terminé sur une note stable, les investisseurs étant restés sur la réserve après la publication des résultatsde Wells Fargo , première des grandes banques américaines à annoncer ses trimestriels.

Les marchés d’actions américains ont terminé pratiquement à l’équilibre ce vendredi. Les investisseurs hésitaient sur la direction à prendre face à une salve d’indicateurs contrastés en provenance d’Asie, d’Europe ou des États-Unis et après les bons résultats de Wells Fargo: le Dow Jones des 30 valeurs industrielles américaines a pris 0,13%, 17,21 points, à 13.488,43, le Standard & Poor’s 500, indice de référence des gérants de fonds, s’est a terminé stable à 1.472,05 le Nasdaq, à forte pondération technologique, a gagné 0,12%, 3,88 points, à 3.125,64. Sur la semaine, le Dow a avancé de 0,4%, comme le S&P 500, et le Nasdaq a pris 0,8%.
Wells Fargo a fait état vendredi d’une hausse de son bénéfice net au quatrième trimestre à 5,1 milliards de dollars, grâce notamment à la diminution de ses provisions sur risque de crédit. Les investisseurs ont préféré retenir le recul de la marge nette d’intérêts, qui mesure les bénéfices réalisés à partir des activités de crédit. Le titre a terminé en baisse de 0,84%. Dans son sillage, l’indice KBW des bancaires américaines a fini sur un repli de 0,78%.
«Ces résultats pèsent sur le secteur. On croise les doigts pour que ce ne soit pas quelque chose qui concerne l’ensemble du secteur mais uniquement Wells Fargo, mais c’est un facteur absolument déterminant pour la séance d’aujourd’hui», a déclaré Larry Peruzzi de Cabrera Capital Markets.
Les marchés auront une réponse à cette question dès la semaine prochaine avec les résultats de Bank of America, JPMorgan Chase et Citigroup.

Wall Street à la hausse aidée par la Chine.

Traders work on the floor of the New York Stock Exchange
La croissance des exportations chinoises a rebondi plus fortement qu’attendu. 

 La Bourse de New York a terminé en nette hausse ce jeudi, avec un indice S&P 500 à son meilleur niveau de clôture depuis cinq ans,dans un marché encouragé par le rebond des exportations chinoises.

Wall Street a terminéla séance en hausse jeudi, portée par de bons chiffres sur l’excédent commercial de la Chine qui occultaient en partie une hausse inattendue du chômage aux Etats-Unis.
Dans les derniers échanges, le Dow Jones a de son côté pris 80,71 points, soit 0,60%, à 13.471,22 et le Nasdaq Composite 15,95 points (0,51%) à 3.121,76. Les trois indices ont accéléré leur progression dans la dernière heure après le franchissement de la résistance par le S&P-500.
Le Standard & Poor’s-500, indice de référence pour les gérants, a gagné 11,10 points ou 0,76% à 1.472,12, pratiquement son plus haut du jour, après avoir buté une bonne partie de la séance sur le seuil de résistance de 1.466 points qui correspondait à sa clôture de vendredi, un point haut en clôture depuis décembre 2007.
Les investisseurs américains saluent la croissance des exportations chinoises qui a rebondi plus fortement qu’attendu en décembre, affichant une progression inédite en sept mois.

mercredi 9 janvier 2013

Timide rebond à Wall Street.


Traders work on the floor of the New York Stock Exchange
Les investisseurs ont joué la carte de la prudence mardi avant le lancement du bal des résultats.

La Bourse de New York aborde la séance en très légère hausse ce mercredi, encouragée par les résultats supérieurs aux attentes du géant de l’aluminium Alcoa.

Les marchés d’actions américains ont ouvert sur une note légèrement optimiste aujourd’hui, soutenue par une publication jugée encourageante du géant de l’aluminium Alcoa. Dans les premiers échanges, le Dow Jones prenait 0,17 % et le Nasdaq 0,24 %. Hier, la Bourse de New York a finit dans le rouge. Les investisseurs ont joué la carte de la prudence avant le lancement du bal des résultats.
Le géant de l’aluminium Alcoa (+1,43 % à 9,23 dollars) a comme à son habitude dévoilé en premier ses chiffres. Il a vu son bénéfice divisé par trois en 2012 à 191 millions de dollars, mais il s’est déclaré plus optimiste pour 2013. Cette année, la société s’attend à ce que la demande mondiale d’aluminium augmente de 7 %, une légère accélération comparée aux 6 % enregistrés en 2012.

lundi 7 janvier 2013

Wall Street attendue proche de l’équilibre.


Traders work on the floor of the New York Stock Exchange
Il n’y a aucun auncun indicateur majeur sur l’agenda des investisseurs américain ce lundi.

 La Bourse de New York devrait être sur la défensive ce lundi. Faute de catalyseur et après la belle hausse enregistrée par les marchés ces derniers temps les investisseurs devrait se montrer frileux.

Les marchés d’actions américains devraient ouvrir en légère baisse ce lundi. Les futures sur Standard & Poor’s 500 reculent de 0,11% et ceux sur le Nasdaq 100 de 0,06%. Vendredi, Wall Street a terminé la semaine sur une note légèrement positive. Le Dow Jones a gagné 0,33% et le Nasdaq a progressé symboliquement de 0,04%.
Sur le front macroéconomique il n’y a aucun auncun indicateur majeur sur l’agenda des investisseurs américain ce lundi. En zone euro, les marchés devront se contenter de la publication des prix à la production industrielle en novembre. La France prévoit quant à elle de lever entre 6 et 7,2 milliards d’euros à court terme dans l’après-midi. Le reste de la semaine s’annonce plus animé avec le coup d’envoi mardi avec Alcoa de la saison de résultats annuels d’entreprises aux Etats-Unis.
Le président américain Barack Obama a de nouveau mis en gardei les élus samedi contre le «jeu dangereux», pour l’économie des Etats-Unis, qui consisterait à lier le plafond de la dette aux négociations sur le déficit.
A noter toutefois, le New York Times et le Wall Street Journal, quatorze grandes banques américaines, accusées de négligences dans le traitement des dossiers d’emprunteurs immobiliers en retard de paiements, ont accepté de payer 10 milliards de dollars pour mettre un terme à l’affaire. L’accord pourrait être annoncé dès ce lundi, selon les deux journaux.

Les valeurs à suivre:

lundi 2 juillet 2012

Wall Street fait une pause.

Traders await the IPO for Gazit-Globe Ltd on the floor of the New York Stock ExchangeLes opérateurs américains ont retrouvé le sourire vendredi avec l’accord européen.

  La Bourse de New York aborde la séance pratiquement à l’équilibre ce lundi. Vendredi portée par un sommet européen qui a largement dépassé les attentes des investisseurs Wall Street avait fait un bond en avant.


Les marchés d’actions américains reprennent leur souffle ce lundi. Le Dow Jones recule de 0,08 % dans les premiers échanges et le Nasdaq de 0,11 %. Les opérateurs américains ont retrouvé le sourire vendredi, soulagés par le sommet européen. Le Dow Jones a terminé sur un bond de 2,2 % et le Nasdaq a avancé de 3 %. Wall Street a ainsi signé sa meilleure performance de l’année.
Aujourd’hui, en l’absence d’indicateur majeur, le marché reste sur la défensive. Les dirigeants européens se sont mis d’accord en fin de semaine dernière lors d’un sommet à Bruxelles sur le principe de la création d’une instance unique de supervision des banques de la zone euro et sont convenus qu’elles pourraient être recapitalisées directement par le fonds européen de stabilité financière (FESF) puis par le Mécanisme européen de stabilité (MES), qui a vocation à le remplacer. Pour les spécialistes de Global Equities, même si «tout n’est pas résolu», ce sommet représente toutefois «un grand pas en avant» pour l’Europe.
De fait, il reste encore des inconnues, en particulier sur lancement du nouveau fonds de secours (MES) et sur son fonctionnement. Les investisseurs pourraient en savoir plus lors du prochain Eurogroupe, le lundi 9 juillet.

Ralentissement de la croissance en Chine:

lundi 25 juin 2012

Wall Street attendue en baisse.

La Bourse de New York devrait aborder la séance sur une note pessimiste. Les investisseurs garderont les yeux rivés sur la zone euro avant le sommet de jeudi et vendredi.

Les marchés d’actions américains devraient ouvrir en baisse ce lundi. Les futures sur Standard & Poor’s 500 et sur Nasdaq 100 reculent respectivement de 0,81 % et de 0,66 %. Vendredi, la Bourse de New York a terminé en légère hausse. Le Dow Jones avait pris 0,53 % et le Nasdaq 1,17 %.

Des attentes fortes en Europe:

Les dirigeants de l’Union européennes se retrouveront pour un sommet de deux jours les 28 et 29 juin, une réunion une nouvelle fois considérée comme déterminante pour l’avenir de la zone euro.
Les attentes sont fortes avant ce sommet, qui doit aux yeux des marchés traiter à la fois l’urgence de la crise en zone euro et trouver des solutions de long terme destinées à renforcer l’édifice européen. Pour préparer cette rencontre, les dirigeants des quatre principales économies de l’union monétaire (Allemagne, France, Italie, Espagne) se sont mis d’accord vendredi sur une enveloppe de 1 % du PIB de l’Union européenne (soit environ 130 millions d’euros) destinée à financier «la relance de la croissance». La chancelière allemande Angela Merkel doit encore rencontrer mercredi soir à Paris le président français François Hollande, pour préparer le sommet.

L’Espagne et la Grèce au centre des préoccupations:

jeudi 21 juin 2012

Wall Street toujours aussi indécise .

Traders work on the floor of the New York Stock ExchangeLa Fed a maintenu son taux directeur quasi nul.

 La Bourse de New York aborde la séance sur une note mitigée ce jeudi. Sans grande surprise la Fed a prolongé son « opération Twist » de soutien à l’économie.

Les marchés d’actions américains hésite sur la direction à prendre ce jeudi. Le Dow Jones avance de 0,22 % mais le Nasdaq recule de 0,03 %. Mercredi, la Bourse de New York a terminé proche de l’équilibre. Le Dow Jones a cédé 0,10 %, le Nasdaq a pris 0,02 %.
La Fed a maintenu son taux directeur quasi nul et prolongé son opération «twist» jusqu’à la fin de l’année, pour faire baisser les taux d’intérêt à long terme. Elle a indiqué être prête à prendre, si nécessaire, d’autres mesures pour soutenir la croissance. Elle a par ailleurs relevé sa prévision de chômage pour la fin de l’année à 8 %-8,2 %. «La Fed laisse aux marchés un léger sentiment de déception mais la perspective de nouvelles mesures de relance si besoin limite le risque d’une nette baisse des actions», résument les économistes chez Crédit Agricole CIB.
Un nouvel indicateur décevant venu de Chine pèse sur la tendance à Wall Street. L’indice PMI HSBC des directeurs d’achat publié ce matin accuse un repli en juin pour le huitième mois consécutif.
Sur le front macroéconomique, les nouvelles inscriptions au chômage ont légèrement baissé aux États-Unis autour de la mi-juin mais sans effacer toute leur progression de la semaine précédente. Le marché surveille également la situation en Europe où l’Espagne a souffert sur le marché obligataire.

Les valeurs à suivre: