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lundi 1 novembre 2010

Foot : les clubs les plus lucratifs… et les plus taxés .

Selon le premier « Baromètre Foot Pro » d’Ernst & Young, l’Olympique de Marseille, premier club français par le chiffre d’affaires, est aussi le plus taxé, avec une contribution fiscale de plus de 5 millions d’euros. Au total, le foot professionnel est à l’origine de 570 millions d’euros de recettes fiscales (impôts et cotisations sociales payés directement par les clubs et leurs salariés). Un montant bien supérieur aux 38 millions d’euros de subventions perçues par ces clubs.

1. Olympique de Marseille:
Année de création du club : 1899
Président : Jean-Claude Dassier
Entraîneur : Didier Deschamps (photo)
Budget de la saison 2009-2010 : 105 millions d’euros
Chiffre d’affaires 2008 : 117,8 millions
Contribution fiscale : 5,3 millions

2. Olympique Lyonnais:

samedi 11 septembre 2010

Encéphalogrammes de crise économique et financière.

Il semble qu’elles soient de plus en plus fréquentes et rapprochées mais aussi plus violentes si on traçait une ligne de tendance sur les sommets elle serait clairement haussieres  .
crises

vendredi 10 septembre 2010

Evasion fiscale: le fisc va mettre davantage à contribution les banques.

Evasion fiscale: le fisc va mettre davantage à contribution les banques
'administration fiscale va désormais pouvoir obtenir des banques davantage d'informations sur les mouvements de fonds réalisés par des contribuables français vers l'étranger, une évolution qui doit faciliter la chasse aux évadés fiscaux.

L'administration fiscale ou douanière pouvait déjà réclamer, de manière ponctuelle, des données relatives à des transferts d'argent émanant d'un individu et d'un compte qu'elle devait identifier précisément.
En application d'un décret, publié le 1er septembre et relevé vendredi par La Tribune, elle va désormais pouvoir demander des listes de mouvements sans avoir à identifier les clients concernés.
Cette adaptation avait été souhaitée par l'ancien ministre du Budget, Eric Woerth, aujourd'hui ministre du Travail.
Il avait entamé des négociations en ce sens avec les représentants des banques en septembre 2009, au lendemain de la transmission au fisc français d'une liste de 3.000 contribuables français détenant des comptes non déclarés en Suisse.
M. Woerth souhaitait que la réforme des textes législatifs permette de rendre plus régulière les demandes de l'administration fiscale auprès des banques.

Le FMI débloque 2,57 milliards d'euros de son prêt à la Grèce.

voir_le_zoom : Le Parthénon à Athènes.Le Parthénon à Athène.

Le Fonds monétaire international a annoncé vendredi avoir débloqué une deuxième tranche de son prêt à la Grèce, d'un montant de 2,57 milliards d'euros.
La mise à disposition de cette somme a été votée par la plus haute instance de décision du FMI, son conseil d'administration, où sont représentés 24 pays et groupes de pays.
"Les autorités grecques ont donné un bon départ à leur programme économique, et leur détermination à le mettre en oeuvre commence à porter ses fruits", a indiqué le directeur général adjoint du Fonds, Murilo Portugal, cité dans un communiqué.
Le FMI avait accordé en mai à la Grèce un prêt d'environ 30 milliards d'euros sur trois ans, qui pourrait être le plus grand qu'il ait jamais versé dans son histoire. La première tranche mise à disposition à l'époque se montait à 5,5 milliards d'euros.

Renault et PSA remboursent l'Etat plus tôt, au grand bonheur de Fillon.

voir_le_zoom : Logo de PSA Peugeot CitroënLogo de PSA Peugeot Citroën.

Les deux constructeurs automobiles PSA Peugeot Citroën et Renault vont rembourser à l'Etat, par anticipation, un milliard d'euros chacun, soit le tiers des prêts gouvernementaux accordés pendant la crise, en échange du maintien de leurs usines en France.
voir_le_zoom : Logo de RenaultLogo de Renault.

Les deux constructeurs automobiles français ont affiché vendredi leur santé retrouvée, en remboursant de manière anticipée une partie de leur dette envers l'Etat, au grand bonheur du Premier ministre François Fillon qui a visité une usine de PSA Peugeot Citroën.
"Aujourd'hui nous signons une convention de remboursement anticipé de ces prêts. Qui l'aurait imaginé il y a un an et demi, au coeur de la crise?", s'est félicité François Fillon, lors de son déplacement sur le site de Sochaux.

La reprise de l'économie mondiale faiblira fin 2010 et en 2011, selon le FMI.

voir_le_zoom : Le directeur général du FMI, Dominique Strauss-Kahn, le 12 juillet 2010 en Corée du Sud.Le directeur général du FMI, Dominique Strauss-Kahn, le 12 juillet 2010 en Corée du Sud.

Le Fonds monétaire international a affirmé dans une note à l'attention des pays du G20, publiée vendredi, que la reprise de l'économie mondiale allait se poursuivre, mais s'affaiblir d'ici à la fin de l'année et au premier semestre 2011.

"D'après nos projections la reprise va se poursuivre, avec une certaine faiblesse au second semestre de 2010 qui devrait se reporter sur le premier semestre de 2011", a indiqué le FMI dans cette note rédigée à l'occasion d'une réunion de délégués des pays du G20 en Corée les 4 et 5 septembre.
Le FMI n'a pas donné de nouvelle prévision chiffrée. Elles sont attendues pour début octobre, avant la réunion annuelle de l'institution à Washington.
D'après ses économistes, "la reprise mondiale est entrée dans une nouvelle phase". "Dans les économies développées, le soutien de la relance budgétaire et de la reconstitution des stocks est en train de s'amoindrir, et la croissance sera de plus en plus tirée par la consommation et l'investissement", poursuit le document.

mardi 7 septembre 2010

Irrésistible Apple.

Le groupe californien a réalisé le meilleur trimestre de son histoire et s’apprête à détrôner Microsoft.

Apple a une nouvelle fois réalisé des résultats trimestriels éblouissants. Au troisième trimestre, clos fin juin, le bénéfice net d’Apple a bondi de 78 % à 3,25 milliards de dollars (2,53 Md d’euros), tandis que le chiffre d’affaires a atteint le niveau record de 15,7 milliards de dollars (12,2 Md d’euros), en progression de 61 %. La firme californienne a vendu 8,4 millions d’ex-emplaires de l’iPhone, en hausse de 61 %, et 3,27 millions d’iPad. Le groupe a également vendu 3,47 millions d’ordinateurs Macintosh, en hausse de 33 %, et 9,1 millions de baladeurs numériques iPod, en recul de 8 %. « Il n’y a donc pas de cannibalisation entre les différents produits », souligne la société de conseil Gartner. « Au contraire, les utilisateurs se convertissent progressivement à l’ensemble de l’écosystème Apple. » Le P-DG Steve Jobs a qualifié ces performances de « phénoménales ». Apple est en passe de devenir la première entreprise technologique du monde devant Microsoft. Certes, le groupe fondé par Bill Gates a lui aussi réalisé un dernier trimestre historique. Ses ventes ont bondi de 22 % au quatrième trimestre de son exercice fiscal clos fin juin, à 16 milliards de dollars (12,4 Mds d’euros), soit 300 millions de dollars de plus qu’Apple pour la même période. Mais sur un exercice complet, la firme à la pomme devrait devancer son rival.

mercredi 21 juillet 2010

L'activité bancaire internationale rebondit en début d'année.

L'activité bancaire internationale a rebondi au premier trimestre après avoir fortement reculé l'année dernière, essentiellement dans les pays industrialisés, a annoncé mercredi la Banque des règlements internationaux (BRI), reflétant la reprise dans le secteur.
"Pour la première fois depuis septembre 2008 et après une contraction cumulée de presque 11%, l'activité bancaire internationale a progressé en moyenne de 2% soit de 700 milliards de dollars (544,2 milliards d'euros) au premier trimestre", a précisé la banque centrale des banques centrales dans un communiqué.
Les créances internationale ont particulièrement progressé dans les pays industrialisés. Après avoir reculé de 532 milliards de dollars au dernier trimestre 2009, elles ont de nouveau progressé de 385 milliards entre janvier et mars, selon les statistiques trimestrielles de la BRI.
Cette hausse est surtout à mettre sur le compte de banques au Royaume-Uni et aux Etats-Unis, a précisé l'institut d'émission.
En devises, les créances internationales libellées en dollars ont augmenté de 243 milliards de dollars au premier trimestre, contre un recul de 1 milliard à la fin de l'année dernière.
En euros, les prêts ont enregistré une hausse de 224 milliards de dollars, mais après avoir chuté de 276 milliards de dollars au dernier trimestre 2009.

Tests de résistance: des analystes voient quelques banques échouer.

Des analystes s'attendent à voir quelques banques européennes échouer aux tests de résistance, dont les résultats doivent être publiés vendredi, mais restent néanmoins dubitatifs sur leur capacité à rassurer les marchés.
Dans une note publiée mercredi, les analystes de la banque australienne Macquarie dresse une liste des banques susceptibles d'échouer: l'allemande Postbank, l'italienne Banco Popolare, la portugaise BCP, l'espagnole Sabadell et quatre banques grecques, National bank of Greece, EFG Eurobank, Alpha Bank et Piraeus Bank.
Ils estiment que ces établissements ne satisferaient même pas au scénario dit de base, c'est-à-dire reprenant des hypothèses macroéconomiques fidèles aux prévisions actuelles de la Commission européenne.
Les analystes de Nomura s'inquiètent eux également de Postbank, mais aussi de sa compatriote Commerzbank que la presse allemande annonce pourtant parmi les banques ayant réussi les tests.
Selon plusieurs journaux, un autre établissement allemand, Hypo Real Estate, aurait lui échoué aux tests. "Ce que j'entends à propos de HRE est plausible, mais attendons les résultats", a réagi mercredi la chancelière allemande Angela Merkel.
L'incertitude est encore plus grande pour les banques non cotées, que ne suivent pas les analystes et qui ne publient que peu de données chiffrées.

Les salariés alsaciens de GM disent « oui » aux efforts salariaux.

Environ 70 % des salariés de l'usine GM de Strasbourg ont accepté les mesures de réductions du coût de la main-d'oeuvre en échange du retour du site dans General Motors Company. Reste à savoir si la direction continuera d'exiger l'unanimité syndicale, à laquelle la CGT déroge.
Le référendum, organisé lundi par la CFDT, la CFTC et FO, a connu une participation massive, puisque 929 des 957 personnes présentes y ont participé. Etaient exclus du vote les 198 salariés concernés par le plan social en cours dans cette usine spécialisée dans les transmissions automatiques. Quelque 645 salariés ont donné un avis favorable à la proposition de la direction prévoyant la perte de 6 jours de RTT sur 16, le gel des salaires sur 2 ans et la suppression de l'intéressement pendant 3 ans. Le projet d'accord comporte une clause prévoyant le remboursement de ces avantages en cas de plan social ou de fermeture de l'usine d'ici à 2013. Le but est de permettre à l'usine de réintégrer le nouveau groupe GM, capitalisé à 60 % par l'Etat américain. Le site bas-rhinois sort du giron de Motors Liquidation Company, la structure dédiée à la revente ou à la fermeture des unités de l'ex numéro un mondial automobile.
Hier, la direction de GM Strasbourg se félicitait « de la forte approbation par les salariés de la proposition d'achat du site par General Motors Company. Ce résultat montre que les salariés ont bien compris que l'avenir du site et de ses 1.150 emplois est la priorité. Il appartient désormais aux délégués syndicaux des 4 organisations syndicales […] de se prononcer sur les nouveaux accords collectifs ».

Goldman Sachs affiche des profits en chute libre.

 
Entre la taxe sur les bonus et l'affaire Abacus, la banque américaine a dû faire face à 1,1 milliard de dollars de charges exceptionnelles. Mais ses performances restent décevantes et en deçà des attentes des marchés.


La morosité de l'environnement a fini par rattraper Goldman Sachs. Après avoir suscité l'indignation pour ses profits record au coeur de la crise, celle qu'on surnommait « The Firm » a vu ses résultats s'effondrer au deuxième trimestre : son bénéfice net a chuté à 613 millions de dollars, soit 82 % de moins que les 3,4 milliards d'euros dont elle pouvait encore se vanter l'année dernière. Un résultat très en deçà des attentes.
Le résultat comporte des éléments exceptionnels significatifs puisqu'ils atteignent 1,1 milliard de dollars. Outre la taxe de 50 % sur les bonus de plus de 25.000 livres dont la banque a dû s'acquitter au Royaume-Uni, et dont la note s'est élevée à 600 millions de dollars au deuxième trimestre, Goldman a dû déduire de ses revenus les 550 millions négociés pour mettre fin au procès pour fraude engagé à son encontre par la Securities and Exchange Commission (SEC), payant ainsi le prix de ses opérations controversées durant la crise des « subprimes ». Accusée d'avoir caché aux investisseurs le rôle de son client, le « hedge fund » Paulson & Co., dans la sélection des produits logés dans le CDO « Abacus », vendu alors même que le fonds spéculatif en question pariait sur l'effondrement des crédits immobiliers américains, la banque avait admis avoir fait une « er reur » dans la présentation de son produit et accepté de payer cette somme en échange de l'abandon des poursuites par le régulateur américain.

mardi 20 juillet 2010

BBVA paie un prix record pour pouvoir émettre de la dette sécurisée.

Signe des difficultés des banques espagnoles à se refinancer sur les marchés, l'établissement BBVA a dû offrir une rémunération record aux investisseurs pour pouvoir émettre, lundi, 2 millions d'euros d'obligations sécurisées (« covered bonds ») à trois ans.
La banque a dû payer 195 points de base de plus que l'Euribor, soit cinq points de plus que l'emission effectuée par Bank of Ireland en septembre. C'est l'écart de taux le plus important (« spread ») jamais enregistré sur une émission d'obligations sécurisées.
A seulement trois jours de la publication des tests de résistance conduits par l'Union européenne, l'initiative de BBVA a de quoi surprendre. Depuis l'émission en avril d'un milliard d'euros de covered bonds par La Caixa à 72 points de base, aucune banque espagnole ne s'était risquée à émettre des obligations sécurisées. Alertés par la crise des déficits européens et redoutant des pertes liées aux obligations d'Etat, les investisseurs boudent les prêteurs du pays, et ces derniers peinent à se refinancer sur le marché interbancaire. Les banques espagnoles ont dû lever en juin un record de 126,3 milliards d'euros auprès de la BCE pour faire face à leurs besoins en liquidités. Selon Bank of America Merril Lynch, la rémunération des covered bonds exigée par les marchés auprès des banques espagnoles a plus que doublé au premier semestre 2010, passant de 53 à 112 points de base depuis janvier.

Les Français sont attachés au choix en matière d'optique.

Les assurés veulent pouvoir choisir leur opticien, même s'il est plus cher que celui proposé par leur mutuelle. C'est la conclusion d'un sondage réalisé par Gallileo Business Consulting pour la Centrale des Opticiens, alors que les réseaux de soins agréés par les complémentaires santé prennent de l'ampleur.

Comme le souligne l'étude, les Français plébiscitent leur opticien pour les guider dans leur achat de lunettes. Ils sont 34 % à faire confiance à leur complémentaire santé pour les aider à obtenir le meilleur prix. La majorité d'entre eux (68 %) irait chez l'opticien indiqué mais comparerait les prix et la qualité avec un autre point de vente. La perspective de bénéficier de conditions de remboursement « nettement plus avantageuses » à condition de choisir ses lunettes dans une gamme restreinte ne trouve qu'un écho limité (29 % de réponses favorables). 83 % des sondés se disent même prêts à payer un reste à charge pour avoir les lunettes qui leur conviennent parfaitement. « Les consommateurs souhaitent rester libres de choisir leur opticien et les produits qu'il propose, ceci, indépendamment de leurs garanties », juge Fabrice Masson, directeur de la Centrale des Opticiens.