La Bourse de New York a fini en légère hausse vendredi, se raccrochant à quelques statistiques encourageantes aux Etats-Unis et en Asie, dans un marché peu actif en l'absence d'actualité économique forte: le Dow Jones a gagné 0,46% et le Nasdaq 0,28%.
Selon les chiffres définitifs de clôture, le Dow Jones Industrial Average a progressé de 47,53 points à 10.462,77 points, et le Nasdaq, à dominante technologique, de 6,28 points à 2.242,48 points. L'indice élargi Standard & Poor's 500 est quant à lui monté de 0,49% (5,37 points) à 1.109,55 points. Les indices de Wall Street ont connu une séance hésitante, marquée une nouvelle fois par un très faible volume d'échanges. Faute d'indicateur de premier plan aux Etats-Unis, les investisseurs ont réagi à des chiffres jugés habituellement secondaires. Les stocks des grossistes américains "ont augmenté de 1,3% en juillet, leur plus forte hausse en deux ans, un rebond de la demande ayant poussé les entreprises à renforcer leurs réserves", a relevé Scott Marcouiller, de Wells Fargo Advisors. "C'est un nouvelle preuve que les indicateurs économiques ont peut être entamé un retournement" après leur dégradation de ces derniers mois, a commenté de son côté Peter Cardillo, d'Avalon Partners. Autres bons indicateurs, cette fois en Asie: la croissance du Japon au deuxième trimestre a été fortement rehaussée à 1,5% en rythme annualisé, et les importations de la Chine ont bondi de 35% sur un an en août.
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vendredi 10 septembre 2010
mardi 20 juillet 2010
La Bourse de Tokyo finit en baisse de 1,15%.
L'indice Nikkei a perdu 107,90 points à 9.300,46 points et le Topix, plus large, a cédé 8,32 points (-0,99%) à 832,26 points.
Après la clôture de Wall Street, deux poids lourds du secteur technologique américain, IBM et Texas Instruments, ont déçu les investisseurs avec une hausse légèrement moins marquée que prévu de leur chiffre d'affaires trimestriel.
Chute des saisies de faux billets en euros.
Le rendez-vous semestriel de la Banque centrale européenne (BCE) sur la saisie de faux billets devrait rassurer les utilisateurs de la monnaie unique. L'institution de Francfort a retiré 387.000 faux billets de la circulation, contre 447.000 au second semestre de 2009. Cette baisse de 13 % de la fraude est d'autant plus encourageante que le nombre de billets en circulation a, lui, augmenté depuis le mois de Janvier. Ce sont 13,2 milliards de billets qui servent nos transactions, contre 12,8 au second semestre de l'année passée. Comparé à l'encours, le nombre de faux billets reste donc honorablement faible.
La Grèce émet mardi 1,5 milliard d'euros de bons du Trésor.
La Grèce émet mardi des bons du Trésor à trois mois pour un montant de 1,50 milliard d'euros, après une première émission de bons couronnée de succès la semaine dernière.
L'organisme chargé de la gestion de la dette publique (Pdma) a indiqué que cette émission de bons du Trésor à 13 semaines arriverait à maturité le 22 octobre 2010.
La Grèce a effectué le 13 juillet une émission de bons du Trésor à six mois pour un montant de 1,25 milliard d'euros qui a été sursouscrite, marquant son premier retour sur les marchés du pays depuis le déblocage du plan d'aide de l'Union européenne et du Fonds monétaire international.
L'émission avait suscité une demande de 4,546 milliards d'euros à six mois et la somme finalement placée par la Grèce s'élève à 1,625 milliard d'euro à un taux d'intérêt élevé de 4,65%, selon l'Organisme de la gestion de la dette publique.
Le ministre grec des Finances, Georges Papaconstantinou, avait fait part de sa satisfaction pour le succès de cette émission et avait noté que le taux de 4,65% est inférieur à celui consenti dans le cadre du mécanisme de soutien de l'UE et du FMI au pays.
L'opération a été considérée par les experts comme "un premier message positif" en provenance de Grèce, pays jusqu'à présent mal noté par la communauté financière internationale.
L'organisme chargé de la gestion de la dette publique (Pdma) a indiqué que cette émission de bons du Trésor à 13 semaines arriverait à maturité le 22 octobre 2010.
La Grèce a effectué le 13 juillet une émission de bons du Trésor à six mois pour un montant de 1,25 milliard d'euros qui a été sursouscrite, marquant son premier retour sur les marchés du pays depuis le déblocage du plan d'aide de l'Union européenne et du Fonds monétaire international.
L'émission avait suscité une demande de 4,546 milliards d'euros à six mois et la somme finalement placée par la Grèce s'élève à 1,625 milliard d'euro à un taux d'intérêt élevé de 4,65%, selon l'Organisme de la gestion de la dette publique.
Le ministre grec des Finances, Georges Papaconstantinou, avait fait part de sa satisfaction pour le succès de cette émission et avait noté que le taux de 4,65% est inférieur à celui consenti dans le cadre du mécanisme de soutien de l'UE et du FMI au pays.
L'opération a été considérée par les experts comme "un premier message positif" en provenance de Grèce, pays jusqu'à présent mal noté par la communauté financière internationale.
L'Irlande a placé avec succès 1,5 milliard d'euros d'obligations.
Le gouvernement irlandais a placé mardi avec succès 1,5 milliard d'euros d'obligations à 6 et à 10 ans, avec une demande qui a dépassé très largement l'offre, rassurant sur sa capacité à se financer au lendemain de la dégradation de la note du pays par Moody's.
lundi 19 juillet 2010
La Bourse de Paris termine sous les 3500 points.
Mots clés : banques, chiffre d'affaires, croissance, EUROPE, CHINE, ETATS-UNIS, Wen Jiabao, GDF Suez, Axa.
Alors que la publication des tests de résistance des banques européennes est attendue vendredi, la Bourse de Paris se montre prudente et clôture sur une baisse de 0,40%.
Tandis que les Bourses asiatiques ont nettement reculé ce lundi matin, les marchés financiers parisiens se sont également montrés très soucieux. Le CAC 40 termine la séance sur un baisse de 0,40% à 3486,33 points.
Même doutes en Allemagne où le Dax de la Bourse de Francfort a fini len baisse de 0,52% à 6009,11 points. La Bourse de Londres a également clôturé la journée sur une baisse de 0,21% à 5148,28 points.
Les marchés se montrent prudents avant la publication des stress tests sur les banques européennes vendredi. L'attentisme domine également avant la montée en puissance des publications de résultats en Europe et aux États-Unis.
L'environnement macroéconomique reste également toujours incertain notamment outre-Atlantique. Le premier ministre chinois a tout de même tenté de rassurer les investisseurs sur la croissance économique de son pays. «Tout va comme prévu», a-t-il affirmé ce lundi.
Sur le front macroéconomique, le déficit de la balance des comptes courants de la zone euro s'est creusé en mai à 5,8 milliards d'euros contre 5,6 milliards en avril, selon les chiffres de la Banque centrale européenne.
Tandis que les Bourses asiatiques ont nettement reculé ce lundi matin, les marchés financiers parisiens se sont également montrés très soucieux. Le CAC 40 termine la séance sur un baisse de 0,40% à 3486,33 points.
Même doutes en Allemagne où le Dax de la Bourse de Francfort a fini len baisse de 0,52% à 6009,11 points. La Bourse de Londres a également clôturé la journée sur une baisse de 0,21% à 5148,28 points.
Les marchés se montrent prudents avant la publication des stress tests sur les banques européennes vendredi. L'attentisme domine également avant la montée en puissance des publications de résultats en Europe et aux États-Unis.
L'environnement macroéconomique reste également toujours incertain notamment outre-Atlantique. Le premier ministre chinois a tout de même tenté de rassurer les investisseurs sur la croissance économique de son pays. «Tout va comme prévu», a-t-il affirmé ce lundi.
Sur le front macroéconomique, le déficit de la balance des comptes courants de la zone euro s'est creusé en mai à 5,8 milliards d'euros contre 5,6 milliards en avril, selon les chiffres de la Banque centrale européenne.
La prudence reste de mise à la Bourse de Paris.
Mots clés : banques, chiffre d'affaires, croissance, EUROPE, CHINE, ETATS-UNIS, Wen Jiabao, GDF Suez, Axa.
Alors que la publication des tests de résistance des banques européennes est attendue vendredi, la Bourse de Paris, tente un timide pas en avant ce lundi.
Tandis que les Bourses asiatiques ont nettement reculé ce lundi matin, les marchés financiers parisiens tentent de faire un timide pas en avant. Le CAC 40 avance de 0,65 % en milieu de séance à 3 523 points.
Optimisme mesuré à Londres également où le Footsie avance de 0,59 % ainsi qu'à Francfort où le Dax grappille 0,47 %.
L'environnement macroéconomique reste toujours incertain notamment outre-Atlantique. Le premier ministre chinois a tout de même tenté de rassurer les investisseurs sur la croissance économique de son pays. « Tout va comme prévu », a-t-il affirmé ce lundi.
En attendant la publication des stress tests sur les banques européennes vendredi, la semaine sera surtout marquée par la montée en puissance des publications de résultats en Europe et aux États-Unis.
Sur le front macroéconomique, le déficit de la balance des comptes courants de la zone euro s'est creusé en mai à 5,8 milliards d'euros contre 5,6 milliards en avril, selon les chiffres de la Banque centrale européenne.
Sur le marché des devises, l'euro résiste et se maintient au-dessus de la barre des 1,29 dollar ce lundi matin (+0,09 %).
Tandis que les Bourses asiatiques ont nettement reculé ce lundi matin, les marchés financiers parisiens tentent de faire un timide pas en avant. Le CAC 40 avance de 0,65 % en milieu de séance à 3 523 points.
Optimisme mesuré à Londres également où le Footsie avance de 0,59 % ainsi qu'à Francfort où le Dax grappille 0,47 %.
L'environnement macroéconomique reste toujours incertain notamment outre-Atlantique. Le premier ministre chinois a tout de même tenté de rassurer les investisseurs sur la croissance économique de son pays. « Tout va comme prévu », a-t-il affirmé ce lundi.
En attendant la publication des stress tests sur les banques européennes vendredi, la semaine sera surtout marquée par la montée en puissance des publications de résultats en Europe et aux États-Unis.
Sur le front macroéconomique, le déficit de la balance des comptes courants de la zone euro s'est creusé en mai à 5,8 milliards d'euros contre 5,6 milliards en avril, selon les chiffres de la Banque centrale européenne.
Sur le marché des devises, l'euro résiste et se maintient au-dessus de la barre des 1,29 dollar ce lundi matin (+0,09 %).
Wall Street devrait reprendre de la hauteur.
Mots clés : marché, bourse, conjoncture, WALL street.
La Bourse de New York douchée vendredi par la baisse de moral du consommateur américain et par une série de déception sur les résultats des entreprises devrait tenter de faire un pas en avant ce lundi.
Les marchés d'actions américains, devraient tenter de reprendre un peu de hauteur ce lundi. Les futures sur indices prédisent en effet une ouverture en légère hausse de Wall Street. Les futures sur Standard & Poor's 500 et Nasdaq 100 avancent en effet respectivement de 0,55 % à 1 070,50 points et de 0,51 % à 1 812,10 points. Vendredi, la Bourse de New York avait lourdement chuté, refroidie par la baisse du moral des consommateurs américains et par une série de déceptions sur les résultats des entreprises. Le Dow Jones avait perdu 2,51 % à 10.099,26 points et le Nasdaq 3,11 % à 2 179,05 points. Le Standard & Poor's 500, plus large, a reculé de 2,88 % à 1 064,91 points.
Aujourd'hui, sur le marché des changes, l'euro repartait à la hausse face au dollar dans la matinée. Les investisseurs profitait d'un léger recul de la monnaie unique au cours du week-end pour effectuer des achats à bon compte, alors que le billet vert restait pénalisé par des craintes sur la vigueur de la reprise américaine. L'euro valait 1,2959 dollar contre 1,2926 dollar vendredi soir.
Semaine déterminante:
Les marchés d'actions américains, devraient tenter de reprendre un peu de hauteur ce lundi. Les futures sur indices prédisent en effet une ouverture en légère hausse de Wall Street. Les futures sur Standard & Poor's 500 et Nasdaq 100 avancent en effet respectivement de 0,55 % à 1 070,50 points et de 0,51 % à 1 812,10 points. Vendredi, la Bourse de New York avait lourdement chuté, refroidie par la baisse du moral des consommateurs américains et par une série de déceptions sur les résultats des entreprises. Le Dow Jones avait perdu 2,51 % à 10.099,26 points et le Nasdaq 3,11 % à 2 179,05 points. Le Standard & Poor's 500, plus large, a reculé de 2,88 % à 1 064,91 points.
Aujourd'hui, sur le marché des changes, l'euro repartait à la hausse face au dollar dans la matinée. Les investisseurs profitait d'un léger recul de la monnaie unique au cours du week-end pour effectuer des achats à bon compte, alors que le billet vert restait pénalisé par des craintes sur la vigueur de la reprise américaine. L'euro valait 1,2959 dollar contre 1,2926 dollar vendredi soir.
Semaine déterminante:
jeudi 15 juillet 2010
Londres et Francfort dans le rouge .
Comme à Paris, la Bourse de Londres et de Francfort ont reculé ce jeudi. Le Footsie a cédé 0,80% à 5211,29 points. L'indice Dax de la Bourse de Francfort a de son côté cédé 0,97% à 6149,36 points.
La Bourse de Paris accuse le coup.
Mots clés : Bourse, Crise, PARIS, Ben Bernanke, CAC 40.

Les marchés financiers ont été pénalisés par les indicateurs américains mitigés, la dégradation des perspectives de croissance américaine annoncée par la Fed ainsi que le ralentissement de la croissance chinoise au second trimestre.
Après avoir marqué une pause mercredi après six séances consécutives de hausse, le CAC 40 a nettement accusé le coup ce jeudi. L'indice phare de la Bourse de Paris a perdu à la clôture 1,41% à 3 581,82 points. A Londres, le Footsie lâche 0,88 % à 5 207,50 points. Le Dax allemand recule de 1,10% à 6 141,52 points.
Après la dégradaton des perspectives de croissance américaine annoncée par la Fed et le ralentissement de la croissance chinoise au second trimestre, des indicateurs économiques mitigés venant des Etats-Unis ont nettement pénalisé les marchés d'actions en France.
Indicateurs mitigés aux Etats-Unis:Les inscriptions au chômage ont diminué à leur plus bas niveau depuis août 2008, lors de la semaine achevée le 10 juillet.
Après avoir marqué une pause mercredi après six séances consécutives de hausse, le CAC 40 a nettement accusé le coup ce jeudi. L'indice phare de la Bourse de Paris a perdu à la clôture 1,41% à 3 581,82 points. A Londres, le Footsie lâche 0,88 % à 5 207,50 points. Le Dax allemand recule de 1,10% à 6 141,52 points.
Après la dégradaton des perspectives de croissance américaine annoncée par la Fed et le ralentissement de la croissance chinoise au second trimestre, des indicateurs économiques mitigés venant des Etats-Unis ont nettement pénalisé les marchés d'actions en France.
Indicateurs mitigés aux Etats-Unis:Les inscriptions au chômage ont diminué à leur plus bas niveau depuis août 2008, lors de la semaine achevée le 10 juillet.
Les Bourses américaines creusent leurs pertes.
Mots clés : marché, bourse, conjoncture, WALL street, INTEL CORP.

Après la publication d'indicateurs économiques mitigés, la Bourse de New York affichent des pertes d'environ 1%. Signe que la reprise économique est très fragile, l'indice des conditions d'activité industrielle de la Réserve fédérale de Philadelphie est ressorti en nette baisse.
Les marchés d'actions américains hésitent sur la direction à prendre ce jeudi à l'ouverture. Le Dow Jones perd 0,29% à 10.337 points, le Nasdaq affiche un repli de 0,32% à 2 243 points et le S&P 500 abandonen 0,28% à 1 092 points. La veille déjà, Wall street a connu une séance sans conviction finissant de justesse dans le vert. Le marché a accusé le coup après la révision à la baisse de la prévision de croissance de la Réserve fédérale américaine pour cette année. Le Dow Jones a gagné symboliquement 0,04 % tandis que le Nasdaq a avancé de 0,35 %, porté par les bons résultas d'Intel, publiés la veille après la clôture.
Selon la banque centrale américaine la croissance aux États-Unis devrait être comprise entre 3et 3,5 % cette année, contre une fourchette précédente de 3,2 à 3,7 %. Autre mauvaise nouvelle, la Fed a relevé aussi ses prévisions de taux de chômage pour l'année prochaine.
Aujourd'hui ce sont les chiffres chinois qui risquent de peser sur la tendance. La croissance du PIB de la Chine, considérée comme le moteur de l'économie mondiale, s'est élevée à 10,3 % d'avril à juin, soit un ralentissement par rapport au premier trimestre (+11,9 %) et aux trois derniers mois de 2009 (+10,7 %).
Après la publication d'indicateurs économiques mitigés, la Bourse de New York affichent des pertes d'environ 1%. Signe que la reprise économique est très fragile, l'indice des conditions d'activité industrielle de la Réserve fédérale de Philadelphie est ressorti en nette baisse.
Les marchés d'actions américains hésitent sur la direction à prendre ce jeudi à l'ouverture. Le Dow Jones perd 0,29% à 10.337 points, le Nasdaq affiche un repli de 0,32% à 2 243 points et le S&P 500 abandonen 0,28% à 1 092 points. La veille déjà, Wall street a connu une séance sans conviction finissant de justesse dans le vert. Le marché a accusé le coup après la révision à la baisse de la prévision de croissance de la Réserve fédérale américaine pour cette année. Le Dow Jones a gagné symboliquement 0,04 % tandis que le Nasdaq a avancé de 0,35 %, porté par les bons résultas d'Intel, publiés la veille après la clôture.
Selon la banque centrale américaine la croissance aux États-Unis devrait être comprise entre 3et 3,5 % cette année, contre une fourchette précédente de 3,2 à 3,7 %. Autre mauvaise nouvelle, la Fed a relevé aussi ses prévisions de taux de chômage pour l'année prochaine.
Aujourd'hui ce sont les chiffres chinois qui risquent de peser sur la tendance. La croissance du PIB de la Chine, considérée comme le moteur de l'économie mondiale, s'est élevée à 10,3 % d'avril à juin, soit un ralentissement par rapport au premier trimestre (+11,9 %) et aux trois derniers mois de 2009 (+10,7 %).
Le LSE prêt à riposter à NYSE-Euronext sur le continent.
Mots clés : Bourse de Londres, NYSE Euronext London, LONDRES, PARIS, Xavier Rolet, NYSE Euronext, LONdon stock exchange.

La Bourse de Londres pourrait franchir la Manche et développer des activités notamment à Paris, affirme son directeur dans La Tribune. Cette annonce intervient après l'ouverture de «NYSE-Euronext London».
Les Bourses européennes affûtent leurs armes. Dans un entretien à La Tribune, le patron du London Stock Exchange (LSE) Xavier Rolet a réagi à l'ouverture par NYSE Euronext d'une nouvelle plateforme d'échanges à Londres. Baptisé «NYSE Euronext London», ce nouveau marché est destiné à attirer les cotations étrangères.
«Etendre notre présence sur le continent»:
Xavier Rolet, le Français qui a pris la tête de la Bourse de Londres en mai dernier, s'est dit surpris par cette opération. Sa riposte n'a pas tardé: «Nous avons fait des choix différents et opérons en réseau plutôt que de concentrer toute notre activité sur un centre de données unique», explique-t-il à La Tribune. Avant d'ajouter: «Nous n'excluons d'ailleurs pas d'étendre notre présence sur le continent, en ouvrant de nouveaux centres de traitement de données, dans la mesure où, nous serions les bienvenus, bien entendu».
La Bourse de Londres pourrait franchir la Manche et développer des activités notamment à Paris, affirme son directeur dans La Tribune. Cette annonce intervient après l'ouverture de «NYSE-Euronext London».
Les Bourses européennes affûtent leurs armes. Dans un entretien à La Tribune, le patron du London Stock Exchange (LSE) Xavier Rolet a réagi à l'ouverture par NYSE Euronext d'une nouvelle plateforme d'échanges à Londres. Baptisé «NYSE Euronext London», ce nouveau marché est destiné à attirer les cotations étrangères.
«Etendre notre présence sur le continent»:
Xavier Rolet, le Français qui a pris la tête de la Bourse de Londres en mai dernier, s'est dit surpris par cette opération. Sa riposte n'a pas tardé: «Nous avons fait des choix différents et opérons en réseau plutôt que de concentrer toute notre activité sur un centre de données unique», explique-t-il à La Tribune. Avant d'ajouter: «Nous n'excluons d'ailleurs pas d'étendre notre présence sur le continent, en ouvrant de nouveaux centres de traitement de données, dans la mesure où, nous serions les bienvenus, bien entendu».
Valse-hésitation attendue à Wall Street.
Mots clés : marché, bourse, conjoncture, WALL street, INTEL CORP.

La Bourse de New York devrait ouvrir sur une note hésitante ce jeudi. Les marchés américains, risquent en effet d'accuser le coup après une nouvelle pluie de mauvaises nouvelles en provenance des États-Unis et de la Chine.
Les marchés d'actions américains devraient hésiter sur la direction à prendre ce jeudi à l'ouverture. Les futures sur indices prédisent une ouverture en faible hausse du Standard & Poor's 500 (+0,12 % à 1092,40 points) et du Nasdaq 100 (+ 0,15 % à 1 854,10 points). La veille déjà, Wall street a connu une séance sans conviction finissant de justesse dans le vert. Le marché a accusé le coup après la révision à la baisse de la prévision de croissance de la Réserve fédérale américaine pour cette année. Le Dow Jones a gagné symboliquement 0,04 % tandis que le Nasdaq a avancé de 0,35 %, porté par les bons résultas d'Intel, publiés la veille après la clôture.
Selon la banque centrale américaine la croissance aux États-Unis devrait être comprise entre 3et 3,5 % cette année, contre une fourchette précédente de 3,2 à 3,7 %. Autre mauvaise nouvelle, la Fed a relevé aussi ses prévisions de taux de chômage pour l'année prochaine.
Aujourd'hui ce sont les chiffres chinois qui risquent de peser sur la tendance. La croissance du PIB de la Chine, considérée comme le moteur de l'économie mondiale, s'est élevée à 10,3 % d'avril à juin, soit un ralentissement par rapport au premier trimestre (+11,9 %) et aux trois derniers mois de 2009 (+10,7 %).
Les marchés d'actions américains devraient hésiter sur la direction à prendre ce jeudi à l'ouverture. Les futures sur indices prédisent une ouverture en faible hausse du Standard & Poor's 500 (+0,12 % à 1092,40 points) et du Nasdaq 100 (+ 0,15 % à 1 854,10 points). La veille déjà, Wall street a connu une séance sans conviction finissant de justesse dans le vert. Le marché a accusé le coup après la révision à la baisse de la prévision de croissance de la Réserve fédérale américaine pour cette année. Le Dow Jones a gagné symboliquement 0,04 % tandis que le Nasdaq a avancé de 0,35 %, porté par les bons résultas d'Intel, publiés la veille après la clôture.
Selon la banque centrale américaine la croissance aux États-Unis devrait être comprise entre 3et 3,5 % cette année, contre une fourchette précédente de 3,2 à 3,7 %. Autre mauvaise nouvelle, la Fed a relevé aussi ses prévisions de taux de chômage pour l'année prochaine.
Aujourd'hui ce sont les chiffres chinois qui risquent de peser sur la tendance. La croissance du PIB de la Chine, considérée comme le moteur de l'économie mondiale, s'est élevée à 10,3 % d'avril à juin, soit un ralentissement par rapport au premier trimestre (+11,9 %) et aux trois derniers mois de 2009 (+10,7 %).
La Bourse de Paris sans direction.
Mots clés : Bourse, Crise, PARIS, Ben Bernanke, CAC 40.

Comme en Asie, les marchés parisiens accueillent mal la dégradation des perspectives de croissance américaine annoncée par la Fed ainsi que le ralentissement de la croissance chinoise au second trimestre.
Après avoir marqué une pause mercredi après six séances consécutives de hausse, le CAC 40 poursuit sur le chemin de la baisse ce jeudi. L'indice phare de la Bourse de Paris perd 0,12 % à 3628,59 points à mi-parcours mais joue au yoyo. A Londres, le Footsie lâche 0,34 % à 5235,44 points. Le Dax allemand grappille 0,02 % à 6211,28 points.
Les investisseurs européens suivent leurs confrères asiatiques qui ce matin ont fait basculer les indices dans le rouge. Les marchés, qui voyaient enfin une confirmation de la reprise avec les bons trimestriels d'Alcoa et d'Intel, ont été douchés par les annonces de la Fed mercredi.
La Réserve fédérale américaine revoit en effet les perspectives de croissance américaine à la baisse et table désormais sur une progression comprise entre 3 % et 3,5 % cette année, contre une fourchette de 3,2 % à 3,7 % dans une précédente estimation. La baisse du chômage devrait aussi être plus lente que prévu. De nouvelles mesures de soutien sont même envisagées.
Les marchés observeront donc avec grande attention la publication d'une salve d'indicateurs macroéconomiques américains cet après-midi. Sont attendus l'indice des prix à la production de juin ainsi que l'indice Empire State de l'activité de New York. Viendront ensuite les chiffres des inscriptions hebdomadaires aux allocations chômage, ainsi que ceux de la production industrielle et de l'utilisation des capacités.
Comme en Asie, les marchés parisiens accueillent mal la dégradation des perspectives de croissance américaine annoncée par la Fed ainsi que le ralentissement de la croissance chinoise au second trimestre.
Après avoir marqué une pause mercredi après six séances consécutives de hausse, le CAC 40 poursuit sur le chemin de la baisse ce jeudi. L'indice phare de la Bourse de Paris perd 0,12 % à 3628,59 points à mi-parcours mais joue au yoyo. A Londres, le Footsie lâche 0,34 % à 5235,44 points. Le Dax allemand grappille 0,02 % à 6211,28 points.
Les investisseurs européens suivent leurs confrères asiatiques qui ce matin ont fait basculer les indices dans le rouge. Les marchés, qui voyaient enfin une confirmation de la reprise avec les bons trimestriels d'Alcoa et d'Intel, ont été douchés par les annonces de la Fed mercredi.
La Réserve fédérale américaine revoit en effet les perspectives de croissance américaine à la baisse et table désormais sur une progression comprise entre 3 % et 3,5 % cette année, contre une fourchette de 3,2 % à 3,7 % dans une précédente estimation. La baisse du chômage devrait aussi être plus lente que prévu. De nouvelles mesures de soutien sont même envisagées.
Les marchés observeront donc avec grande attention la publication d'une salve d'indicateurs macroéconomiques américains cet après-midi. Sont attendus l'indice des prix à la production de juin ainsi que l'indice Empire State de l'activité de New York. Viendront ensuite les chiffres des inscriptions hebdomadaires aux allocations chômage, ainsi que ceux de la production industrielle et de l'utilisation des capacités.
La Chine, troisième place boursière mondiale.
Mots clés : bourse, introduction, capitalisation boursière, CHINE, Shanghaï, Shenzhen, Zhang Zhongxin.

Selon un rapport publié au début du mois par le cabinet d'audit PriceWaterhouseCoopers (PWC), la Chine est en passe de devenir la première place mondiale pour les introductions, avec 74 milliards de dollars de capital à lever à Shanghaï et à Shenzhen. Avec une capitalisation boursière de près de 3000 milliards de dollars, la Bourse chinoise s'est hissée cette année à la troisième place, derrière New York et Tokyo.
Malgré des performances très inégales, la Bourse chinoise (Shanghaï et Shenzhen) s'est hissée cette année à la troisième place mondiale, juste derrière New York et Tokyo, avec une capitalisation boursière de près de 3000 milliards de dollars. Elle a pourtant enregistré sans doute la pire performance mondiale avec une baisse de l'indice composite de Shanghaï de 26,8% au premier semestre de l'année. Mais les places chinoises bénéficient des difficultés des autres marchés du globe et de l'«effet Chine».
La croissance de l'économie chinoise joue un rôle de garant permanent des bonnes perspectives des marchés financiers locaux, alors qu'ailleurs le moral est en berne. «Dans le contexte de crise financière, la Chine a été le premier pays à renouer avec la reprise et le gouvernement soutient les marchés en espérant soutenir l'économie réelle par la même occasion», estime Zhang Zhongxin, professeur de finances à l'université de Fudan à Shanghaï.
Selon un rapport publié au début du mois par le cabinet d'audit PriceWaterhouseCoopers (PWC), la Chine est en passe de devenir la première place mondiale pour les introductions, avec 74 milliards de dollars de capital à lever à Shanghaï et à Shenzhen.
Malgré des performances très inégales, la Bourse chinoise (Shanghaï et Shenzhen) s'est hissée cette année à la troisième place mondiale, juste derrière New York et Tokyo, avec une capitalisation boursière de près de 3000 milliards de dollars. Elle a pourtant enregistré sans doute la pire performance mondiale avec une baisse de l'indice composite de Shanghaï de 26,8% au premier semestre de l'année. Mais les places chinoises bénéficient des difficultés des autres marchés du globe et de l'«effet Chine».
La croissance de l'économie chinoise joue un rôle de garant permanent des bonnes perspectives des marchés financiers locaux, alors qu'ailleurs le moral est en berne. «Dans le contexte de crise financière, la Chine a été le premier pays à renouer avec la reprise et le gouvernement soutient les marchés en espérant soutenir l'économie réelle par la même occasion», estime Zhang Zhongxin, professeur de finances à l'université de Fudan à Shanghaï.
mercredi 14 juillet 2010
Septième séance consécutive de hausse pour Wall Street.
Mots clés : marchés, bourse, conjoncture, WALL Street, INTEL CORP, ALCOA.
En dépit des prévisions pessimistes de la Fed, les marchés américains ne se sont pas enfoncés dans le rouge, et au contraire ont clôturé dans le vert. Les annonces de la Banque centrale américain étaient il est vrai anticipées par les investisseurs.
Mitigé. Entre les bons résultats d'Intel publiées mardi et les annonces pessimistes de la Fed, les marchés américains ont mis du temps avant de trouver la bonne direction. Ils ont finalement terminé in extremis dans le vert. Un vert très hésitant. Le Dow Jones a gagné 0,04%, le Nasdaq avance de 0,35% à 2 250. En revanche, le S&P 500 recule de 0,02% à 1 095 points.
Sur le marché des changes, l'euro se maintient au dessus de 1,27 dollar vers 22h40 à 1,2738 dollar (+0,14%). Le billet vert semble perdre un peu de son attrait de valeur refuge. Le début encourageant de la saison des résultats semestriels aux États-Unis semble redonner confiance aux investisseurs et encourage la prise de risque. La devise européenne était de son coté portée par le succès de l'émission de bons du Trésor Grecs. L'opération, assortie d'un taux de 4,65 %, la première depuis le mois de mai, date à laquelle la zone euro et le FMI lui ont accordé des prêts de 110 milliards d'euros sur trois ans, a suscité une demande de plus de 4,5 milliards d'euros, largement supérieure au 1,25 milliard que le pays souhaitait lever.
Les ventes au détail déçoivent, la Fed résolument pessimiste:
Mitigé. Entre les bons résultats d'Intel publiées mardi et les annonces pessimistes de la Fed, les marchés américains ont mis du temps avant de trouver la bonne direction. Ils ont finalement terminé in extremis dans le vert. Un vert très hésitant. Le Dow Jones a gagné 0,04%, le Nasdaq avance de 0,35% à 2 250. En revanche, le S&P 500 recule de 0,02% à 1 095 points.
Sur le marché des changes, l'euro se maintient au dessus de 1,27 dollar vers 22h40 à 1,2738 dollar (+0,14%). Le billet vert semble perdre un peu de son attrait de valeur refuge. Le début encourageant de la saison des résultats semestriels aux États-Unis semble redonner confiance aux investisseurs et encourage la prise de risque. La devise européenne était de son coté portée par le succès de l'émission de bons du Trésor Grecs. L'opération, assortie d'un taux de 4,65 %, la première depuis le mois de mai, date à laquelle la zone euro et le FMI lui ont accordé des prêts de 110 milliards d'euros sur trois ans, a suscité une demande de plus de 4,5 milliards d'euros, largement supérieure au 1,25 milliard que le pays souhaitait lever.
Les ventes au détail déçoivent, la Fed résolument pessimiste:
En Chine, une introduction historique à la Bourse .
Mots clés : CHINE, Agricultural Bank of China.

L'Agricultural Bank of China est un peu l'équivalent local du Crédit agricole… mais avec une clientèle de 320 millions de personnes ! L'Agricultural Bank of China espère réussir la plus grosse levée de fonds de l'histoire, en entrant sur les marchés de Shanghaï et de Hongkong.
Derrière le bouillant carrefour commercial de Xujiahui, au sud-ouest de Shanghaï, une quinzaine de retraitées scrutent, concentrées, des écrans d'ordinateur. Comme d'autres jouent au bridge, elles consultent les cours de la Bourse et passent leurs ordres depuis cette salle de courtage de la firme Xingye. Le calme qui règne ne dit rien de ce qui se prépare à la Bourse chinoise : peut-être la plus grande introduction en Bourse de l'histoire, si l'Agricultural Bank of China (AgBank) parvient à son objectif de récolter 22,1 milliards de dollars, en faisant son entrée aujourd'hui et demain sur les marchés de Shanghaï et de Hongkong. Le record mondial est détenu depuis 2006 par une autre banque chinoise, ICBC (21,9 milliards).
Dernière des quatre grandes banques d'État à être cotée, l'Agricultural Bank of China est un peu l'équivalent local du Crédit agricole… mais avec une clientèle de 320 millions de personnes, soit davantage que toute la population américaine ! Les investisseurs étrangers semblent prêts à souscrire massivement à l'opération, y voyant l'opportunité de mettre un pied sur un marché colossal. Les fonds sou-verains du Qatar et du Koweït prendront 3,8 milliards de dollars de participation. Standard Chartered Bank, Rabobank ou encore le milliardaire hongkongais Li Kashing font aussi partie des intéressés.
Accès aux campagnes :
En revanche, les Chinois eux-mêmes semblent bouder l'offre. Chez les petits porteurs de Shanghaï, l'événement ne déchaîne pas les passions. «Je n'ai pas acheté de titres. J'ai déjà des actions de la China Construction Bank, ça me suffit», tranche Tang Xiuqi, sexagénaire un peu échaudée par les dernières performances du marché. Sur les 15.000 euros qu'elle a placés, elle en a perdu 4000.
L'Agricultural Bank of China est un peu l'équivalent local du Crédit agricole… mais avec une clientèle de 320 millions de personnes !
Derrière le bouillant carrefour commercial de Xujiahui, au sud-ouest de Shanghaï, une quinzaine de retraitées scrutent, concentrées, des écrans d'ordinateur. Comme d'autres jouent au bridge, elles consultent les cours de la Bourse et passent leurs ordres depuis cette salle de courtage de la firme Xingye. Le calme qui règne ne dit rien de ce qui se prépare à la Bourse chinoise : peut-être la plus grande introduction en Bourse de l'histoire, si l'Agricultural Bank of China (AgBank) parvient à son objectif de récolter 22,1 milliards de dollars, en faisant son entrée aujourd'hui et demain sur les marchés de Shanghaï et de Hongkong. Le record mondial est détenu depuis 2006 par une autre banque chinoise, ICBC (21,9 milliards).
Dernière des quatre grandes banques d'État à être cotée, l'Agricultural Bank of China est un peu l'équivalent local du Crédit agricole… mais avec une clientèle de 320 millions de personnes, soit davantage que toute la population américaine ! Les investisseurs étrangers semblent prêts à souscrire massivement à l'opération, y voyant l'opportunité de mettre un pied sur un marché colossal. Les fonds sou-verains du Qatar et du Koweït prendront 3,8 milliards de dollars de participation. Standard Chartered Bank, Rabobank ou encore le milliardaire hongkongais Li Kashing font aussi partie des intéressés.
Accès aux campagnes :
En revanche, les Chinois eux-mêmes semblent bouder l'offre. Chez les petits porteurs de Shanghaï, l'événement ne déchaîne pas les passions. «Je n'ai pas acheté de titres. J'ai déjà des actions de la China Construction Bank, ça me suffit», tranche Tang Xiuqi, sexagénaire un peu échaudée par les dernières performances du marché. Sur les 15.000 euros qu'elle a placés, elle en a perdu 4000.
La Bourse de Paris reprend son souffle.
Mots clés : Bourse, PARIS, CAC 40.
Après six séances consécutives de hausse, les marchés parisiens clôturent en légère baisse, en ce jour de fête nationale, dans un marché peu animé et pénalisé par un recul des valeurs bancaires.
Le CAC 40 fait une pause, après six séances consécutives de hausse. Dans un marché peu animé (2,5 milliards d'euros), le CAC 40 a perdu 0,13% à 3 692,98 points.
Dans le reste de l'Europe, l'humeur est mitigée. L'indice Footsie de Londres a perdu 0,33% à 5 253,52 points, alors que le Dax de la Bourse de Francfort a gagné 0,30% à 6 209,76 points.
Ce mercredi, les investisseurs suivent donc leurs homologues asiatiques qui ce matin ont fait grimper les indices de la région. Les marchés sont rassurés sur le rythme de la reprise économique mondiale par les bons résultats trimestriels des grands groupes américains. Lundi, Alcoa envoyait un signal positif, bien capté par Wall Street qui signait sa sixième séance de hausse consécutive. Puis, mardi soir après Bourse, Intel annonçait avoir réalisé la performance de son histoire avec un bénéfice net au second trimestre de 2,887 milliards de dollars, largement au dessus du consensus.
Ces nouvelles rassurantes ont éclipsé l'annonce par Moody's d'une dégradation sévère de la note de la dette portugaise. De même, elles font passer au second plan le moral en berne des investisseurs allemands, illustré par un indice Zew au plus bas depuis avril dernier.
Côté indicateurs ce mercredi, Eurostat a annoncé en mai une croissance annuelle de la production industrielle moins marquée que prévu, à +0,9% mensuellement et +9,4% annuellement. L'inflation a ralenti en juin dans la zone euro, à 1,4% sur un an après 1,6% en mai.
Côté indicateurs ce mercredi, le département du Commerce a fait état d'une baisse de 0,5% des ventes au détail aux Etats-Unis, le mois dernier, après une diminution de 1,1% en mai selon une estimation révisée. Les économistes et analystes interrogés par Reuters pronostiquaient une baisse de 0,2%. Par rapport à juin 2009, les ventes sont en hausse de 4,8%. Cette statistique vient s'ajouter à une série de chiffres jugés décevants, notamment dans l'immobilier et l'industrie, et suggère que la reprise s'essouffle un peu plus rapidement que prévu.
Le CAC 40 fait une pause, après six séances consécutives de hausse. Dans un marché peu animé (2,5 milliards d'euros), le CAC 40 a perdu 0,13% à 3 692,98 points.
Dans le reste de l'Europe, l'humeur est mitigée. L'indice Footsie de Londres a perdu 0,33% à 5 253,52 points, alors que le Dax de la Bourse de Francfort a gagné 0,30% à 6 209,76 points.
Ce mercredi, les investisseurs suivent donc leurs homologues asiatiques qui ce matin ont fait grimper les indices de la région. Les marchés sont rassurés sur le rythme de la reprise économique mondiale par les bons résultats trimestriels des grands groupes américains. Lundi, Alcoa envoyait un signal positif, bien capté par Wall Street qui signait sa sixième séance de hausse consécutive. Puis, mardi soir après Bourse, Intel annonçait avoir réalisé la performance de son histoire avec un bénéfice net au second trimestre de 2,887 milliards de dollars, largement au dessus du consensus.
Ces nouvelles rassurantes ont éclipsé l'annonce par Moody's d'une dégradation sévère de la note de la dette portugaise. De même, elles font passer au second plan le moral en berne des investisseurs allemands, illustré par un indice Zew au plus bas depuis avril dernier.
Côté indicateurs ce mercredi, Eurostat a annoncé en mai une croissance annuelle de la production industrielle moins marquée que prévu, à +0,9% mensuellement et +9,4% annuellement. L'inflation a ralenti en juin dans la zone euro, à 1,4% sur un an après 1,6% en mai.
Côté indicateurs ce mercredi, le département du Commerce a fait état d'une baisse de 0,5% des ventes au détail aux Etats-Unis, le mois dernier, après une diminution de 1,1% en mai selon une estimation révisée. Les économistes et analystes interrogés par Reuters pronostiquaient une baisse de 0,2%. Par rapport à juin 2009, les ventes sont en hausse de 4,8%. Cette statistique vient s'ajouter à une série de chiffres jugés décevants, notamment dans l'immobilier et l'industrie, et suggère que la reprise s'essouffle un peu plus rapidement que prévu.
La Bourse de Paris fait une pause.
Mots clés : Bourse, PARIS, CAC 40.

Les marchés parisiens reprennent leur souffle à mi-parcours après avoir démarré en hausse, portés par les résultats d'Intel.
Le CAC 40 marque la pause. Après avoir entamé la journée sur un gain de 0,40 %, l'indice phare de la Bourse de Paris recule de 0,36 % à 3625 points. Les marchés hésitent entre une septième séance de hausse d'affilée ou des prises de bénéfices.
Dans le reste de l'Europe, l'humeur est la même. L'indice Dax de la Bourse de Francfort qui a ouvert en hausse de 0,39 %, recule de 0,08 % en milieu de séance à 6185,92 points tandis qu'à Londres, l'indice Footsie qui gagnait 0,31 %, cède 0,57 % à 5241,01 points.
Ce mercredi, les investisseurs avaient suivent donc leurs homologues asiatiques qui ce matin ont fait grimper les indices de la région. Les marchés sont rassurés sur le rythme de la reprise économique mondiale par les bons résultats trimestriels des grands groupes américains. Lundi, Alcoa envoyait un signal positif, bien capté par Wall Street qui signait sa sixième séance de hausse consécutive. Puis, mardi soir après Bourse, Intel annonçait avoir réalisé la performance de son histoire avec un bénéfice net au second trimestre de 2,887 milliards de dollars, largement au dessus du consensus.
Ces nouvelles rassurantes ont éclipsé l'annonce par Moody's d'une dégradation sévère de la note de la dette portugaise. De même, elles font passer au second plan le moral en berne des investisseurs allemands, illustré par un indice Zew au plus bas depuis avril dernier.
Côté indicateurs ce mercredi, Eurostat a annoncé en mai une croissance annuelle de la production industrielle moins marquée que prévu, à +0,9% mensuellement et +9,4% annuellement. L'inflation a ralenti en juin dans la zone euro, à 1,4% sur un an après 1,6% en mai.
Le CAC 40 marque la pause. Après avoir entamé la journée sur un gain de 0,40 %, l'indice phare de la Bourse de Paris recule de 0,36 % à 3625 points. Les marchés hésitent entre une septième séance de hausse d'affilée ou des prises de bénéfices.
Dans le reste de l'Europe, l'humeur est la même. L'indice Dax de la Bourse de Francfort qui a ouvert en hausse de 0,39 %, recule de 0,08 % en milieu de séance à 6185,92 points tandis qu'à Londres, l'indice Footsie qui gagnait 0,31 %, cède 0,57 % à 5241,01 points.
Ce mercredi, les investisseurs avaient suivent donc leurs homologues asiatiques qui ce matin ont fait grimper les indices de la région. Les marchés sont rassurés sur le rythme de la reprise économique mondiale par les bons résultats trimestriels des grands groupes américains. Lundi, Alcoa envoyait un signal positif, bien capté par Wall Street qui signait sa sixième séance de hausse consécutive. Puis, mardi soir après Bourse, Intel annonçait avoir réalisé la performance de son histoire avec un bénéfice net au second trimestre de 2,887 milliards de dollars, largement au dessus du consensus.
Ces nouvelles rassurantes ont éclipsé l'annonce par Moody's d'une dégradation sévère de la note de la dette portugaise. De même, elles font passer au second plan le moral en berne des investisseurs allemands, illustré par un indice Zew au plus bas depuis avril dernier.
Côté indicateurs ce mercredi, Eurostat a annoncé en mai une croissance annuelle de la production industrielle moins marquée que prévu, à +0,9% mensuellement et +9,4% annuellement. L'inflation a ralenti en juin dans la zone euro, à 1,4% sur un an après 1,6% en mai.
Les Bourses américaines évoluent sans direction.
Mots clés : marchés, bourse, conjoncture, WALL Street, INTEL CORP, ALCOA.
Malgré les résultats «historiques» d'Intel, les Bourses américaines sont hésitantes, ce mercredi, en raison du recul des ventes de détail.
Les Bourses américaines font une pause. Après six séances de hausse consécutivés, les marchés outre-Atlantique évoluent en ordre dispersé. Le Dow Jones perd 0,07% à 10.356 points et le S&P 500 recule de 0,30% à 1 092 points, alors que le Nasdaq avance de 0,26% à 2 248 points. Mardi, la Bourse de New York a fini en nette hausse pour la sixième séance de suite, encouragée par les résultats satisfaisants du producteur d'aluminium Alcoa, de bon augure pour le reste de la saison. Le Dow Jones a gagné 1,41 % et le Nasdaq 1,95 %, selon des chiffres provisoires.
Sur le marché des changes, l'euro se maintient au dessus de 1,27 dollar vers 16 heures. Le billet vert semble perdre un peu de son attrait de valeur refuge. Le début encourageant de la saison des résultats semestriels aux États-Unis semble redonner confiance aux investisseurs et encourage la prise de risque. La devise européenne était de son coté portée par le succès de l'émission de bons du Trésor Grecs. L'opération, assortie d'un taux de 4,65 %, la première depuis le mois de mai, date à laquelle la zone euro et le FMI lui ont accordé des prêts de 110 milliards d'euros sur trois ans, a suscité une demande de plus de 4,5 milliards d'euros, largement supérieure au 1,25 milliard que le pays souhaitait lever.
Les Bourses américaines font une pause. Après six séances de hausse consécutivés, les marchés outre-Atlantique évoluent en ordre dispersé. Le Dow Jones perd 0,07% à 10.356 points et le S&P 500 recule de 0,30% à 1 092 points, alors que le Nasdaq avance de 0,26% à 2 248 points. Mardi, la Bourse de New York a fini en nette hausse pour la sixième séance de suite, encouragée par les résultats satisfaisants du producteur d'aluminium Alcoa, de bon augure pour le reste de la saison. Le Dow Jones a gagné 1,41 % et le Nasdaq 1,95 %, selon des chiffres provisoires.
Sur le marché des changes, l'euro se maintient au dessus de 1,27 dollar vers 16 heures. Le billet vert semble perdre un peu de son attrait de valeur refuge. Le début encourageant de la saison des résultats semestriels aux États-Unis semble redonner confiance aux investisseurs et encourage la prise de risque. La devise européenne était de son coté portée par le succès de l'émission de bons du Trésor Grecs. L'opération, assortie d'un taux de 4,65 %, la première depuis le mois de mai, date à laquelle la zone euro et le FMI lui ont accordé des prêts de 110 milliards d'euros sur trois ans, a suscité une demande de plus de 4,5 milliards d'euros, largement supérieure au 1,25 milliard que le pays souhaitait lever.
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