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lundi 2 juillet 2012

La Bourse de Paris poursuit sa marche en avant.

U.S. Markets Open Higher On News Of EU Greece Debt PlanLes investisseurs poursuivent sur la tendance de vendredi.

  Le CAC 40 grimpe d’environ 1 % en milieu de séance. L’indice qui avait progressé de 4,75 % vendredi reste porté par l’accord européen. Les banques conduisent la hausse.




Le temps reste au beau fixe ce lundi à la Bourse de Paris. En milieu de séance, le CAC 40 avance de 1,02 % à 3229,35 points. Vendredi, le marché avait déjà salué avec enthousiasme l’issue du sommet de Bruxelles, signant sa plus forte hausse de l’année.
Ailleurs en Europe, Francfort avance de 1,23 %, Londres de 0,65 %, Madrid de 0,17 % et Milan de 0,34 %. Les marchés restent portés par l’accord européen de la fin de la semaine dernière, qui ouvre la porte à l’intervention des fonds de secours pour aider les pays en difficultés, esquisse une union bancaire et lance les bases d’un un pacte de croissance.
Les investisseurs attendent désormais d’avoir plus de détails sur cet accord. La question portera sur le bon calibrage des fonds de secours européens, alors que la nouvelle structure, le Mécanisme européen de stabilité (MES) n’est pas encore mise en place. «C’est un rayon de soleil appréciable, mais il faut que le marché adoube complètement le nouveau plan. Il faudra voir comment les annonces se mettent en place. Le diable est dans les détails», prévient Bertrand Lamielle, gérant de B*Capital.

Des doutes sur la croissance:

lundi 25 juin 2012

La Bourse de Paris chute vers les 3000 points.

A trader works on the floor of the New York Stock ExchangeLa France procédera aujourd’hui à une adjudication de bons du Trésor vers 15 heures.


 Pénalisé par les valeurs bancaires, le CAC 40 perd près de 2%, en milieu de séance. L’Espagne a officialisé sa demande d’aide à la zone euro pour ses banques, sans en donner le montant exact.


 La Bourse de Paris creuse ses pertes en milieu de séance. Le CAC 40 perd 1,7 % en milieu de séance et se trouve désormais à une encablure des 3000 points, à 3037,24 points.



Le marché se montre pessimiste avant le sommet européen qui se tiendra jeudi et vendredi à Bruxelles afin de trouver les moyens d’éteindre l’incendie dans la zone euro. Pour préparer cette rencontre, les dirigeants des quatre principales économies de l’union monétaire (Allemagne, France, Italie, Espagne) se sont réunis vendredi. Ils se sont mis d’accord sur une enveloppe de 1 % du PIB de l’Union européenne (soit environ 130 millions d’euros) destinée à financier «la relance de la croissance» et sur une taxe sur les transactions financières qui doit être mise en place dans un nombre restreint de pays membres de la zone euro.

L’Espagne dépose officiellement une demande d’aide à la zone euro:

jeudi 21 juin 2012

La Bourse de Paris sur la défensive avant l’Eurogroupe.

A trader reacts at his desk at the Frankfurt stock exchangeHier, le CAC 40 a gagné 0,28 % à 3126,52 points.

  L’indice boursier affiche une petite hausse, en début d’après-midi. En attendant l’Eurogroupe les investisseurs surveillent la situation de l’Espagne, toujours dans le collimateur des marchés.


Après avoir évolué dans le rouge durant toute cette matinée, le CAC 40 est revenu dans le vert en début d’après-midi. L’indice boursier gagne 0,16% à 3131,49 points. La situation de l’Espagne reste au centre des préoccupations. Madrid a emprunté ce matin 2,22 milliards d’euros en obligations à deux, trois et cinq ans, mais a encore vu ses taux d’intérêt s’envoler, quelques heures avant de dévoiler le montant dont ses banques ont besoin, dans le cadre du plan de sauvetage européen.
Les investisseurs surveilleront les débats au sein de l’Eurogroupe à Luxembourg à partir de 16 heures. Le menu des discussions est chargé: l’aide à l’Espagne, les futures négociation avec le nouveau gouvernement grec qui souhaite renégocier le plan de rigueur imposé au pays et enfin, la situation à Chypre qui devrait faire appel à son tour à l’aide européenne la semaine prochaine. Demain se tiendra également un mini-sommet entre les dirigeants italien, allemand, français et espagnol.
Les annonces de la Réserve fédérale américaine (Fed) hier soir ont en effet déçu les marchés qui espéraient un nouvel d’assouplissement quantitatif (QE3). La Fed a cependant annoncé qu’elle poursuivait jusqu’à la fin de l’année l’opération «Twist» d’échange de bons du Trésor qui devait s’achever fin juin. Elle maintient, de plus, son taux directeur quasi nul. Elle a également abaissé ses prévisions de croissance pour l’économie américaine: elle table désormais sur 1,9 % à 2,4 % de croissance en 2012, soit 0,5 point de moins qu’en avril. Ses prévisions de chômage sont pour leur part revues en hausse à 8 %-8,2 % fin 2012.

mercredi 20 juin 2012

La Bourse de Paris reprend son souffle avant la Fed .

A trader reacts at his desk at the Frankfurt stock exchangeLe CAC 40 a terminé en hausse de 1,69 % hier à 3117,92 points.

 Le CAC 40 recule de 0,42 % en milieu de séance après avoir terminé sur un net rebond hier. Les marchés espèrent l’annonce, ce soir, d’une nouvelle intervention de la Réserve fédérale américaine.

La Bourse de Paris fait une pause ce mercredi, en attendant le discours de la banque centrale américaine (Fed). Le CAC 40 cède de 0,42 % en milieu de séance à 3104 points. Hier, l’indice parisien a terminé en nette hausse de 1,69 % à 3117,92 points, porté par l’espoir d’une nouvelle intervention de la Réserve fédérale américaine (Fed). Celle-ci doit publier aujourd’hui à 18h30 (heure française) le compte-rendu de ses décisions prises lors de la réunion du comité de politique monétaire, qui a débuté hier. Les marchés tablent sur de nouvelles mesures de relance à l’économie américaine.
On devrait par ailleurs connaître dans la journée le nouveau gouvernement grec suite aux élections législatives de dimanche. Il devrait rassembler les conservateurs de Nouvelle Démocratie, les socialistes du Pasok et le petit parti de la Gauche démocratique.

mardi 19 juin 2012

Les entreprises paieront une surtaxe sur les dividendes.

A worker on IG Index's trading floor holds his head in his hands as markets tumble globally, in London
Les entreprises qui distribuent des dividendes à leurs actionnaires seront frappées d’une taxe, selon une information des Echos confirmée au Figaro.


Le gouvernement a décidé de taxer à 3 % les dividendes versés par les entreprises à leurs actionnaires. La mesure, révélée par Les Échos et confirmée au Figaro, fera partie du texte budgétaire, présenté le 4 juillet en Conseil des ministres. Elle entrera en vigueur dès le vote de la loi, cet été. De quoi rapporter 300 millions d’euros au budget de l’État dès 2012, puis 800 millions en année pleine à partir de 2013.
C’est l’entreprise qui payera cette surtaxe de 3 %, et non l’actionnaire percevant le dividende. Seules les entreprises soumises à l’impôt sur les sociétés (IS) seront concernées. Les petites et moyennes entreprises au sens européen (moins de 250 salariés et un chiffre d’affaires inférieur à 50 millions d’euros) et qui sont indépendantes (qui ne font pas partie d’un groupe) échapperont à cette taxe.
De même, une entreprise qui distribuera des dividendes à une filiale détenue à plus de 10 % en sera exonérée. La philosophie de la mesure est d’inciter les entreprises à investir plutôt qu’à distribuer des dividendes. Les sociétés du CAC 40, qui ont versé 45 milliards à leurs actionnaires en 2011, seront particulièrement touchées par ce tour de vis. Les particuliers seront pénalisés par un effet indirect ; ­il est probable que les sociétés réduisent les ­dividendes versés. En outre, les petits porteurs ont déjà subi ces dernières années une forte hausse de la fiscalité sur leurs ­dividendes.
Une hausse appelée à se poursuivre avec la taxation des revenus de l’épargne au même barème que les salaires. Et ce au moment même où le gouver­nement s’apprête, selon nos informations, à durcir la taxe sur les transactions ­financières. Par ailleurs, Bercy a finalement décidé de ne taxer ni les OPCVM français, ni les OPCVM étrangers (qui l’étaient à 30 %) sur les dividendes qu’ils perçoivent.

jeudi 14 juin 2012

Le CAC 40 navigue autour des 3000 points.

A trader speaks on the phone at a bank in LisbonLes opérateurs voient l’Espagne se rapprocher de la catégorie spéculative chez Moody’s.

 L’indice, qui est passé sous les 3000 points, recule de 0,73 % à la mi-séance. Les marchés accusent le coup après la dégradation de l’Espagne par Moody’s. Ils attendent aussi des statistiques aux États-Unis.

L’atmosphère reste maussade ce jeudi à la Bourse de Paris. Le CAC 40 cède 0,73 % en milieu de séance à 3008 points. En fin de matinée le CAC 40 est repassé sous le seuil des 3000 points, touchant un plancher à 2993,71 points. La veille, il avait terminé sur un recul de 0,55 % après avoir joué au yo-yo pendant la séance.
L’Italie qui se trouve depuis quelques jours dans le collimateur des marchés a emprunté aujourd’hui 4,5 milliards d’euros à moyen et long terme, atteignant ainsi son objectif maximum, mais à des taux en très forte hausse.
Cette nouvelle ajoute de la tension sur des marchés déjà préoccupés par l’aggravation de la crise de la dette en zone euro. Hier, Moody’s a abaissé de trois crans, à «Baa3», la note d’endettement de long terme de l’Espagne. Selon elle, le plan d’aide de 100 milliards d’euros aux banques risque d’«accroître encore le poids de la dette supportée par le pays». Avec ce nouveau coup de boutoir, l’Espagne se rapproche dangereusement de la catégorie spéculative. La petite agence américaine Egan-Jones a aussi dégradé l’Espagne à «CCC +» contre «B» auparavant.

Opération séduction pour garder la Grèce en zone euro:

mercredi 13 juin 2012

La Bourse de Paris retombe dans le rouge.

Trader watch their screens on the Troika Dialog trading floor in MoscowLes investisseurs décortiquent les annonces concernant l’aide en zone euro.

 Après avoir changé de cap à plusieurs reprises, le CAC 40 recule de 0,80 % en début d’après midi. La crise en zone euro reste au cœur des préoccupations.

Le CAC 40 qui avait abordé la séance sur une note légèrement optimiste recule de 0,80 % en milieu d’après midi à 3022,08 points. Hier, l’indice phare de la Bourse de Paris a terminé en petite hausse.
Mais aujourd’hui des statistiques de mauvaise augure aux Etats Unis s’ajoutent aux inquiétudes sur la zone euro.
Les ventes au détail ont reculé de 0,2 % en mai aux États-Unis pour le deuxième mois consécutif et les prix à la production ont diminué de % en mai, à leur rythme le plus marqué depuis juillet 2009, en raison du net repli des coûts de l’énergie.
Les investisseurs continuent de s’interroger sur les détails du plan d’aide européen aux banques espagnoles pouvant aller jusqu’à 100 milliards d’euros. Le taux à 10 ans de l’Espagne a d’ailleurs atteint un plus haut depuis la création de la zone euro mardi en séance, à 6,756 % contre 6,487 % lundi soir. Et l’agence d’évaluation financière Fitch a abaissé la note de crédit à long terme de 18 banques espagnoles.
Par ailleurs, Mario Monti, premier ministre italien, a dû monter au créneau pour confirmer que Rome «même à l’avenir, n’aura pas besoin de l’aide du Fonds de soutien de la zone euro (FESF)». Son pays est en effet lui aussi dans le viseur des marchés. Ce matin, le Trésor italien a emprunté comme prévu 6,5 milliards d’euros à un an mais a vu ses taux d’intérêt s’envoler. Les taux de ces obligations à douze mois se sont inscrits à 3,972 % contre 2,34 % lors de la dernière opération similaire le 11 mai.
Enfin, Chypre avait fortement laissé entendre lundi qu’il pourrait nécessiter une aide internationale avant la fin du mois. Moody’s a d’ailleurs abaissé hier soir la note de crédit de deux banques chypriotes et placé celle de Popular sous surveillance négative.

L’Allemagne inflexible:

mardi 12 juin 2012

Timide rebond à la Bourse de Paris.

Traders are pictured at their desks at the Frankfurt stock exchangeLes investisseurs attendent d’en savoir plus sur le plan d’aide à l’Espagne.


 Le CAC 40 avance de 0,55 % en milieu de séance. Les opérateurs restent sceptiques sur le plan d’aide aux banques espagnoles. La tension monte également d’un cran en Italie et en Grèce.



L’ambiance reste fébrile à la Bourse de Paris. En milieu de séance, le CAC 40 avance modestement de 0,55 % à 3059,41 points. Hier, l’indice parisien a terminé en petite baisse, les investisseurs s’interrogeant sur le plan d’aide à l’Espagne. L’euphorie qui a suivi son annonce a rapidement fait long feu. Les questions sur les modalités de sa mise en place refroidissant les investisseurs. Le vice-président de la Commission européenne, Joaquin Almunia, a confirmé hier qu’il y aurait «des conditions», à la mise en œuvre de ce plan.
Les investisseurs attendent de connaître le montant exact de cette ligne de crédit ainsi que son taux et les éventuelles répercussions sur la dette du pays. L’Eurogroupe doit également communiquer sur certains éléments d’ordre pratiques, comme l’utilisation du MES (Mécanisme de stabilité Européen) ou du FESF (Fonds européen de stabilité financière). Un point qui est loin d’être neutre, contrairement au FESF, les prêts du MES seraient remboursés en priorité et au détriment des autres créanciers. Ce dernier scénario peut entretenir les craintes du marché. En effet dans ce cas, les investisseurs privés se verraient reléguer derrière le MES.
Preuve du scepticisme ambiant, sur le marché de la dette, le taux à 10 ans des emprunts espagnols est de nouveau passé au-dessus du seuil critique des 6 %, à 6,49 % ce matin. Les interrogations visent aussi l’Italie qui se trouve à son tour dans le collimateur des marchés. Rome a vu ses taux obligataires à 10 ans repasser au-dessus des 6 % sur le marché de la dette, pour la première fois depuis le 1er juin. Ce matin, le marché de la dette publique italienne se tendait encore avec des taux proches de 6,25 %

Plans d’urgence en Grèce:

mercredi 6 juin 2012

La Bourse de Paris réduit la cadence.

Traders are pictured at their desks in front of the DAX board at the Frankfurt stock exchange 


Les investisseurs attendent le discours de la BCE.

 Le CAC 40 s’adjuge 2,04% à mi-séance à 3046,81 points. Les marchés européens restent portés par les conclusions de la réunion du G7, hier. Ils attendent également la décision de la BCE sur la crise actuelle.



Belle séance à la Bourse de Paris. Le CAC 40 grimpe de 2,04% en milieu de journée ce mercredi et s’installe bien au-dessus du seuil des 3000 points (à 3046,81 points). Le marché espère des décisions favorables pour le système bancaire européen. Les investisseurs espèrent notamment une baisse des taux de la BCE, ainsi que «des annonces sur une aide plus générale au secteur bancaire qui pourraient être prises qui vont redonner confiance aux marchés», selon les spécialistes de Global Equities.
Le marché reste également soutenu par la promesse des ministres des Finances du G7 de trouver «rapidement» une réponse à la crise de la dette qui fragilise la zone euro.
Pratiquement toutes les valeurs du CAC 40 sont en hausse avec en tête les cycliques à l’image d’Alstom (+4,49%) ou Schneider (+3,96%) et des financières comme Axa (+5,53%) ou Natixis (+5,68%).
Hier, l’indice phare de la Bourse de Paris avait terminé sur une hausse de 1,07%. Les membres du G7 se sont entendus pour travailler ensemble à résoudre les problèmes affectant la région mais n’ont publié aucun communiqué commun à l’issue de cette téléconférence convoquée en urgence.
Washington maintient justement une pression accrue sur l’Europe. «Nous espérons que des mesures accélérées seront prises dans les prochaines semaines», a déclaré le porte-parole du président Barack Obama, Jay Carney. Le ministre japonais des Finances a pour sa part appelé l’Europe à agir de façon «responsable» pour endiguer sa crise d’endettement qui menace l’économie mondiale.

L’Espagne lance un appel au secours:

mardi 29 mai 2012

La Bourse de Paris tente de rebondir.


Le secteur bancaire reste sous pression.

 Après avoir changé de cap à plusieurs reprises, le CAC 40 grimpe de 1,25 % juste avant l’ouverture de Wall Street. Si la situation en Grèce s’améliore un peu, l’Espagne en revanche s’enfonce dans le marasme.

Le CAC 40 qui a tergiversé pendant toute la première partie de séance s’installe dans le vert. Il avance de 1,25 % en milieu d’après midi à 3080,66 points.
Les marchés espèrent une intervention de la BCE sur l’épineuse question de la recapitalisation des banques. Depuis quelques jours, les inquiétudes du marché se cristallise autour de l’Espagne, dont les banques sont littéralement asphyxiées.
Le premier ministre espagnol a réaffirmé hier que le pays n’aurait pas besoin d’une aide européenne et privilégie une solution nationale. Mais des prêts du Fonds de stabilité européen pourraient finalement être envisagés. Les taux à 10 ans de l’obligation espagnole de référence se tendaient fortement sur le marché obligataire. Les investisseurs, de plus en plus inquiets de l’état des banques du pays, se détournent en effet des titres de dette espagnole: le taux a grimpé jusqu’à 6,451 % contre 6,311 % vendredi. Tandis que les tensions reviennent sur le marché de la dette publique en zone euro, l’Italie a emprunté ce matin 8,5 milliards d’euros à six mois à des taux en nette hausse. Autre mauvaise nouvelle, l’économie espagnole, entrée en récession au premier trimestre 2012 avec un recul de son PIB de 0,3 %, continuera à se contracter au deuxième trimestre, selon les prévisions de la Banque d’Espagne.
A Athènes, la situation s’améliore légèrement. Après des sondages favorables aux partis qui militent en faveur du plan européen, pour les prochaines élections législatives, les quatre principales banques du pays ont reçu lundi 18 milliards d’euros du Fonds européen de stabilité financière (FESF) en vue de leur recapitalisation.

Un seul indicateur américain au programme:

vendredi 25 mai 2012

Valse hésitation à la Bourse de Paris.


Stress en vue sur les marchés financiers.

 Le CAC 40 recule de 0,49% à 3023 points en milieu de séance après son rebond technique de 1,16% hier. Le moral des consommateurs français se redresse légèrement.

La Bourse de Paris hésite sur la direction à prendre ce vendredi. En milieu de séance, le CAC 40 recule de 0,49% à 3023 points après avoir passé toute la matinée dans le vert. Hier, il s’est offert un joli rebond technique avec une hausse de 1,16% à 3038 points, grâce notamment au maintien du AAA de la France par Moody’s. Mais comme le montrent les Bourses asiatiques ce vendredi matin et celle de New York jeudi, la prudence reste de mise.
Les dissensions franco-allemandes pèsent sur l’euro qui depuis le 1er mai a chuté de plus de 5% par rapport au dollar. En un peu moins d’un mois, la monnaie européenne est ainsi revenue de 1,32 à près de 1,25 dollar. Ce matin la devise européenne avance timidement de 0,36% à 1,2582 dollar.
Le président du Conseil italien, Mario Monti s’est dit confiant dans la mise en place des eurobonds. De son côté, le président de la BCE, Mario Draghi appelle les pays européens à plus de fédéralisme. Il croit au maintien de la Grèce dans l’Union monétaire, alors que l’éventualité d’un retour à la drachme a été évoquée ouvertement par plusieurs responsables européens.
L’Espagne revient également sur le devant de la scène. Les actions de Bankia, banque qui vient d’être partiellement nationalisée et que l’État espagnol s’est engagé à renflouer, ont été suspendues à la Bourse de Madrid avant un conseil d’administration. Selon la presse espagnole, Bankia va demander une aide comprise entre 15 et 20 milliards d’euros et l’État espagnol va créer une grande banque nationalisée qui comprendrait Bankia et les caisses d’épargne CatalunyaCaixa et Novagalicia.

Légère amélioration du moral des ménage en France:

jeudi 24 mai 2012

La Bourse de Paris tente de rebondir.


La Bourse de Paris pourrait s’éloigner des 3000 points par le haut.

 Le CAC 40 avance de 1,2 % en milieu de séance, encouragé par une intense chasse aux bonnes affaires. Les tensions persistantes au sein de la zone euro et une salve d’indicateurs de mauvaise augure incitent à la prudence.

L’ambiance reste fébrile sur les marchés. A Paris, le CAC 40 qui avait ouvert en hausse de 0,85 % a rapidement changé son fusil d’épaule et changé de cap à plusieurs reprises. En milieu de séance il grimpe de 1,2 % à 3036 points. Après la sévère correction de la veille, les investisseurs sont en quête de bonnes affaires.
À l’issue d’une séance houleuse, l’indice parisien a chuté de plus de 2,5 % à 3003,27 points hier. Le climat qui reste toutefois fragile, avec la confirmation des désaccords franco-allemand.
Comme prévu, François Hollande, Angela Merkel et leurs partenaires ont posé hier au soir les jalons d’une relance par la croissance de l’Union européenne, sans trancher sur la question controversée des euro-obligations pour mutualiser la dette. Les 27 pays de l’UE ont par ailleurs adopté un texte rappelant leur volonté de voir la Grèce rester dans la zone euro, malgré la crise qu’elle traverse, selon le président de la République.

L’euro proche de 1,25 dollar:

Sur le marché des changes, l’euro continuait d’ailleurs sa baisse face au billet vert, à des niveaux plus vus depuis près de deux ans et s’approchant du seuil de 1,25 dollar.

Salve d’indicateurs de mauvaise augure:

vendredi 18 mai 2012

La Bourse de Paris flirte avec les 3000 points.


Tétanisés les investisseurs tentent de trouver refuge auprès des actifs jugés les plus solides.
Après avoir ouvert en forte baisse, le CAC 40 réduit ses pertes et navigue autour des 3000 points.


La Bourse de Paris tente de reprendre ses esprits. Après avoir chuté de près de 1,5 % dans la matinée, le CAC 40 recule de 0,28 % en milieu de séance et se maintient tout juste au dessus du seuil psychologique des 3000 points à 3003,56 points. Vers 13h30, le CAC retrouve le territoire positif avec un gain de 0,6% à 3030 points.
L’indice parisien emboîte le pas de Wall Street qui a perdu jeudi entre 1 % et 3 % ainsi que des marchés financiers asiatiques. Ce vendredi matin, la Bourse de Tokyo perdait près de 3 % en séance.
Ailleurs en Europe, Londres perd 0,8 %, Francfort 0,5 %, Madrid 0,37 % et Milan 0,49 %. Alors que se tient jusqu’à samedi, le sommet du G8 à Camp David (États-Unis), les investisseurs restent focalisés sur la crise en zone euro.
Jeudi, Fitch a dégradé la note de la dette de la Grèce d’un cran et s’attend à une sortie du pays de la zone euro. Toujours hier au soir le FMI a suspendu ses contacts avec la Grèce dans l’attente des élections du 17 juin. En Espagne, au lendemain de rumeurs - démenties ce vendredi par le gouvernement espagnol - assurant que les clients de la banque Bankia ont retiré massivement leur argent, seize banques du pays ont été dégradées par Moody’s. Autre mauvaise nouvelle, pour le secteur, le taux de créances douteuses des banques espagnoles, indice de leur vulnérabilité, a de nouveau progressé en mars, à 8,37 % du total des créances, contre 8,15 % en février, atteignant ainsi un nouveau record depuis 1994.

Les taux allemands sous 1,4 %, les cycliques attaquées:

jeudi 17 mai 2012

Le CAC 40 déprimé par la Grèce et l’Espagne.

Traders are pictured at their desks at the Frankfurt stock exchangeTrader à la Bourse de Francfort.

 La Bourse de Paris se remet à broyer du noir. Dans une séance peu animée, la situation difficile de Madrid pèse sur la tendance. Les valeurs bancaires chutent.

L’ambiance reste morose à la Bourse de Paris. En milieu de séance, le CAC 40 recule de 0,80 % à 3 024,14 points. Les volumes sont particulièrement faibles en ce jour férié en France. A mi-parcours moins de 800 millions d’euros ont changé de mains sur les grandes valeurs de la cote parisienne. La fébrilité reste toutefois de mise avec les inquiétudes de plus en plus vives quant à l’avenir de la Grèce dans la zone euro. Hier, l’indice de la Bourse de Paris avait grignoté 0,31 % mais sans grande conviction. Il avait été encouragé par le succès de l’emprunt de la France et porté par Total qui a annoncé l’arrêt de la fuite de gaz en mer du Nord. Mais dans la matinée, l’indice de la Bourse de Paris, était brièvement tombé sous le seuil des 3000 points. Un tel niveau n’avait pas été atteint depuis décembre 2011.
Le marché reste très vulnérable. Les places européennes ont brutalement décroché en fin de séance hier, quand des rumeurs ont évoqué l’arrêt des prêts de la Banque centrale européenne (BCE) à certains établissements grecs insuffisamment recapitalisés. L’hypothèse d’une sortie de la Grèce de la zone euro est désormais évoquée de plus en plus ouvertement. Le président de la Banque centrale européenne, Mario Draghi, a lui-même envisagé cette hypothèse lors d’un colloque à Francfort. Faute d’accord entre les partis sur la formation d’un gouvernement après les élections du 6 mai, un gouvernement d’intérim a été nommé en Grèce. Il aura la délicate tâche de préparer les nouvelles élections du 17 juin, pour lequel la gauche radicale du mouvement Syriza part largement favorite.

L’Espagne emprunte avec des taux en hausse:

Madrid qui fait également face une défiance de plus en plus vive des investisseurs, a emprunté ce matin près de 2,5 milliards d’euros à trois et quatre ans à des taux en hausse. Le retour a la récession du pays a été confirmé ce matin. Le PIB de l’Espagne a reculé de 0,3 % au premier trimestre par rapport au dernier trimestre 2011 où il avait déjà baissé de 0,3 %, ce qui marque le retour officiel du pays en récession, selon les chiffres définitifs publiés aujourd’hui. Toujours en Espagne, Bankia, quatrième banque cotée du pays qui vient d’être partiellement nationalisée, s’effondre à la Bourse de Madrid, reculant de près de 30 % en fin de matinée alors que le journal El Mundo affirme que ses clients, inquiets, ont déjà retiré plus d’un milliard d’euros ces derniers jours.
A Paris les valeurs bancaires sont également attaquées. Crédit agricole lâche 3,28 %, BNP Paribas 2,7 % et Société générale 2,93 %.
Sur le marché des changes, l’euro se redresse légèrement face au dollar après avoir touché un plus bas depuis quatre mois la veille. La devise européenne s’échange à 1,2740 dollar contre 1,2715 dollar mercredi soir.
Sur le front macroéconomique, les investisseurs surveilleront plusieurs indicateurs américains avec notamment les traditionnelles demandes hebdomadaires d’allocations chômage, l’indicateur composite de l’activité économique en avril et celui de activité industrielle dans la région de Philadelphie en mai.

Les valeurs à suivre:

Nexans (-4,04 % à 29,30 euros) a annoncé le lancement d’une augmentation de capital réservée à ses salariés, pour un volume maximum de 400.000 actions, soit environ 1,4 % de son capital.
JCDecaux (-3,59 % à 17,83 euros): Nomura a révisé à la baisse ses prévisions de bénéfices 2012 et son objectif de cours pour tenir compte des annonces faites la semaine dernière par le groupe de publicité sur le ralentissement de son activité au deuxième trimestre.
Areva (-2,81 % à 9,83 euros) a annoncé avoir finalisé la cession au Fonds stratégique d’investissement (FSI) de sa participation de 26 % dans le groupe minier ERAMET une opération qui s’inscrit dans un vaste plan de redressement décidé fin 2011 par le groupe nucléaire public. La cession a été réalisée au prix qui avait été convenu en mars par les deux parties, soit 776 millions d’euros.
Infotel (inchangé à 56,25 euros) : Le spécialiste des services informatiques a confirmé ses objectifs annuels après un chiffre d’affaires en hausse de 22,3 % au premier trimestre, à 36,7 millions d’euros, grâce au dynamisme de ses centres de services.
Véolia Environnement (-0,10 % à 10,02 euros): L’assemblée générale du groupe a approuvé à une très forte majorité hier la totalité des résolutions qui lui étaient soumises, notamment la nomination de nouveaux administrateurs réputés proches du PDG, Antoine Frérot.
Scor (-2,07 % à 17,95 euros) a annoncé mercredi soir un accord avec UBS pour renforcer son programme de couverture financière sous la forme d’une ligne d’émission d’actions garantie de 75 millions d’euros.

mardi 15 mai 2012

La Grèce plombe une nouvelle fois les marchés.

Traders are pictured at their desks at the Frankfurt stock exchangeTraders à Francfort.

  Le CAC 40 qui tentait un timide rebond a fait volte face en milieu d’après midi. La tentative de mise en place d’un nouveau gouvernement en Grèce s’est encore soldée par un échec.


Peu avant l’ouverture de Wall Street, le CAC 40 a changé son fusil d’épaule. Après avoir grimpé pendant toute la matinée et le début d’après midi, il recule de 1,21 % à 3020,73 points, à un nouveau plancher annuel et à une encablure du seuil psychologique des 3000 points. Le marché est douché par l’annonce d’un nouvel échec en Grèce pour constituer un gouvernement. Hier, l’indice de la Bourse de Paris a chuté de 2,29 %, touchant un nouveau plancher annuel à 3057,99 points.
A quelques heures de la rencontre entre Angela Merkel et François Hollande, l’économie allemande a fait un pied-de-nez à la récession qui touche plusieurs de ses partenaires européens et sauvé la mise à la zone euro toute entière en rebondissant de 0,5 % au premier trimestre, bien plus que prévu. Dans son ensemble, la zone euro a enregistré une croissance nulle au premier trimestre, après une baisse de son PIB de 0,3 % au trimestre précédent, selon une première estimation publiée mardi par l’office européen de statistiques, Eurostat.
De son coté, l’économie française a enregistré une croissance nulle au premier trimestre 2012 par rapport aux trois mois précédents et la croissance du quatrième trimestre a été abaissée à 0,1 %, selon les premiers résultats des comptes nationaux publiés mardi par l’Insee. L’Institut a maintenu à 1,7 % le chiffre de la croissance économique 2011.

La Grèce toujours dans l’impasse:

lundi 14 mai 2012

Les inquiétudes sur la Grèce font plonger le CAC 40.

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Le CAC 40 dans l’attente de l’Eurogroupe, qui se réunit ce soir en toute fin de séance boursière.

  L’indice chute de près de 2,5 % à un nouveau plancher annuel. Les investisseurs dépriment avant la réunion des ministres des Finances européens, qui devraient envoyer un message de fermeté à la Grèce.


Nouveau coup de tabac sur les marchés financiers. A Paris, le CAC 40 perd 2,37 % en milieu de journée à 3056,15 points. L’indice s’enfonce ainsi sous son précédent plancher annuel, à 3073 points et se trouve désormais à une encablure du seuil psychologique des 3000 points.
L’ambiance est particulièrement tendue avant la réunion, qui se tient aujourd’hui, entre les ministres des Finances européens. Ces derniers se rencontre à partir de 17 heures à Bruxelles et devraient envoyer un message de fermeté à Athènes. Depuis les élection législatives le 6 mai dernier, le pays est toujours dans l’incapacité de former un gouvernement et voit ainsi son plan d’austérité sérieusement remis en cause. Les autres places européennes sont également en mauvaise posture. L’indice paneuropéen Eurostoxx 50 perd 2,56 %. Londres recule de 1,71 % et Francfort 2,18 %. Milan chute de 2,92 % en milieu de séance et Madrid plus de 3 %. La Bourse d’Athènes dévisse de près de 5 % à la mi-séance.

La Grèce au bord de la faillite:La Grèce est de nouveau au centre des inquiétudes. Sans résolution rapide de la crise politique qu’elle traverse, le FMI et l’UE risquent de lui couper les vivres. Dès lors la Grèce ne pourrait plus rembourser les prochaines échéances de sa dette et ferait un pas supplémentaire vers une sortie de la zone euro. Par ailleurs, à la veille de sa rencontre avec le nouveau président français, François Hollande, la chancelière allemande, Angela Merkel, se trouve affaiblie. Son parti, l’Union chrétienne-démocrate, a subi une débâcle au cours d’un scrutin régional test.
Autre mauvaise nouvelle, en Espagne cette fois, la dette des banques du pays envers la Banque centrale européenne, a battu en avril le record déjà historique du mois précédent, pour atteindre 263,5 milliards d’euros.

Tensions sur le marché de la dette:

jeudi 10 mai 2012

Le CAC 40 s’éloigne de ses planchers annuels.

People walk through the reception hall of the Athens Stock Exchange
Hall d’entrée de la Bourse d’Athènes.

 L’indice avance de 0,35% peu après l’ouverture de Wall Street à 3127 points après avoir touché un nouveau plancher annuel à 3073 points dans la matinée. La Grèce reste au centre des préoccupations.

Le CAC 40 grappille 0,35% % en milieu d’après-midi à 3 127 points, après avoir cédé plus 1,40 % dans la matinée et être tombé à un nouveau plancher annuel à 3073 points. Hier, après avoir broyé du noir toute la journée, l’indice a finalement clôturé proche de l’équilibre, soutenu par quelques achats à bon comptes.
Aujourd’hui, les marchés restent sur la défensive, à l’instar de la tendance observée par les Bourses asiatiques - troublées par une Chine dont l’économie faiblit. Mais la volatilité reste de mise en ce moment, et la tendance reste incertaine.
En Grèce, c’est toujours l’impasse politique. Les partis qui ont opté pour la rigueur en échange d’un soutien financier international n’ont plus de majorité. L’Europe, et particulièrement l’Allemagne, adresse des messages qui ressemblent de plus en plus à des ultimatums. Si la Grèce ne se remet pas politiquement - sur le chemin de l’austérité, les vivres seront coupées, et le pays fera faillite, menace-t-on de toute part. Le Fonds de secours de la zone euro (FESF) va verser 4,2 milliards d’euros sur les 5,2 milliards prévus initialement, qui «iront sur un compte spécialement réservé au paiement du service de la dette» grecque.
La tendance est à l’apaisement sur le marché obligataire où les taux d’emprunt des pays dits fragiles de la zone euro reculaient très légèrement. Les taux espagnols à 10 ans sont redescendus sous le seuil des 6 % à 5,979 %. Le taux à 10 ans de l’emprunt allemand, traditionnelle valeur refuge, remontait légèrement à 1,538 %, après un plancher historique à 1,52 % la veille.
Par ailleurs, à ce niveau, le CAC 40 est tout proche d’un seuil technique dangereux s’il est franchi. Dans ce cas, le retour sous les 3000 points risque d’être rapide.

Bonne nouvelle sur le front de l’emplio américain:

mardi 8 mai 2012

La Grèce et l’Espagne jettent un froid sur les marchés.

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Les Bourses européennes vont encore devoir digérer une journée d’inquiétudes alors que la Grèce est dans une impasse politique.

 Le CAC 40, qui a grimpé de 1,65% au lendemain de la victoire de François Hollande, reperd le terrain gagné la veille. La Grèce est plus que jamais proche de la faillite et de la sortie de la zone euro.

La séance est chahutée ce mardi férié. À peine ouverte, la Bourse de Paris est tombée de 0,95% avant de creuser ses pertes, très vite, de 1,2% à 3176,70 points. Puis, vers midi, l’indice CAC 40 qui a encore plus fléchi, abandonne 1,88% à 3153,92 points. Les Bourses européennes digèrent une nouvelle journée d’inquiétudes alors que la Grèce est dans une impasse politique terrible. Pour rappel, dimanche, aucun parti n’a obtenu la majorité.
Ainsi en Allemagne, le Dax perd 1,04% à 6500,94 points alors que la production industrielle a augmenté de 2,8% en mars sur un mois, un rebond plus fort qu’attendu entraîné notamment par un effet de rattrapage par rapport à février, marqué par une grande vague de froid. À Londres, le Footsie s’en sort mieux: -0,26% à 5640,15 points. Mais en Grèce, la Bourse d’Athènes chute encore de 3% aujourd’hui après avoir déjà dégringolé de 8%. Sur le marché des devises, l’euro est repassé sous 1,30 dollar.

Relations franco-allemandes surveillées:

lundi 7 mai 2012

La Bourse de Paris digère les élections en Europe .

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La Bourse de Paris subit davantage les résultats des législatives en Grèce que de l’arrivée de françois Hollande à la présidence française.

 Après avoir marqué sa mauvaise humeur en début de séance, le marché parisien revient vers l’équilibre. A Athènes, la Bourse chute de plus de 8%.

Entre l’élection de François Hollande à la présidence française -largement anticipée- et le coup de théâtre des législatives en Grèce, les marchés croulent sous l’incertitude ce matin. Eux qui aiment tant prévoir -statistiquement- l’avenir, l’humeur est forcément maussade ce matin sur les Bourses européennes, alors que les indices asiatiques sanctionnent déjà depuis cette nuit le manque de visibilité en Europe.
Ainsi la Bourse de Paris s’est réveillée du mauvais pied en ce premier jour de présidence socialiste en France depuis dix-sept ans: le CAC 40 abandonnait 1,57% à 3112,47 points, plombé par le secteur bancaire. Le repli s’est nettement attenué au fil de la séance: à 12H30 il n’est plus que de 0,39%. Et le CAC est même passé dans le vert une heure plus tard à 3165,67 points (+0,12%).
La baisse des premières heures lundi ne ressemble pas à l’attaque spéculative qui aurait pu être crainte. Même l’agence de notation S&P a le ton doux ce matin : «L’élection de François Hollande n’a pas d’impact imméidiat» sur la note de la France. Pour rappel, en 1981, quand François Mitterand est arrivé au pouvoir, la Bourse avait attaqué le nouveau président dès son premier jour de mandat: le CAC 40 avait chuté de 13,9% le lundi suivant son élection, puis encore de 9,5% le mardi.
Pour autant la pression est vive. Les taux longs français à dix ans, restent solides après l’élection du candidat socialiste, toujours sous 3%. Mais les spreads (ces écarts de taux entre pays) se creusent notamment entre l’Allemagnet et les autres pays européens, comme l’Italie (418 points), la Grèce (144 points), l’Espagne ’428 points) et la France (133 points).
Dans le reste de l’Europe, la tendance est morose aussi. L’indice Dax des trente valeurs vedettes a ouvert en recul de seulement 0,69%, mais a très vite dévissé et perdait 2,18% à 6418,51 points, signant le plus lourd repli des gros indices européens. mais comme à Paris, le repli s’est par la suite attenué pour atteindre moins de 1% à 12 heures 30. A noter par ailleurs que la Bourse de Londres est fermée ce lundi.

La crise existentielle de l’euro pourrait resurgir:

vendredi 4 mai 2012

La Bourse de Paris s’enfonce dans le rouge.

A trader at Saxo Banque studies screen displays in their offices in ParisHier, le CAC 40 a terminé en très léger recul de 0,09 % à 3223,36 points.

 Le CAC 40 plonge de 1,82 % sous les 3200 points après la publication des chiffres de l’emploi américain qui alimente les craintes de rechute de l’économie mondiale.

La Bourse de Paris chute de 1,82 % à une heure de la clôture à 3164,25 points ce vendredi. Les créations d’emploi ont ralenti pour le troisième mois d’affilée en avril aux États-Unis, mais le taux de chômage a continué sa baisse, pour s’établir à 8,1 %, son niveau le plus faible depuis janvier 2009. L’économie américaine a créé 115.000 emplois de plus qu’elle n’en détruisait en avril, a indiqué le département du Travail. Dans le même temps les embauches ralentissent. Le solde des embauches apparaît ainsi en baisse de 25,4 % par rapport à mars, et inférieur à l’estimation des analystes (162.000), qui donnait d’autre part le chômage stable, à 8,2 %.
Les statistiques issues de l’enquête ADP et publiées mercredi avait déjà montré que le secteur privé américain avait créé nettement moins de postes qu’attendu pour le même mois. Hier soir, Wall Street a terminé dans le rouge.

Indicateurs mitigés en zone euro: