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jeudi 17 mai 2012

Ces patrons qui mériteraient d'être «virés», selon Forbes.


Steve Ballmer, le patron de Microsoft, a été élu le pire PDG américain par le magazine économique <i>Forbes</i>.
Steve Ballmer, le patron de Microsoft, a été élu le pire PDG américain par le magazine économique Forbes.
 
 
 Steve Ballmer, le patron de Microsoft, a été élu le pire PDG américain par le magazine économique, qui épingle au passage quatre autres dirigeants.
 
 
Connu pour son classement des milliardaires, le magazine économique américain Forbes se lance dans un exercice nettement moins élogieux: le palmarès des «pires patrons» des États-Unis. Une analyse qui intervient alors que deux grands groupes ont fait les gros titres à Wall Street cette semaine sur fond de polémique. Une affaire de CV truqué aura ainsi coûté son poste à Scott Thomson, le directeur général de géant de l'Internet Yahoo!, tandis que la grande banque JPMorgan Chase est sérieusement ébranlée par une «erreur de trading» de plus de 2 milliards de dollars. Mais son patron Jamie Dimon, lui, n'aura pas subi les foudres de ses actionnaires lors de l'assemblée générale du groupe. Loin de ces controverses, d'autres patrons feraient pourtant «bien plus de mal aux groupes qu'ils dirigent, ainsi qu'à leurs investisseurs, employés et fournisseurs», selon Forbes. Dans sa ligne de mire, cinq PDG qui «auraient dû être virés depuis longtemps»:

Steve Ballmer, PDG de Microsoft.
Steve Ballmer, PDG de Microsoft.  

mardi 8 mai 2012

Ces géants américains qui ont échappé à la crise.

EN IMAGES - Selon le classement Fortune 500, le pétrolier Exxon Mobil détrône le distributeur Wal-Mart et devient la plus grande entreprise américaine. En tout, les 500 sociétés du palmarès ont cumulé, en 2011, 824,5 milliards de dollars de bénéfices, pulvérisant le record de 2006.


Image1:
Comme tous les ans, le magazine Fortune a dévoilé son classement des 500 plus grandes entreprises américaines, en termes de chiffre d'affaires. Malgré la faiblesse de la reprise aux États-Unis, les géants de Wall Street ont signé une année record en 2011: les bénéfices nets des 500 sociétés répertoriées ont augmenté de 16,4% pour atteindre 824,5 milliards de dollars. Soit bien plus que le dernier record de 785 milliards enregistré en 2006. Avec la crise, les entreprises ont bien «su modifier rapidement leur gamme de produits tout en produisant plus pour moins cher», commente le magazine américain.Les 500 entreprises du classement emploient en tout 25,8 millions de personnes dans le monde. Seulement 1% de plus qu'en 2007, note <i>Fortune</i>.
Comme tous les ans, le magazine Fortune a dévoilé son classement des 500 plus grandes entreprises américaines, en termes de chiffre d'affaires. Malgré la faiblesse de la reprise aux États-Unis, les géants de Wall Street ont signé une année record en 2011: les bénéfices nets des 500 sociétés répertoriées ont augmenté de 16,4% pour atteindre 824,5 milliards de dollars. Soit bien plus que le dernier record de 785 milliards enregistré en 2006. Avec la crise, les entreprises ont bien «su modifier rapidement leur gamme de produits tout en produisant plus pour moins cher», commente le magazine américain.Les 500 entreprises du classement emploient en tout 25,8 millions de personnes dans le monde. Seulement 1% de plus qu'en 2007, note Fortune.


Image2:

jeudi 13 octobre 2011

Wall Street fait une pause.

La Bourse de New York a ouvert en légère baisse dans le sillage des marchés européens. Les résultats de JPMorgan Chase décoivent.

Wall Street a ouvert en baisse ce jeudi, pâtissant comme ses homologues européennes de statistiques chinoises jugées inquiétantes pour l'économie mondiale, mais aussi du recul de l'action JPMorgan Chase après les résultats trimestriels de la banque. Dans les premiers échanges, le Dow Jones cédait 0,62% à 11.447,18 points et le Nasdaq reculait de 0,25% à 2.598,09 points. Mercredi la Bourse de New York a déjà terminé dans le vert. A l'instar des marchés européens, Wall Street a repris confiance après les déclarations déterminées des dirigeants européens à trouver une solution à la crise des dettes souveraines dans la zone euro.
L'excédent commercial chinois a diminué en septembre pour le deuxième mois consécutif, reflétant les faiblesses de l'économie mondiale et le ralentissement en Chine elle-même. Le déficit commercial des Etats-Unis s'est très légèrement contracté en août, alors que les analystes avaient prévu qu'il se creuse, malgré un nouveau déficit record dans les échanges de la première économie mondiale avec la Chine. L'autre statistique du jour, les inscriptions hebdomadaires au chômage, est également ressorti à un niveau légèrement meilleur qu'attendu.
Le président de la Commission européenne José Manuel Barroso a présenté mercredi après-midi devant le Parlement européen ses propositions pour soutenir le secteur bancaire. Il faut « d'urgence » recapitaliser les banques, a-t-il affirmé. Il a également appelé à augmenter le FESF et à accélérer le remplacement de celui-ci par un mécanisme permanent, mi-2012 au lieu de mi-2013. Des propos relayés par la ministre du Budget Valérie Précresse, qui, comme Berlin, affirme qu'il s'agit d'«une nécessité». La France se dit même disposée à injecter elle-même de l'argent public pour soutenir ses banques en cas de besoin.