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dimanche 13 juillet 2014

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mardi 8 juillet 2014

Chambers of commerce say interest rate rise would derail recovery

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Bank of England Bank of England is being urged to hold off on a rate rise. Photograph: Stockcam/Getty Images

British businesses are calling on the Bank of England not to rush into an interest rate rise, warning that the recovery is not yet secure as a closely watched report on Tuesday shows a slowdown in exports.

The British Chambers of Commerce (BCC) says its latest quarterly poll of thousands of companies shows their performance slipped on key measures such as overseas sales and investment during the last three months when compared with a strong start to 2014.

The business group said its findings still pointed to a solid pace of growth for the UK, but were a reminder that the recovery was not entrenched and rebalancing the economy still had a way to run.

It warned against an early move to raise borrowing costs after recent comments from Bank of England policymakers have raised expectations that a hike could come before the end of the year.

"These results reinforce the case against the Bank of England making any hasty decisions on raising interest rates in the very short-term," said BCC director general John Longworth.

"By driving up the cost of credit for fast-growing firms, many of whom do not sit on the same healthy cash piles as their more established counterparts, early rate rises may mean more limited growth ambitions among the very firms we are counting on to drive the recovery.

"We must nurture the business confidence we are seeing at present by giving firms the security of working in a low interest rate environment for the foreseeable future – with eventual rises both moderate and predictable."

The survey of around 7,000 companies across manufacturing and services found that on the whole businesses reported conditions above long-run trends. Its balances, which represent the number of firms reporting an improvement from those reporting a deterioration in a particular area such as orders or hiring, were mostly stronger than their 2007 pre-recession levels.

But after an unusually strong first quarter, all the export and investment balances fell in the second quarter.

There was a mixed picture for jobs, with the balance deteriorating somewhat for manufacturing although still showing employment rising in the sector. The employment expectations balance also dropped.

For the much larger services sector, the jobs balance for the past three months rose but the employment expectations balance slipped back slightly.

The BCC said all the survey's confidence balances remained "relatively strong" but intentions to raise prices eased and concerns around interest rate rises rose.

Interest rates have been at a record low 0.5% for more than five years and while no economists expect any action at this week's meeting of the monetary policy committee (MPC), Bank governor Mark Carney has said the decision about when to tighten policy is "becoming more balanced".

After suggesting in June that a rate rise "could happen sooner than markets currently expect" and then days later downplaying chances of a move anytime soon, Carney has faced criticism for baffling businesses and financial markets. Some critics say the governor has effectively killed off his own "forward guidance" scheme, designed to give businesses clarity over the interest rate outlook.

The BCC's chief economist David Kern said it was vital the Bank went back to sending clearer messages.

"The monetary policy committee must restore the clarity of its forward guidance, and reassure business that rates will only start edging up if and when objective circumstances require such a move," he said.

mercredi 6 février 2013

L'Indonésie tourne encore une fois le dos à la crise.

L'indonésie profite de la hausse de sa consommation intérieure (5,7% au troisième trimestre, 5,4 % au quatrième). Ci-dessus: un centre commercial de Jakarta.
L'indonésie profite de la hausse de sa consommation intérieure (5,7% au troisième trimestre, 5,4 % au quatrième). Ci-dessus: un centre commercial de Jakarta.

Avec une croissance de 6,2 %, elle s'affiche comme l'un des pays émergents les plus solides.




La Banque asiatique de développement l'affirmait en novembre. L'Indonésie  «reste plus résistante que les autres pays émergents».
L'archipel, et ses 240 millions d'habitants, le pays musulman le plus peuplé au monde, a enregistré une hausse de son PIB (produit intérieur brut) de 6,2% en 2012, contre 6,5% en 2011. Depuis 2007, l'Indonésie connaît une croissance annuelle supérieure à 6%, exception faite de 2009 où elle avait ­ralenti à 4,6% en raison de la crise ­financière de l'automne 2008.
«Il s'agit de la troisième croissance mondiale en Asie, derrière la Chine et les Philippines», se félicite Robert Prior-Wandesforde, directeur de Credit Suisse à Singapour. Et selon l'OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques), elle sera encore de l'ordre de 6,6% par an jusqu'en 2016.

Il y a plusieurs raisons à cela. Contrairement à ses voisins, l'Indonésie est d'abord peu touchée par la chute de ses exportations qui ne représentent que le quart de son PIB. Ensuite, elle profite de la hausse de sa consommation intérieure (5,7% au troisième trimestre, 5,4 % au quatrième) qui contribue à créer une classe moyenne aisée de plus en plus importante. En 2030, a calculé le cabinet McKinsey, pas moins de 170 millions d'Indonésiens gagneront plus de 3600 dollars par an (valeur 2005), contre 45 à 50 millions aujourd'hui.

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Le retour des étrangers:

jeudi 17 janvier 2013

Carrefour s’en sort mieux que Casino en France en 2012.

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Les ventes de Carrefour ont bien résisté en France cette année.

Les ventes hexagonales du distributeur ont très légèrement progressé (+0,6%) au dernier trimestre, alors que celles de Casino ont reculé de plus de 2%.

Bonne surprise pour Carrefour. Attendues en recul, les ventes de Carrefour en France ont augmenté de 0,6% en France au dernier trimestre 2012 (en données constantes avec essence), s’établissant à 10,5 milliards d’euros. Sur l’ensemble de l’année, son chiffre d’affaires est resté quasiment stable (+0,1%) à 39,5 milliards d’euros.
Casino ne peut pas en dire autant. Le groupe de distribution présidé par Jean-Charles Naouri a vu ses ventes reculer en France de plus de 2% (en données constantes avec essence) au dernier trimestre à 4,7 milliards d’euros. Idem sur l’année 2012 avec une baisse de 0,8% de son chiffre d’affaires à 18,4 milliards d’euros.
Toutefois, en ajoutant les ventes à l’international, c’est Casino qui affiche les meilleures performances. Le groupe stéphanois a enregistré une hausse de 3,2% de ses ventes trimestrielles totales et de +4% en 2012 (en données constantes avec essence). De son côté, le chiffre d’affaires du groupe Carrefour a progressé de 2,1% au quatrième trimestre à 22,8 milliards d’euros et de 1,7% à 86,5 milliards d’euros (données constantes avec essence).

mercredi 9 janvier 2013

Moscovici encourage la Chine à investir en France.

Pierre Moscovici, ministre de l'Économie et des Finances, a rencontré à Pékin, Li Keqiang, n° 2 du régime et futur premier ministre.
Pierre Moscovici, ministre de l'Économie et des Finances, a rencontré à Pékin, Li Keqiang, n° 2 du régime et futur premier ministre.

À Pékin, le ministre français a promis des mesures pour faciliter les investissements chinois.


Entre les inquiétudes des uns et les fantasmes des autres, Pierre Moscovici avait fort à faire pour densifier la relation d'affaires franco-chinoise. Les inquiétudes, ce sont celles des Chinois, le ministre ayant constaté lors de sa visite à Pékin que «tous ses interlocuteurs, qu'il s'agisse de politiques ou d'investisseurs, ne sont pas encore rassurés» sur l'avenir de la zone euro. Et les fantasmes, ce sont ceux des Français qui craignent que les investissements chinois sur notre sol «ne soient prédateurs». En direction de ces derniers, il a affirmé: «Ce que j'attends des investissements chinois en France, c'est qu'ils soient créateurs d'emplois.»
Lors de ce déplacement en Chine, le ministre de l'Économie et des Finances entendait délivrer un «message de confiance» dans la zone euro aux investisseurs chinois et les inciter à se tourner plus franchement vers la France. Or, tout récemment, les patrons du fonds souverain chinois CIC s'avouaient «encore peu optimistes pour la zone euro», attendant un «climat plus favorable à l'investissement» pour passer la vitesse supérieure.
Pierre Moscovici voudrait rééquilibrer la relation. Il a rappelé que pour l'heure, les investissements français en Chine étaient quatre fois supérieurs aux investissements chinois en France. Soit 13 milliards d'euros contre 3,4 milliards. La France est le 3e pays européen destinataire des investissements chinois, derrière l'Allemagne et le Royaume-Uni. Le ministre a affirmé que de ­nouvelles mesures pour «simplifier l'accueil des investissements étrangers en France» étaient en préparation.

jeudi 31 mai 2012

L’économie américaine fait reculer le CAC 40.

LA BOURSE DE PARIS
Les investisseurs espèrent un feu vert de l’Irlande au pacte budgétaire européen.

 Au lendemain d’une perte de 2,24 %, le marché parisien retombe sous les 3000 points déçu par des statistiques de mauvaise augure aux États-Unis. La croissance américaine a déçu.

Le CAC 40, qui tentait de reprendre un peu de hauteur, a glissé dans le rouge peu avant l’ouverture de Wall Street, déçu par la croissance américaine. Vers 16 heures, il recule de 0,7 % à 2995,38 points. Hier, il avait plongé de 2,24 %.
Les investisseurs espèrent un feu vert de l’Irlande au pacte budgétaire européen. Les Irlandais sont appelés à se prononcer ce jeudi, par référendum, sur le pacte budgétaire européen. Les sondages donnent le «oui» gagnant à 60 %. Mais, «dans les derniers d’entre eux, les indécis restaient très nombreux, rendant le résultat incertain», soulignent les spécialistes d’Aurel BGC.
Aux États-Unis, la croissance économique a ralenti plus qu’on ne le pensait au premier trimestre, selon la deuxième estimation du PIB américain. Par rapport au trimestre précédent, le produit intérieur brut du pays a augmenté de 1,9 % en rythme annualisé de janvier à mars après avoir progressé de 3 % pendant les trois mois d’automne. En revanche, les embauches du secteur privé aux États-Unis ont accéléré en mai, selon l’enquête mensuelle du cabinet de conseil en ressources humaines ADP. Par ailleurs, la croissance de l’activité économique a poursuivi son ralentissement dans la région de Chicago au mois de mai, confirmant la tendance enregistrée au mois d’avril. Le principal temps fort de la semaine est attendu demain avec la publication demain des chiffres officiels de l’emploi et du chômage pour le mois de mai.
A noter également, la consommation des ménages français est repartie à la hausse en avril sous la pression des dépenses énergétiques, s’appréciant de 0,6 % après avoir chuté de 2,6 % en mars a annoncé ce matin l’Insee. Toujours en France, les prix des logements anciens ont augmenté légèrement (+1,3 %) sur un an au premier trimestre. Toutefois, une baisse moyenne de 0,7 % est enregistrée par rapport au quatrième trimestre 2011, avec un repli plus fort pour les maisons (-1 %) que pour les appartements (-0,3 %).

Les valeurs à suivre:

jeudi 12 avril 2012

Sans surprise, Carrefour reste à la peine au 1er trimestre .

MAGASIN CARREFOUR
Le magasin Carrefour de la porte d’Auteuil, à Paris.

 L’extrême faiblesse de la valorisation s’explique par l’écoeurement des actionnaires, alors que le groupe enchaîne les performances médiocres. La tâche de Georges Plassat est immense.


Le montant TTC des ventes réalisées par Carrefour dans le monde a atteint 22,5 milliards d’euros au premier trimestre, un chiffre sans surprise quoi que plutôt dans le bas de fourchette des prévisions des analystes. Ce chiffre représente une progression marginale, de 0,9%, par rapport au trimestre correspondant de 2011, aidée par un effet calendaire positif (deux jours d’ouverture de plus dans la plupart des zones) et par le relatif dynamisme des ventes en Amérique Latine (+10%). En données brutes, incluant les ventes de carburant et l’effet des changes, la progression atteint +1,5% sur ce premier trimestre.
C’est toujours en France (9,355 milliards d’euros de ventes trimestrielles) que le bât blesse le plus, et en particulier dans les hypermarchés où les ventes ont diminué de 1,8%, et même de 3,1% à surface de vente comparable et hors augmentation des prix du carburant. «Cette baisse reflète un environnement plus difficile qui a touché les ventes non-alimentaires ainsi que les effets attendus à court terme de notre plan d’action, avec notre décision délibérée de poursuivre notre politique d’investissement dans les prix bas et des promotions moins nombreuses mais plus ciblées», explique Carrefour. «Les hypermarchés ont commencé à regagner du terrain en matière de compétitivité prix, et sont désormais co-leaders sur les prix de 500 produits de consommation courante à marque nationale», affirme néamoins le groupe.

Coup de frein sur le commerce mondial en 2012 et 2013.

Les exportations de marchandises devraient progresser de 2% pour les économies développées et de 5,6% pour les pays en développement en 2012.
Les exportations de marchandises devraient progresser de 2% pour les économies développées et de 5,6% pour les pays en développement en 2012.

 L'Organisation mondiale du commerce prédit une hausse de 3,7% des échanges cette année, contre 5% en 2011.

Le commerce mondial, qui a progressé de 5% en volume en 2011, n'augmentera que de 3,7% cette année en raison de la crise de la dette en Europe, des conséquences du tsunami au Japon et des inondations en Thaïlande, prédit l'Organisation mondiale du commerce (OMC).
Des chiffres très loin des 13,8% de croissance enregistrée en 2010 et inférieurs également à la moyenne de 5,4% des 20 dernières années, note l'organisme basé à Genève.
Les exportations de marchandises devraient progresser de 2% pour les économies développées et de 5,6% pour les pays en développement, tandis que les importations augmenteront de 1,9% et de 6,2% respectivement.
L'OMC prévoit une légère amélioration en 2013, avec une progression du commerce mondial de 5,6%, portée par l'amélioration de la situation économique des États-Unis et du Japon.

mercredi 20 juillet 2011

Comment les pirates grippent la mondialisation.


Navire de guerre escortant un cargo dans le Golfe d'Aden. Ce type d'opération coûte 2 milliards de dollars par an.
Navire de guerre escortant un cargo dans le Golfe d'Aden. Ce type d'opération coûte 2 milliards de dollars par an. 
 
Ciblant une des principales routes maritimes du monde, les forbans somaliens font perdre des milliards à l'économie. Les pirates nigérians, eux, perturbent un grand site pétrolier du Golfe de Guinée.
 
Les pirates ont jeté leurs grappins sur la mondialisation et grippent les échanges bien huilés entre grandes puissances économiques. Ils ne sont pourtant que quelques milliers de part le monde. Leur méthode : enlèvements de marins et rançons extorquées aux grands du commerce mondial. Ils ne gagnent, grosso modo, que quelques centaines de millions de dollars par an. Mais ils coûtent entre 7 et 12 milliards de dollars à l'économie mondiale, selon l'ONG Oceans beyond piracy (OBP).
Forbans rebelles au Nigéria, pillards occasionnels dans les mers d'Asie... De tous les pirates autour du globe, les Somaliens sont de loin les plus dangereux et les plus coûteux. Et pour cause: «avec des kalachnikovs et des lance-roquettes rustiques, ils perturbent le trafic dans l'océan indien entre l'Asie, le Moyen Orient et l'Europe, soit 12% du commerce mondial et 7% des flux d'hydrocarbures», souligne Bertrand Monnet*, professeur de management des risques criminels à l'Edhec. En 2010, 238 millions dollars de rançons ont été versés aux brigands des mers de la Corne de l'Afrique.

lundi 18 juillet 2011

Somalie, Nigéria : les bonnes petites affaires des pirates.


Un pirate somalien face au cargo grec MV Filitsa, en janvier 2010, dans le port de Hobyo. (Crédits photo : AFP)
Un pirate somalien face au cargo grec MV Filitsa, en janvier 2010, dans le port de Hobyo. 
 
La piraterie est un business florissant sur les côtes somaliennes. Le secteur propose de juteux profits pour les investisseurs et les hommes de main qui s'y risquent.
 
12 janvier 2011, en fin d'après-midi. À plus de 1000 km des côtes de Somalie, en plein océan indien, quatre pirates, montés sur deux hors bords, ont repéré leur proie: le cargo danois Leopard. Poussant les moteurs de 40 chevaux à fond, ils fondent sur le navire, l'abordent malgré les manoeuvres d'évitement. À bord, ils kidnappent les six hommes d'équipage. Quand la force de protection internationale arrive, les pirates somaliens sont déjà loin, à bord de leur bateau-mère. Un navire de pêche capturé trois semaines auparavant au large de Madagascar.
Cette capture, relatée dans un rapport du Bureau maritime international, n'est pas un fait isolé. Ces derniers jours, des pirates somaliens se sont emparés d'un pétrolier battant pavillon des Emirats arabes unis, avec à son bord 16 membres d'équipage, a fait savoir lundi la force navale de l'Union européenne dans la zone. Le navire MV Jubba XX, parti des Emirats, a été détourné dimanche matin dans le nord de l'océan Indien avec sa cargaison de pétrole, alors qu'il se faisait route vers le port somalien de Berbera.
Et tout indique que la petite affaire artisanale qu'était la piraterie se mue en une industrie modeste mais florissante. Avec 125 attaques au large de la Somalie depuis le début de l'année, sur un total de 266 autour du globe, la Somalie est le point chaud de la piraterie. Deux explications à cela. Il s'agit d'un des pays les plus pauvres du globe, qui vit actuellement «une catastrophe humanitaire» aggravée par la sécheresse, selon Action contre la faim. L'État ne contrôle guère son territoire. Or, au large de ses côtes naviguent les opulents cargos, gaziers et pétroliers transitant entre l'Asie, le Moyen-Orient et l'Europe. Sans oublier les chalutiers français et espagnols qui viennent pêcher près des Seychelles.

Une activité juteuse mais dangereuse: